Conclusion Sur Le Déficit De Sécurité Sociale

l’objectif de l’Etat. Cependant, il existe des divisions car on a des Etats qui pratiquent le modèle béveridgien, basé sur un système national de santé, et d’autres préfèrent le modèle bismarckien reposant sur une gestion par le biais d’assurance sociale. Bien que des pays comme la France ou la Suède jouissent d’excellentes réputations dans ce domaine, il n’existe pas pour l’heure dans le monde un système de santé idéal, qui concilie à la fois universalité de l’accès à des soins de qualité, équilibre

en 1945, a représenté un progrès social sans précédent. Face aux attaques du Gouvernement, elle doit être défendue et refondée. 1° L’assurance maladie: c’est notre santé, notre vie L’objectif ultime de l’assurance maladie doit être l’amélioration de l’état de santé de chacune et de chacun. Certes, la progression du niveau de santé général et de la situation sanitaire particulière de chacun ne dépend pas seulement de l’assurance maladie. D’autres facteurs sociaux interviennent également, comme :

situation de balance commerciale négative (l’Etat importe plus de produits qu’il n’en vend), les régimes politiques des années 90 et leurs successeurs des années 2000 ont tous porté une attention particulière au financement de la sécurité sociale, à travers la Contribution Sociale Généralisée (CSG). Cette taxe est un point phare de la pression fiscale, parce qu’aucun produit de placements n’échappe à son imposition (à l’exception des Livrets A, du Codevi, du Livret Jeune, du Livret d'Epargne Populaire

existent pour les patients avec problématiques psychomotrices permettant de les orienter vers les professionnels libéraux (psychomotriciens, ergothérapeutes et psychologues) et c’est totalement remboursé par la sécurité sociale. Ainsi les psychomotriciens libéraux sont rémunérés par la sécurité sociale. Le psychomotricien s’engage à respecter les recommandations de bonne pratiques (HAS), qu’il doit consulter régulièrement pour être à jour. Cette plateforme est pour l’instant consacrée à des enfants âgés

trouver des solutions de sortie de crise et de relance de l’économie, mais prennent-ils les toutes les mesures nécessaires et les bonnes décisions ? a) Les Etats de la zone Euro en crise Entre 2007 et 2010, on voit nettement que les ratios déficit/PIB et dette/PIB explosent pour tous les pays d’Europe. Le niveau d’endettement de la Grèce notamment, ainsi que de l’Irlande ou de l’Italie, est même alarmant (doc 2). L’Europe décide de réagir et avec l’aide des organismes financiers tels que le

question sociale : taux de chômage important, échec scolaire des enfants... Selon lui, cette lecture des problèmes par la prise en compte des conditions économiques n’a jamais entièrement convaincu. En France, deux types d’interprétation complémentaires ont été avancées : * La première prétend que les quartiers populaires seraient le théâtre d’une désorganisation des repères familiaux et moraux, d’une altération des solidarités, le tout alimenté par des politiques d’assistance sociale trop généreuses

+0,3 %). Sources : www.insee.fr : Indice des prix à la consommation / www.coe-rexecode.com : la hausse des prix en fin d'année 2010 ne signe pas le retour de l'inflation / www.destasis.com/ www.terrepolitique.com : Les causes de l’Inflation En conclusion : alors que le PIB allemand tire sa force du secteur primaire avec l’industrie, celui de la France repose principalement sur le secteur tertiaire avec les services. En effet la France à délaissé ce domaine en entamant le processus de désindustrialisation

juste ce qui est jugé égal et la justice sociale est un principe qui conduit les pouvoirs publics à privilégier et à promouvoir l’égalité et par conséquent lutter contre les inégalités. Problématique : Qu’en est-il vraiment ? La lutte des pouvoirs publics contre les inégalités de droit, des chances, de fait, est-elle efficace? Quels sont les différentes politiques mises en œuvre à cet effet? Quels sont les limites de l’action de l’Etat en matière de justice sociale ? Est-il même socialement efficace de

et des faiblesses. 13 1) Tableau des forces et des faiblesses. 13 2) Commentaires. 13 Principales exportations: 14 Principales importations: 15 3) Conclusion. (le pays est-il compétitif ) ? 15 III) Analyse des finances publiques. 16 1) Différence entre déficit budgétaire et dette publique (+définition). 16 2) Déficit budgétaire ou déficit public. 16 A) Chiffres des années 2012 et 2013. 16 B) Situation par rapport aux critères de Maastricht. (+ explication) 17 3) Dette publique. 18 A)

tire profit pour les pauvres, mais surtout pour les riches B. Réformes en cours III. La caisse de compensation est-elle profitable ? A. Expériences internationales B. Réforme à appréhender, des recommandations à analyser Conclusion Introduction Au cours de l’année 2012, les charges de la Caisse de compensation ont dépassé les 54 milliards de dirhams. Un budget énorme, lorsqu’on sait que le budget général du pays ne dépasse guère les 210 milliards de dirhams. Soit presque