Conclusion Medee

parce qu’il avait déjà cédé aux charmes d’Aricie. Les deux amants se promettent de s’épouser hors de Trézène mais Hippolyte se fait tuer lors de sa fuite par un monstre marin. Phèdre avoue tout à Thésée et meurt après avoir avalé un poison amené par Médée. Oenone se suicide en se jetant dans la mer et Thésée apprend de Théramène la mort de son fils. Il décide alors d’exaucer ses volontés et il prend Aricie pour fille. Le contexte historique : Phèdre est une réécriture de la pièce d’Euripide : Hippolyte

entre le persécutant et le persécuté, le poursuivant et le poursuivi, celui qui fait souffrir et celui qui souffre » Diverses combinaisons possibles dans les alliances: 1- On connaît celui qu'on veut perdre, et on le fait périr en effet, comme Médée tue ses enfants, Clytemnestre son mari, Oreste sa mère » 2- On le fait périr sans le connaître, et on le reconnaît avec déplaisir après l'avoir perdu; et cela, dit-il, ou avant la tragédie, comme Oedipe, ou après. 3 - quand on est prêt de faire

ses épistolières écrivent à des héros consacrés (Pénélope à Ulysse, Phèdre à Hippolyte, Ariane à Thésée, Médée à Jason ... ) qu'Ovide a pu intituler Héroïdes l'un de ses recueils poétiques. De même, les héros que la tragédie met en scène sont généralement des figures légendaires, tirées de la mythologie. Quel que soit leur rôle dans l'action et quoi qu'ils fassent, Ajax (chez Sophocle), Médée, Hippolyte, Andromaque ou Hélène (chez Euripide) sont des héros et des héroïnes parce que la tradition les

hommes et de la société, et ce avec différents objectifs :(mais attention ce n'est pas là sa seule vocation !) A Le principe de catharsis : purgation des passions par leur représentation ​Sophocle Eschyle Euripide Tragiques grecs ,Sénèque dans ​Médée​ ,dramaturge latin. Ou encore dans ​Phèdre​ qui montrent des personnages en proie au furor ( état proche su délire )qui les conduira au scelus nefas (crime impie:Médée tue ses enfants,Phèdre arme le bras de Thésée qui provoquera la mort de son propre

génératrice defuror, on notera que Pasiphaé est régulièrement citée par les poètes comme un exemple de la monstruosité du désir féminin. Son nom côtoie celui de criminelles de l'amour dont la liste comporte invariablement à l'époque augustéenne au moins Médée, Scylla et Myrrha. Properce qui consacre une élégie à « l'inconstance des » (III, 19, De feminarum incontinentia) s'attache à prouver que les femmes ne savent garder la mesure, que les premiers freins de la pudeur rompus, leurs emportements sont

Respect du contexte, résurrection d'une époque (exemple le second Empire avec le début des chemins de fer dans Le voyage de M. Perrichon d'Eugène Labiche)   II. Mais forcément, une mise en scène est une lecture de la pièce Voir ci-dessus   Conclusion : Recréation, terme excessif, plutôt relecture.   Des auteurs antiques comme Aristophane, Euripide, ont contribué au développement de ce tout nouveau genre. Dès lors, le théâtre subit de profondes évolutions. Au moyen Age il quitte la scène théâtrale

de l'amour : il expose aux yeux du spectateur des événements en apparence réels. Il peut ainsi traduire d'une manière visuelle et sonore, avec un impact irremplaçable sur le public, la thématique amoureuse. Les cris de Phèdre jalouse d'Aricie ou de Médée trahie par Jason résonnent réellement sur la scène. Othello paraît vraiment tuer Desdémone à la fin de la pièce de Shakespeare. Le théâtre a tendance à schématiser les personnages et les intrigues de manière à ce qu'ils atteignent l'universalité :

formes et en se faisant prêtés diverses significations. Le courant des réécritures féministes des grands mythes antiques est un bon exemple de transformation à la fois sémantique et axiologique. Exemple : la réécriture du mythe de Médée par Christa Wolf. Dans un système patriarcal, montrer que les femmes pouvaient être dangereuses, et alors justifier leur absence de droits, passaient aussi par la diffusion des mythes. Nous pensons, entre autres, au mythe des amazones, ces femmes armées

SOMMAIRE : INTRODUCTION I. BIOGRAPHIE II. BIBLIOGRAPHIE III. STRUCTURE DE L’ŒUVRE IV. ETUDE DES PERSONNAGES V. EXPLICATION DES MOTS VI. ETUDE DETAILLEE VII. RESUME GENERAL VIII. RESUME PAR ACTE IX. INTERET DE L’OEUVRE X. CONCLUSION INTRODUCTION Le Cid est une pièce de théâtre (tragi-comédie[1]) en vers (alexandrins essentiellement) de Pierre Corneille dont la première représentation eut lieu le 5 janvier 1637[2]. Tragi-comédie, le Cid est une pièce romanesque

qu’il s’agit en définitive, tout au long de la pièce, sous l’effet de la baguette magique d’Alcandre-Corneille : vertigineuse construction ! L’Illusion comique (1636) succède à cinq comédies, une tragi-comédie (Clitandre, 16301631) et une tragédie (Médée, 1635, qui vaut à Corneille une pension de Richelieu), précède immédiatement Le Cid (1636-1637), pièce suivie de la fameuse Querelle du Cid où interviendra la jeune Académie française. 1636 est une année cruciale. L’Illusion, perçue d’abord comme un