Conclusion Medee

introduction Publié en 1635, Médée a été écrit par Corneille, poète et dramaturge français connu pour avoir écrit le Cid un an après. C’est une pièce de théâtre tragique qui parle de Jason et Médée parents de 2 enfants. Médée est condamnée à l’exil, le roi va accepter que Jason et sa fille Créuse se marient mais Médée, jalouse, va vouloir se venger. Ici, dans cette scène, est étudié le monologue de Médée à la 2è scène de l’acte 5. Dedans, elle réfléchit au fait d’aller plus loin dans ses

épouses des premiers Hébreux, Abraham ou Jacob, par exemple. Les cas d'infidélité sont beaucoup plus fréquents, que ce soit chez les déesses ou chez les mortelles. D'autres sont dotées d'un vice contre nature.. Ainsi, il est difficile de tirer une conclusion et il serait hasardeux de généraliser trop rapidement, mais, de ce rapide tour d'horizon nous pourrons néanmoins retenir que, dans l'antiquité, la plupart du temps, le rôle principal de la femme est d'assurer la descendance de l'homme et aussi son

pour bénéficier de ses qualités, et se prémunir de ses défauts. Dans le cas de Médée, par exemple, le dramaturge Corneille présente au spectateur une femme monstrueuse qui renie son rôle de mère, pour se laisser envahir par la haine qu’elle éprouve en tant que femme trompée. En mettant un tel personnage en scène, le tragédien avertit son public contre toute attitude excessive qui pourrait s’apparenter à celle de Médée. [RAPPEL DES ÉVÉNEMENTS PASSÉS] Ici, la femme répudiée par Jason a appris qu’elle

Sénèque le Philosophe, Sénèque le Tragique ou Sénèque le Jeune (par opposition à son père : Sénèque l’Ancien) 2. La philosophie de Sénèque : Le stoïcisme 3. L’œuvre littéraire de Sénèque II. Les figures d’Œdipe et de Médée 1. Œdipe Les origines Reprises et variations 2. Médée Histoire et origines Interprétations Pour l’analyse des extraits, voir la page suivante [Fichier audio : « Sénèque – Sé8 Part2 »] III. Analyse des extraits ŒDIPE Questions : 1. Sur quel procédé théâtral est construit

Parcours : « Crise personnelle, crise familiale » Explication linéaire 1 : Médée, Sénèque ( 1er siècle après J.C ) ÉPILOGUE : Médée tue ses enfants · Introduction : Les tragédies antiques d’Eschyle, Euripide

en protégeant Cinna. V41 à 52 : Quatrième mouvement : C’est finalement la vengeance qui prend le dessus sur l’amour à cause de l’honneur • Débat dialectique Thèse : Vengeance Antithèse : Amour  Protéger Cinna Dépassement : Triomphe du devoir. Conclusion : Dans la tragédie classique la scène d’exposition doit présenter le cadre, les personnages ainsi que l’intrigue qui va s’y jouer  Ici elle prendra la forme d’un monologue. Cette forme de monologue va être critiquée par la suite. Exercice : Relever

mourut sans enfant. C’est Médée et Jason qui prirent le pouvoir de Corinthe à sa mort. Il y a deux versions pour la fin de l’histoire : - Pour leur donner l’immortalité, Médée aurait enterré ses enfants, Jason, fou de colère, la quitte et Médée offre Corinthe à Sisyphe. - Zeus aurait fait des avances à Médée qu’elle aurait immédiatement repoussées. Héra, la femme de Zeus, offrit l’immortalité à ses enfants en remerciement. Sisyphe tomba lui aussi amoureux de Médée qui lui donna Corinthe.

Mais au sens figuré, un monstre est également une personne effrayante de méchanceté et parfois de cruauté. C’est ce que nous allons essayer de trouver dans chacun des quatre textes du corpus suivants : - Médée (1635) de P. Corneille - Andromaque (1667) de J. Racine, -Rodogune (1664) de P. Corneille et Britannicus (1669) de J. Racine. Pierre Corneille et Jean Racine sont tous les deux

Lecture analytique n° 3 de Médée d’Anouilh (Corrigé du commentaire donné en DM n°4) De « N’approche pas, Jason ! Interdis-leur de faire un pas ! » à « Le rideau est tombé pendant qu’ils parlaient » (fin de la pièce) Introduction : Auteur : Jean Anouilh. XXe siècle Sous l'Occupation, Jean Anouilh continue d'écrire. Il ne prend pas publiquement position, mais publie des textes non politiques dans un journal collaborationniste ce qui lui sera ensuite reproché. Dans le même temps, il a

spectateur aura l’impression, d’assister à une « action véritable » et non à une fiction de théâtre. Ici, Corneille, tout en gardant l’unité de Corinthe, sort de l’unité de lieu et installe sa pièce en prison où est incarcéré Égée puis dans la grotte où Médée prend les desseins de sa vengeance. Il agit ainsi afin de donner davantage de vraisemblance au récit. Il s’agira de voir maintenant si cette règle des trois unités est bien prise en considération par l’œuvre. Dans cette tragédie, la présentation