Conclusion Postmodernisme

Fakir Musafar et les « modern primitives » IV.2. Naissance de l’art corporel IV.2.A. Matthew Barney IV.3. L’art corporel IV.3.A. Orlan IV.3.B. Stelarc IV.4. L’art corporel et l’avenir de l’homme p.14 p.15 p.16 p.17 p.18 p.18 p.18 p.19 V. Conclusion VI. Bibliographie I. Introduction p.20 p.21 Il n’y a pas si longtemps encore, la culture des occidentaux, dont leurs arts, était fondée sur des canons ancestraux posés comme des idéaux auxquels il fallait s’en tenir. L’homme occidental d’alors

consommation ne doit plus être considérée comme une simple destruction (Boyer, 1999). La remise en cause de ce postulat se justifie dans le paradigme postmoderne (Brown, 1993 ; Firat et Venkatesh, 1995 ; Maffesoli, 1999 ; Pras, 1999). Pour le postmodernisme, le consommateur évolue « dans un monde de contradictions construit par ses productions de signes, engagés dans des construits non linéaires et dans des comportements improbables, contingents ou discontinus » (Boyer, 1999, p 70). Le consommateur

consommation ne doit plus être considérée comme une simple destruction (Boyer, 1999). La remise en cause de ce postulat se justifie dans le paradigme postmoderne (Brown, 1993 ; Firat et Venkatesh, 1995 ; Maffesoli, 1999 ; Pras, 1999). Pour le postmodernisme, le consommateur évolue « dans un monde de contradictions 11 construit par ses productions de signes, engagés dans des construits non linéaires et dans des comportements improbables, contingents ou discontinus » (Boyer, 1999, p 70). Le consommateur

......295 1. Le style comme symbole de consommation culturelle des jeunes et signe distinctif d’un mouvement 296 2. Pour une appréhension contextualisée de la consommation culturelle juvénile ................................... 311 CONCLUSION GENERALE ............................................................................................. 331 BIBLIOGRAPHIE ............................................................................................................... 345 ANNEXES

événements ; voici ce plan / fil directeur de l'histoire : la Création (Dieu a créé l'homme à son image), la Chute (Péché d'Adam), et la lente histoire de la Rédemption (qui a commencé avec la mort du Christ) jusqu'au Jugement dernier (fin du monde). Conclusion : l'humanité est, à travers l'histoire, soumise aux épreuves d'une rédemption progressive (qui consiste à se guérir du péché originel). L'histoire est donc celle du salut de l'humanité. Ce n'est pas à proprement parler une philo de l'histoire, mais

moderne 3. Vers un Disneyland sportif ? Partie 2 : Internationalisation de la NBA 1. Des joueurs étrangers toujours plus nombreux 2. Quand l’Europe envahit la NBA 3. Yao Ming : le géant chinois Partie 3 : La NBA dans le monde Conclusion Références bibliographiques Annexe Introduction La National Basket-ball Association, plus populairement connue sous l’appellation NBA, est la première ligue de basket-ball d’hommes

de la réflexion. | | |B-Analyse du statut du fait historique. | | |Conclusion | |   [pic] |Introduction

Self: Wittgenstein, Nietzsche, Foucault JAMES D. MARSHALL The University of Auckland, New Zealand Abstract. Critical thinking, considered as a version of informal logic, must consider emotions and personal attitudes in assessing assertions and conclusions in any analysis of discourse. It must therefore presuppose some notion of the self. Critical theory may be seen as providing a substantive and non-neutral position for the exercise of critical thinking. It therefore must presuppose some notion of

In this essay, I approach architecture, ethics, and globalization from the perspective of postmodern theory, which has both influenced and been influenced by architectural theory. In fact, architects were among the first to utilize the term "postmodernism." By "postmodern theory,” I have in mind positions that on the one hand criticize Western ethnocentrism, metaphysical foundationalism, centered subjectivity, and the idea of progress, and on the other hand celebrate the Others who have allegedly

révolution est dc une révolution philosophique qui a pour nom Descartes. Il est à la fois mathématicien et philosophe, et comme Gallilée, il a écrit un ouvrage de physique intitulé Le Monde. En tant que philosophe, Descartes a été conduit à tirer les conclusions philosophiques des découvertes faites par lui et par Gallilée, qui se résument en une phrase bien connue: « Je pense donc je suis. » Il s'agit là d'une phrase particulièrement scandaleuse pour l'époque: elle signifie que dès lors que l'individu