Conclusion Sur La Maltraitance

concrètes et durables pour se sortir de situations difficiles. J’ai fait le parallèle avec ma propre expérience de vie qui s’est toujours inscrite dans l'entraide, la bienveillance et la volonté d’être utile à la société, et j’en suis venue à la conclusion que je voulais exercer en tant qu’assistante de service social. 2. Projet professionnel Comme expliqué plus haut, je souhaiterais me former au métier d’assistante de service social. Cette volonté est le prolongement de ma carrière professionnelle

et de l’adolescent au sein de sa famille et dans la société. Une invitation à marquer une pause dans la course du quotidien, à partager des lectures en équipe, à prolonger la réflexion par d’autres textes. Coordination de l’aide aux victimes de maltraitance Secrétariat général Ministère de la Communauté française Bd Léopold II, 44 – 1080 Bruxelles yapaka@yapaka.be TEMPS D’ ARRÊT Psychiatre et psychanalyste, Pierre Delion est professeur de pédopsychiatrie à la faculté de médecine de Lille et responsable

6 : intérêt de Mlle Balandreau pour le narrateur. explication de qui est Mlle Balandreau => présentation et récit rétrospectifs qui explique les conditions dans lesquelles ils sont venus à se fréquenter. contraste entre entendre et voir la maltraitance : tant qu’elle ne l’avait pas vu Melle B. n’y voyait pas d’objection mais même un coté pratique (elle lui donne l’heure ! = humour noir). une solution est écartée : révéler le scandale au voisinage => crainte que la mère ne se venge le petit

de violence “Les actes qui se répètent de génération en génération, nous dit Caroline Eliacheff (…) c’est le cas de la maltraitance, sont essentiellement ceux qui n’ont pas été reconnus en paroles au moment où ils se sont produits.” p61 Cette citation rappelle qu’il est important d’être écouté, et non entendu, lors d’actes répréhensives telle la maltraitance. Cela me fait également penser à la transmission 5 transgénérationnelle des traumatismes psychiques. Or, cela touche tout

les domaines de travail ou encore dans les horaires, les hommes et les femmes ne sont absolument pas sur le même pied d’égalité. Ensuite, nous verrons les inégalités subies par les femmes au niveau de la violence : nous parlerons de viols et de maltraitances conjugale. Pour terminer, nous verrons comment la femme est utilisée comme objet dans la publicité : de Moulinex à du parfum, de la femme « fatale » à la femme au foyer. Femmes au travail Comme dit précédemment, les hommes et les

educative. Voici ce que dit a ce propos Mme Marie-France Ponelle, responsable de l'antenne des mineurs du barreau de Paris : « il y a des familles dans lesquelles on ne sait dialoguer que par la violence : victimes de l'indifférence, de coups, de maltraitance et d'abus sexuels, les enfants reproduisent à l'extérieur ce qu'ils vivent chez eux. De nombreux délinquants ont ainsi, en même temps qu'un dossier de délinquance, un dossier d'assistance éducative tant leur vie, leur famille, est difficile et

n’avez pas de quoi soudoyer les avocats » (l15-16) Concessions : « se sont enrichis dans les iles aux dépens de vos travaux et vos souffrances » (l20-21) * Le lecteur éprouve de la peine et de la haine face à l’impuissance des noirs et leur maltraitance. 2) Manque de liberté Champ lexical de la non-liberté :  « vos maitres » (l16), « il y a même des pays (…) point de liberté » (l18-19), « le droit » (l21), « n’est point permis de leur répondre » (l22) * Montre que les hommes ne sont

hyperréaliste. Les vêtements, les bigoudis, ou l’apparence de cette femme traduit l’appartenance à un milieu modeste. Il traite des sujets impliqués et engagés comme des multiples facettes du racisme, en passant par la pauvreté, la dépendance et la maltraitance. les deux débordent : un caddie plein à craquer, une femme serrée dans ses vêtements qui montre l’embonpoint de son corps. Mais encore, la posture de la femme, ses bigoudis, sa cigarette au coin de la bouche, montre une femme disgracieuse voire

essentielle dans l’accompagnement des personnes au quotidien. Il est également important de ne pas forcer le résident à faire ce dont il refuse car cela pourrait non seulement le rendre plus agressif et rejetant, mais aussi être ressenti comme de la maltraitance du soignant. Le but étant seulement de lui apporter un soin quotidien de manière agréable. Lors de cette situation, j’ai appris qu’il était important d’être à l’écoute des patients. Dans le cas de Mr H, une relation de communication adaptée au

prise du repas et accompagne les résidents dans leur chambre pour les aider au coucher et les rassurer de la nuit qui arrive . Le dialogue est constant, chaque personnes sont écoutées attentivement pour subvenir au mieux a leurs besoins 6. CONCLUSION En tant que futur AMP l’EHPAD « AU BON ACCUEIL » présente les meilleures attentes professionnelles de ce métier. Le bien être se fait sentir ,les équipes sont soudés ,la direction est très présente tant avec les résidents qu’avec son personnels