Conclusion Le Théâtre Peut Il Divertir

TEXTE 6 MOLIERE, Le Malade Imaginaire , Acte I, scène 6 Introduction  : Il s’agit d’une scène issue de la pièce de théâtre Le Malade Imaginaire  écrite par  Molière . A travers elle, il critique les médecins de son époque grâce à la caricature de son personnage principal hypochondriaque, Argan. Il va incorporer une intrigue sentimentale typique de la farce avec la fille d’Argan, Angélique, que

 Index Index 2 1. L’auteur 3 2. Les personnages 4 3. Résumé 6 4. Le genre 8 5. Les techniques utilisées 9 6. Le cadre spatio-temporel 10 7. Les thèmes 11 8. Conclusion 12 9. Bibliographie 13 1. L’auteur On connaît la vie de Molière car on l’a étudié en cours. C’est pour cela qu’on va se concentrer sur les aspects les plus importantes qui entourent Le malade imaginaire : Cette œuvre est une comédie-ballet (mélange de musique et danse, des événements contemporains dont

rapport avec le social. * Ouverture vers la philo, l’anthropologie, la sociologie, la psychologie. * Penser le fait spectaculaire comme un fait anthropologique, c’est-à-dire que le théâtre comme la danse sont des arts archaïques (= des arts pratiqués dès l’origine de l’humanité, quand on pense le théâtre, la danse on pense à un phénomène ancestral.) * On portera une attention particulière sur ce qu’est un acteur, un danseur. Dans le sens que c’est un homme, une femme qui a prit le partie

pour la première fois sur un théâtre public en 1757, soit six ans avant sa mort, est souvent considérée comme l’œuvre d’un auteur qui jette un regard rétrospectif et distancié sur son œuvre, ses procédés dramatiques, et plus largement sur la pratique du théâtre dans la société de son temps, sur ce qu’on y joue, comment et pour qui, et sur l’esthétique théâtrale, sur la théâtralité du théâtre. En effet, Les Acteurs de bonne foi est une pièce de théâtre sur le théâtre, une comédie des comédiens, où

d'essais, de romans, ou encore d'apologues. Ils exposent de plus leurs points de vue sous différentes stratégies d’argumentation, directe ou indirecte. C’est peut-être ce qui nous amène à nous interroger dans quelle mesure le récit est-il une stratégie d’argumentation efficace ? Pour cela, nous verrons dans un premier temps, que le récit peut se présenter sous différentes formes et ainsi élargir le choix des supports à l’argumentation pour les écrivains. Puis dans un second temps, nous verrons les

importance particulière, car, écrit-il, il « restitue à peu près l’atmosphère difficile de cette époque ». 4. Cet épisode se situe à l’Opéra municipal ; Camus utilise un schéma narratif fréquent : bien des scènes romanesques se situent à l’opéra ou au théâtre. Mais  ici l’Opéra a une fonction particulière : les Oranais y viennent chercher l’oubli, au moins momentané, du fléau qui les accable. Tarrou et Cottard font partie ce soir-là du public et assistent à la représentation d’Orphée et Eurydice jouée

de scène est donc surprenant pour le lecteur. Ce monologue (qui en fait est une tirade puisque Père Ubu est présent mais elle ne l’a pas encore vu, c’est donc un demi-monologue ou une mini tirade (je plaisante)) reprend une tradition classique du théâtre : un personnage fait le bilan de ses aventures et de sa vie. C’est pourquoi les temps utilisés ici sont le présent d’énonciation (« je suis seuls ici » ) qui vient présenter la situation actuelle ; et le récit des événements passés qui se fait essentiellement

le territoire et la communauté d’hab qui y vit : la cité d’Ath est la + étendue avec 2 650 km2 et la plus peuplée avec environ 500 000 hab au V ème s avt JC. ⇨ entre 600 et 450 avt JC, les Grecs et en particulier les Athéniens ont inventé le théâtre, la philosophie, l’histoire, la médecine, la monnaie, ont perfectionné les maths et la physique. Les Athéniens ont aussi inventé la politique = politeia en grec => sur ce plan, Athènes organise un système pol original, dans le cadre de la cité = polis

rire, c’est faire oublier. Quel bienfaiteur sur la terre, qu’un distributeur d’oubli ! ». Cet éloge du rire, prononcé sur un mode exclamatif, montre l’effet bénéfique de cette faculté humaine à divertir l’Homme pour l’éloigner de ses soucis et de ses préoccupations. Il a, comme le disait Aristote du théâtre, une vertu cathartique. C’est pourquoi nous nous demanderons si cette approche du rire s’illustre bien dans le roman rabelaisien à travers les péripéties vécues par le personnage gigantal et

d’un jeune homme, Frédéric Moreau, qui combine à lui seul enthousiasmes de le jeunesse romantique et ambitions sociales. Alors que se déclenche la révolution de 1848, il séduit tour à tour la lorette Rosanette et l’aristocrate Mme Dambreuse, mais ne peut atteindre sa véritable passion, Mme Arnoux, rencontrée dès le début du roman sous la forme d’un véritable coup de foudre. Grâce à l’interaction entre histoire privée et Histoire publique, Flaubert fait dans son roman le procès d’une génération manquée