Conclusion Sur La Tragédie

MartinelliIntroduction : Britannicus est une pièce s’inspirant de l’histoire romaine, notamment de l’historien du premier siècle, Tacite. En effet, cet historien écrit à propos des Julio-Claudiens, c’est-à-dire à propos des empereurs romains. Cette tragédie classique fut jouée pour la première fois en 1669, faisant réfléchir sur les thèmes de la légitimité, du pouvoir et de la tyrannie. En effet, l’empereur Néron, qui vit au gré de ses passions, fut mené jusqu’au trône grâce aux manigances de sa mère

trait ->  caricature = comique. 3) La dénonciation de l’hypocrisie sociale • Célimène n’hésite pas à médire pour continuer de plaire. • Critique de l’excès des courtisans peints par ces portraits. ⋄ Molière dénonce l’hypocrisie sociale. Conclusion       La peinture des caractères est une mode au XVIIème siècle et était courante dans les salons comme celui-ci. On voit Célimène dans ce qu’elle aime et on comprend mieux l’incompatibilité de son caractère avec celui d’Alceste Acte 3 scène

ou une nouvelle. Cela dit, la nouvelle est généralement un récit court et cette brièveté permet d’intensifier l’effet produit par le texte. À la différence de la fable, il n’y a ordinairement pas de morale dans la nouvelle ; il n’y a donc pas de conclusion, d’enseignement à tirer du texte. En général, le récit est centré autour d’un seul événement (fait ponctuel, parfois futile). Les personnages sont peu nombreux et sont pourvus d’une réalité psychologique, bien que celle-si soit moins développée

Sujet 2 page 2 : I- Les conventions théâtrales 1) Le théâtre codifié dès son origine Le théâtre, dès son origine, a été théorisé et soumis à un ensemble de règles : Aristote dans la poétique codifie le genre théâtral à partir des tragédies antiques. Il définit la tragédie comme « l’imitation d’une action sérieuse et complète, elle a une juste grandeur, son langage est agréable… les évènements y sont joués par des personnages et non racontés dans un récit ; enfin, elle provoque la pitié et la crainte

s'ils jouent des tragédies et des tuniques et des chaussures plates s'ils jouent des comédies. 4) Les styles de pièces. La pantomime:pièce d'origine sicilienne. Elle comporte 1 acteur,1 orchestre et le choeur, spectacle aux sujets grossier voir obsène... L'atellane:pièce improvisée utilisant des personnages toujours les mêmes personnages: Maccus, Bucco, Passenus, Manducus (l'ogre), Limia ( l'ogresse)... C'est une farce burlesque souvent obsène jouée à la suite d'une tragédie. Le mime: spectacle

Proposition de fiche de lecture : Plan Introduction I. Biographie II. Bibliographie III. Schéma narratif IV. Schéma actanciel V. Schéma finale Conclusion Introduction : Nous exposons ici l’une des œuvres de Pierre CORNEILLE intitulée Horace. Cette œuvre nous montre une interprétation d’une tragédie. Cette pièce théâtrale illustre la difficulté, voire le gène éprouvé par le roi devant Horace, ce criminel de l’État. Sans doute est-ce pour cette raison que presque toutes

blessure de l’épée (métaphore sur plusieurs lignes)  percé (1) ; atteinte imprévue, mortelle (2) ; âme abattue (5) ; coup qui me tue (6)  inspire la pitié pour la souffrance de Rodrigue • Champ lexical : souffrance  « peine, misérable, malheureux » • tragédie grecque : doit inspirer terreur et pitié. Pour la catharsis : laver les pensées malsaines • Périphrases (désignation d’une personne ou d’une chose par une autre expression)  insiste sur son misérable sort • oxymore : alliance de mots contradictoires :

car ils sont changeants et innombrables. De plus, la richesse langagière est immense, il n'y a pas de bienséance (tout, ou presque, peut être dit), tous les vocabulaires (ceux du droit, de la médecine...) y sont utilisés. Les genres sont multiples: tragédie, comédie, pastorale, mélodrame, tragi-comédie, pièce historique, et ils interfèrent librement. L'unité de temps, de lieu et d'action n'est pas présente, tout comme la contrainte réaliste. Shakespeare vivait à une époque de grands bouleversements

dialogue, plus de coups. ce à quoi Jason répond par une autre affirmation : ils ont les mêmes douleurs. Vont-ils pleurer ensemble : duo ou duel? Stychomythie ; le couple de la haine = voix criardes vs chants (Le jeu vocal est signalé) Deux conclusions "pour en finir" Jason : solution humaine : enterrer les enfants. Dénouement pitoyable ; recevoir les restes d'Argo sur la tête. Médée : solutions divines : créer un culte: aller chez Egée. grâce au Soleil. Avec le don de prophétie Scène 13

a) pourquoi Auguste pardonne? B)Un dénouement placé sous le signe de la réconciliation III) disparition de la haine d’Emilie qu’elle croyait immortelle IV)Le héros cornélien Le message implicite du dramaturge Conclusion introduction En 1640, Corneille fait jouer Cinna, tragédie en cinq actes et en vers : Émilie, protégée par l’empereur Auguste, songe malgré tout à le tuer, car il a jadis condamné son père. Auguste, las du pouvoir, est prêt à abdiquer. Cinna lui conseille de renoncer à ce projet