Conclusion Metamorphoses Ovide

.......................38 Cléopâtre, un gage d’immortalité..........................................................................42 LA MÉTAMORPHOSE DU MONSTRE : VERS UNE DRAMATURGIE DE L’ÉLOGE.............................44 Les tragédies françaises de Cléopâtre aux XVIe et XVIIe siècles...........................45 La machine tragique : métamorphoses du héros...................................................51 3 La tragédie de Cléopâtre...............................................

uniques qui, si elles s’interrogent toutes sur leur temps national (par exemple, en Grèce, en Angleterre, en France, au Mexique, en Europe de l’Est ou en Russie) et sur le chaos mondial, ne procèdent pas de la même façon et n’en tirent pas des conclusions identiques. Mais ces œuvres dont on a pu voir ici un aspect, ne cessent de retravailler la matière ancienne sur Phèdre et Hippolyte et d’y trouver un sens fondamental dans ce ressassement. D’Homère au foisonnement de visages discordants

retrouve cette légende d'un lieu amène dans l'ensemble des fictions pastorales de l'Antiquité latine : ces récits mettent en avant le primitivisme des sociétés représentées souvent par un pays de cocagne mythologique. Comme par exemple dans les Métamorphoses d'Ovide [- 43 avant notre ère, mort en l'an 17 de notre ère] ou dans certaines odes d'Horace [ - 65 à - 8 de notre ère]. Les gens de la Bétique auraient en quelque sorte maintenu cet âge, un lieu hors de tout lieu, une uchronie (une fiction reposant

représentés de façons très anthropomorphique (sous forme humaine) et ont donc des caractères représentatifs aux Hommes, ce qui les désacralise. Plus on évolue et plus cela est vrai, la mythologie devient un recueil d'histoires divertissantes (Ovide, Métamorphoses) Les dieux grecs sont des puissances tutélaires, protectrices qui protègent les cités car ils représentent les éléments. Chaque cité a sa divinité protectrice et les relations des citoyens avec leurs dieux sont donc contractuelles (je te fait

souligne, révèle, dévoile, reflète, peint, dépeint, témoigne de, rend compte de, met en valeur, en relief, en évidence, en lumière, …" ; "ce procédé suscite, provoque, fait naître, a pour effet de, transmet…". Composer la conclusion • Faites une rapide synthèse des conclusions auxquelles vous êtes arrivé. • Portez un jugement sur le texte et son intérêt littéraire. • Ouvrez des perspectives plus larges à partir de ce texte : influence du texte sur la postérité littéraire du texte, rapprochements

pierre rebondit jusqu’à la hauteur de six églises. Elle alla retomber dans un lac, dont les eaux s’abaissèrent un instant, tournoyantes, en creusant un immense cône renversé. I,7 – p.92 Le second jet de projectile vise à éliminer l’archange métamorphosé en crabe tourteau : Mais, l’homme aux lèvres de saphir a calculé longtemps à l’avance un perfide coup. Son bâton est lancé avec force ; après maints ricochets sur les vagues, il va frapper à la tête l’archange bienfaiteur. Le crabe, mortellement

prétoriennes. LA LITTERATURE I. L’EPOPEE On trouve les traces d’’une épopée primitive avec Naevius qui composa le Bellum Punicum, histoire de la guerre entre Rome et Carthage et Ennius, auteur des Annales. L’Enéide de Virgile La Pharsale de Lucain Les Métamorphoses d’Ovide VIRGILE ET L’ENEIDE L’auteur Né à Mantoue, il est attiré par la philosophie et par la poésie. Il est introduit dans le cercle de Mécène, protecteur des arts et des lettres. Il compose l’Enéide à partir de 29 et il aurait demandé que l’œuvre

 les 12 travaux et le  schéma  structurel  de  l’initiation.  dans  les  œuvres  littéraires.  E.  Hemingway,  « Indian  Camp » ;  Ulysse ;  Extrait  de  l’Odyssée. Énée, extraits de l’énéide. Hypertextualité.   Horace :  Odes, II (extraits)  Ovide :   Métamorphoses III  (extraits) Orphée et Eurydice.   Extraits de la Genèse, du Livre des Rois et des Psaumes  Mort : résultat du péché originel.   Cheol (ou Shéol) : l’enfer des Hébreux.    Le livre de Job  Jonas  Job, Jonas et la baleine, saint Vincent

fr/prog - page 2 / 33 Atelier n°5 – Charte des examinateurs - Critères de réussite de la synthèse Évaluation globale Critères de réussite de l’introduction Critères de réussite de la conclusion - Critères de réussite de l’écriture personnelle Évaluation globale Critères de réussite de l’introduction et de la conclusion - Grille d’évaluation Critères de correction linguistique Critères pour la synthèse Critères pour l’écriture personnelle Direction de l’enseignement scolaire - Bureau du contenu des

majeure et la mineure) qui servent, l’accord étant fait, à faire admettre la proposition (conclusion). Mais, contrairement au syllogisme, les prémisses de l’enthymème sont vraisemblables plutôt que vraies et celui-ci efface l’une des trois parties. Voir Aristote, Rhét., II, 22-24, 1395b - 1402a ; Cicéron, De inv., I, 57-76 ; Jacques Scherer, La Dramaturgie classique en France, Paris, Nizet, 1950, p. 316-333. 20. Ovide, Mét., X, v. 252. 21. Cicéron lui-même efface parfois l’un des termes de l’enthymème