Conclusion Sur La Propagande Stalinienne

masses. Dans ce cas la presse a été un instrument de manipulation, d’influence sur les lecteurs. On peut citer le cas de la propagande dans les années 1940. En effet, Hitler célèbre dictateur fasciste contrôle la population grâce aux médias en pratiquant la censure, la diffusion « arbitraire ». A l’époque, la peinture, les affiches le cinéma et la photographie servent de propagande. « Cela va leur permettre d’influencer au plus profond des hommes leurs pensées en les convainquant qu’ils font le bon choix

Pologne, qui est écarté du pouvoir, comme de Rajk, en Hongrie (1949) et Slansky, en Tchécoslovaquie (1952), qui sont exécutés. • la stalinisation se traduit également par une propagande politique active: culte de la personnalité, révision des manuels scolaires, utilisation des intellectuels et des artistes à des fins de propagande. De surcroît, les autorités mettent en place une politique de surveillance, d'embrigadement ou de répression à l'encontre des populations civiles. • Seule, la Yougoslavie

Staline Introduction I°)Son enfance II°)Son ascension au pouvoir III°) Le stalinisme Conclusion Staline, de son vrai nom Joseph Vissarionovitch Djougachvili est née le 21 décembre 1879 à Gori (Géorgie, Russie) et est décède le 5 mars 1953 à Moscou (URSS).Successeur de Lénine à la tête de l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS), Staline a été l'objet de passions extrêmes. En russe Staline veut dire acier. I°) Son enfance Staline est née le 21 décembre

distinguer trois périodes : de 1945 à 1953, l'URSS stalinienne a construit et affirmé la satellisation de l'Europe de l'Est. De 1953 à 1985, la domination soviétique s'est poursuivie, malgré des tentatives d'émancipation et la déstalinisation en URSS. Mais les années 1985 à 1991 ont vu un effondrement rapide et brutal du système, dans un contexte d'assouplissement de la politique soviétique, mené par Gorbatchev. I. De 1945 à 1953 : l’URSS stalinienne construit et affirme la satellisation de l’Europe

entre totalitarisme et utopie. La génération d’après-guerre prend le relais (R. Bradbury, Fahrenheit 451 ; H. Harriston, Soleil vert ; I. Levin, Un bonheur insoutenable) et parvient, avec le recul, aux mêmes conclusions : l’utopie où l’on force les hommes à être heureux, par la propagande incessante, et l’eugénisme, est incontestablement totalitaire. Réciproquement, le totalitarisme qui organise l’amnésie collective et l’abolition du passé sous le contrôle “bienveillant” de Big Brother est terriblement

La propagande Soviétique Puis , nous allons présenter la propagande soviétique.            Le 23 août 1939, l'Allemagne signe le Pacte germano-soviétique (nom communément donné au Traité de non-agression entre l'Allemagne et l'URSS). Outre un accord de non-agression, ce pacte définissait aussi une répartition des territoires séparant l'Allemagne et l'URSS. Il fut rompu le 22 juin 1941, lorsque l'Allemagne nazie envahit l'URSS. Cette invasion provoqua le massacre de plusieurs millions de Soviétiques

idéologiques qui confirment la division en deux camps de la gauche. D’abord les non-révolutionnaires : les communistes, entre autres du PSUC (Parti socialiste unifié de Catalogne) et du PCE (Parti communiste d’Espagne), défenseurs de l’État communiste. Pro-staliniens, affiliés à la IIIe internationale, ils sont en défaveur d’une révolution. Leur principal syndicat est l’UGT (Union générale des travailleurs), également dominé par des communistes. Le PSOE (Parti socialiste ouvrier espagnol), qui se situe idéologiquement

au lendemain de la 1ère Guerre mondiale, voient le jour en URSS, Allemagne et Italie. • La notion de totalitarisme pose problème. Elle a été un instrument de guerre froide qui impliquait une identité entre les régimes fascistes et le communisme stalinien, affirmation qui ne résiste pas à l’analyse historique : ces régimes sont différents voire opposés par leur niveau économique, leur évolution sociale, leur culture politique, les forces sur lesquelles ils s’appuient, les buts qu’ils poursuivent.

l’entourage de Staline pour ne pas lui porter secours 14 C/ Les successeurs de Staline abandonnent le procès. 16 Conclusion Bibliographie Annexe : Une du Monde du 14 janvier 1953 Introduction Staline, chef tout puissant de l’URSS de 1929 à 1953, a plusieurs fois dénoncé des complots, réels ou imaginaires, et organisé la condamnation des supposés conspirateurs. Le régime stalinien a utilisé la lutte contre les complots pour démanteler toute opposition qui pourrait nuire au régime. Ainsi,

autant une victoire de la démocratie ? La présence de l’URSS stalinienne dans le camp des vainqueurs rend cette question pertinente, d’autant plus que, bientôt, dans le cadre de leur affrontement avec le monde communiste, les Etats-Unis (et d’autres démocraties) n’hésitent pas à soutenir des dictatures. Les rapports entre guerre, démocratie et totalitarisme sont donc bien le fil conducteur de cette période. » Le totalitarisme stalinien est dissimulé, sous le terme de « démocraties populaires », par