Conclusion Medee

appelle quelques commentaires : – Dans la tragédie classique du XVII, le nom du personnage principal (de rang élevé, roi, reine ou prince, héros mythologiques, ...) donne souvent son titre à l'oeuvre (voir par ex. Phèdre, Andromaque, ... de Racine ; Médée, Le Cid, Horace pour Corneille) – En revanche, la comédie classique qui met en scène des personnages d'une condition inférieure (bourgeois, petite noblesse, valets, ...) porte souvent pour titre le vice qu'elle dénonce (p. ex Molière avec L'Avare,

faire rire le spectateur au moment où le garde, dernière personne que Antigone verra, écrit un mot pour Hémon sous la dictée de celle-ci. Cela prouve qu’ils ont bien joué car c’est une pièce tragique et le spectateur n’est pas censé rire. En conclusion, j’ai bien aimé cette pièce car les décors étaient colorés et joyeux et je trouve que les acteurs ont très bien joué. Nolwenn Deboyser Paragraphe argumenté "Une définition originale de la tragédie" Antigone, de Jean Anouilh Par blandinef -

Proposition de lecture analytique pour l'exposition de Ruy Blas (acte I, scène 1) ✔ La fonction d'une exposition est d'abord d'informer (mise en place de l'intrigue, présentation des personnages, ancrage dans un lieu et une époque), mais aussi de séduire : il faudra étudier comment cette première scène s'articule autour de ce double objectif d'information et de séduction. ✔ Notons qu'en réalité l'exposition à proprement parler s'étend sur tout le premier acte : mise en place du motif de la vengeance

Trajan (1863). Avec cette peinture, l’artiste semble revenir à ses premières amours : l’Antiquité. De plus, la couleur si vive et les mouvements si expressifs rappellent les principales caractéristiques de sa peinture comme si cette œuvre est une conclusion venant clore tout son art. En effet, le 13 août de cette même année 1863, Delacroix meurt, ne pouvant réchapper à un mal qui l’affaiblissait depuis longtemps. Avec ses erreurs et ses défauts, Delacroix reste le peintre le plus considérable du

lesquelles les deux femmes se disent leur mépris et leur haine. 3. La première réplique de Médée est d’un mépris cinglant qui réduit à rien le dialogue qui s’amorce : la fille du roi de Colchos se moque ouvertement, avec une désinvolture grossière, de la reine de Lemnos. La modalité interrogative de la dernière réplique est d’une ironie blessante que renforce le cruel « jadis ». 169 4. Pour Hypsipyle, Médée n’est qu’une magicienne que Jason n’aime pas vraiment : il fait semblant de l’aimer par

différente chez l'homme et la femme permet d'ailleurs de justifier la stricte séparation des rôles et des espaces dévolus à chacun. Cependant , la question qu’il faut se poser est « pourquoi tous les ecrits et vestiges de la Grèce classique amènent à la conclusion que la femme etait profondément exclue de la vie commune alors que son role, bien que minimisé, était capital ? » D’abord , les femmes n’avaient pas toutes les mêmes conditions , selon leur statut de femme « libre » , de concubine ou d’epouse

qui revient avec et épouse Médée, ou encore Œdipe qui épouse sans le savoir sa mère) . Les caractéristiques du héros ne servent pas uniquement à l’embellir, d’une certaine façon elles l’enlaidissent aussi. A un moment le lecteur finit par le haïr et souhaite sa mort dû à sa déception ou à son dégoût face à cette personne « trop parfaite » : pour Achille, par exemple, à la découverte de son point faible, ils n’ont pas hésité à le tuer, d’une flèche au talon. CONCLUSION :

de machine à l’italienne. Ce baroque rejoint l’inconstance de Dom Juan qui est toujours en mouvement et qui organise des mises en scènes pour séduire les belles qu’il voit. La fin de Dom Juan est à la fois comique et tragique (mélange des genres) Conclusion : Dom Juan est une pièce à la fois comique et baroque. Il représente le libertin et en même temps s’oppose à la religion, c’est un rationalisme. Le côté baroque, vient de l’inconstance du personnage, de ses exagérations, de ses contradictions, du

ses victimes à un statut inférieur et humiliant qui les privera de la possibilité du retour. Grâce à la méfiance d’Euryloque et à l’aide d’Hermès, Ulysse déjouera le piège de Circé grâce au don par Hermès du contrepoison, l’herbe Moly. Circé, comme Médée est experte en potions et poisons. C’est un trait traditionnel dans la littérature des figures de magiciennes. Après qu’elle a prêté le serment majeur, elle se montre humaine et compatissante, v. 399. Elle ne cherche pas à tromper Ulysse. Elle se

condamnait cela) ; les tragédies latines sont appui sur la morale, les thèmes éducatives. Sénèque : il reste 9 pièces (Is. ap. J.C.). on ne sait pas s’elles étaient faites pour jouer mais elles étaient lus et récitées. Phèdre Médée Calderon Corneille Racine. Sénèque , Phèdre Médée, Calderon, Corneille, Racine. B) La Comédie http://remacle.org/bloodwolf/livres/litterature/romainelivre1.htm 1.1 En Grèce Comédie ancienne : Aristophane satire contemporain, critique les hommes politiques (Aristophane