Conclusion Sur Le Mendiant De Victor Hugo

plus fort que lui : piège vivant, forme de séduction. C’est la faiblesse de l’homme plus fort que lui qu’il sollicite. Spinoza Ethique IV, 50, p0 267 : « nous sommes facilement trompés par de fausses larmes ». Victor Hugo évoque dans un passage des Misérables la stratégie séculaire des mendiants aux alentours de Notre-dame qui consistait à se maquiller les yeux de noir et les pommettes de gris, à se parfumer de matière en putréfaction, pour évoquer un malade sur le point d’expirer et arracher ainsi

il faut passer par quelques étapes indispensables : • Traiter le sujet posé • Organiser logiquement son travail • Rédiger quelques éléments au brouillon • Rédiger au propre, le style de la dissertation : l’introduction et la conclusion Traiter le sujet posé Toutes les étapes suivantes sont nécessaires : • lire le sujet une première fois en entier • distinguer les notions-clés, les verbes, les temps, les citations, les questions, déterminer les références probables

situation finale de l’épisode (avant de nouveaux rebondissements) montre le loup pris dans la glace et Renart se moquant de lui ; La moralité qui fait de cet épisode un apologue est énoncée par Renart à travers une maxime générale qui tire la conclusion de l’aventure : « On perd tout à vouloir tout gagner. » (l. 26). Analyse 4. D’un bout à l’autre de l’épisode, Renart mène le jeu. Il prend l’initiative à tout moment : c’est lui qui court en tête jusqu’au seau (l. 5), c’est lui qui incite Ysengrin

Marivaux 1667 Andromaque Racine 1687 Le Cid Corneille 46 — © Cned, Français 3e © Cned – Académie en ligne Séquence 4 XIXe siècle : ____________________________________________________________ ______________________ 1830 Hernani Victor Hugo XXe siècle : 1833 On ne badine pas avec l’amour Les Caprices de Marianne Musset 1897 c c Cyrano de Bergerac Edmond Rostand ____________________________________________________________ ______________________ 1853 En attendant Godot Beckett

divin « le moi est haïssable » le prodige du moi humain • personne n’arrive à concevoir comment le corps est assemblé à l’esprit la sensation d’exister est dans la pensée (si ma mère n’aurait pas exister / je ne suis pas un être nécessaire) Conclusion: il faut n’aimez que dieu et ne haïr que soi - le MOI EST IMMORAL ET INJUSTE (ce met au centre) OR le seul moi est Dieu - le seul fait de penser à soi est une forme d’impolitesse « l’honnête homme » : tout gentil homme se doit d’être honnête

organes) à l’abstrait (pouvoir, intelligence) pour énoncer la même évidence : c’est la soumission, voire la complicité du peuple qui « fait » le tyran. L’analyse du texte • L’auteur : La Boétie (1530- Page de titre du Discours de la servitude Conclusion Ce texte provoque le lecteur en 1563), resté dans les mémoires volontaire, édition de 1836 © Gallica. inversant le rapport de responcomme l’ami de Montaigne ; sabilité qui justifie l’existence d’une tyrannie. Cet même idéal de tolérance. • L’œuvre

qui dépassaient la mesure ; en un mot, c’était un excentrique, transporté d’enthousiasme pour la poésie, récitant des vers de Hugo, Gautier, etc., à tout propos, et, pour moi et beaucoup de nos camarades, c’était une cervelle à l’envers». Cependant, il acquit une riche culture classique, et, ses premiers goûts littéraires se déclarant, lut Chateaubriand, Lamartine, Hugo et Sainte-Beuve («Mûri par vos sonnets, préparé par vos stances,[…] je suis vis-à-vis de vous comme un amant» allait-il lui écrire

subjectivités. 1. La poésie épique : de la matière légendaire à une métaphysique de l’histoire Chercher à penser les rapports poésie et histoire, c’est d’emblée convoquer l’épopée. Le genre n’a cessé d’être auréolé d’un immense prestige d’Aristote à Hugo, au point de devenir un passage obligé pour tout grand écrivain. Depuis Homère et Virgile, la poésie et l’histoire sont comme les deux faces d’un même processus à travers lequel un peuple trouve l’expression la plus accomplie de son destin. L’épopée

négativement) – s’il fallait en croire… (expression de doute) – nous suivrons (untel) pour affirmer que… – selon le principe (ou le critère) fixé (ou formulé) par… – en prenant pour modèle… – en définitive, nous approuvons cette pensée de… (formule de conclusion) Autres expressions utiles : – lu dans la presse… – entendu sur les ondes… – déclaré par…, proféré par… Pour l’oral, il faudra veiller à trouver les expressions et les intonations appropriées et à les varier si vous avez beaucoup de citations à

......................................................................32 Démarche méthodologique de l’introduction ......................................32 2.2.1 2.3 Bâtir une conclusion..................................................................................34 Démarche méthodologique de la conclusion ......................................34 2.3.1 2.4 Construire un paragraphe argumentatif.....................................................35 Démarche méthodologique du paragraphe