Conclusion Sur Le Visage De La Guerre Dali

PLAN Intro, conséquences de la guerre (humain, matériel, politique étrangère pacifiste, éco), culture (dada, surréalisme, américains, musiques et danses, art déco, garçonne) mais élitiste et les autres de masse (cause féminine, télécommunication…), permanence des problèmes (laissé pour compte, instabilité politique, éco mitigée, clivages sociaux…) Le glas des années folles, conclusion, débat. Introduction Après l’épreuve de la Grande Guerre, les années 1919 à 1929, « les années 20 », signent une

néo-impressionnisme : - il conserve les couleurs complémentaires - il ajoute le mélange optique (2 points de couleurs différentes côte à côte en créent une troisième: comme lʼoeil humain) - il fixe lʼexpression des lignes à partir du visage humain Les lignes droites représentent un visage calme, les lignes du centre le haut la gaieté, les lignes du centre vers le bas la tristesse. Le Cirque Georges SEURAT 1891 Avec ce langage des lignes, on retrouve une oeuvre stable, ce qui est très différent des impressionnistes

qui sont de grosses machines visant surtout les adolescents. b. Les films disparus. Il faut savoir que le cinéma a été détruit plusieurs fois : - En 1920 après la Première Guerre Mondiale, il y eut une forte évolution du cinéma. ⇨ La production ne voulait plus du cinéma d’avant guerre. ⇨ On brûla une grande partie des vieux films. - Au début des années 50, où la pellicule inflammable fut remplacée par une autre qui brûlait moins facilement. ⇨ Effet

tenu pour mort à la guerre. » (p. 29) De cette « folie » surréaliste, on mesure soudain l’origine : le traumatisme de la guerre. Traumatisme dont est né Dada. Dada accouchant à terme du surréalisme, monstre séduisant et plus mobile, rêvant révolution radicale, mutation de l’être, libération de l’humanité, mais selon des règles assez despotiques, comme Dali aura l’occasion de nous le rappeler plus loin dans ce polycopié. « La seule différence entre moi et un fou » dira Dali, « c’est que je ne suis

plupart des gens perçoivent le monde. La psychologie cognitive est en lien avec d’autres domaines de la psychologie (clinique, sociale, neuropsychologie, les neurosciences. + l’informatique, l’intelligence artificielle, la philosophie). S. DALI « regarder c’est inventer »: une fois qu’on a vu le chien, on ne peut plus ne pas le voir-> c’est la réorganisation des informations perçues par le cerveau. Cependant ce phénomène à des limites: on ne peut pas, malgré toute la volonté dont on peut

Edebiyat Fakültesi, Fransız Dili ve Edebiyatı Anabilim Ö retim Üyesi. arzukunt@istanbul.edu.tr ∗ Dalı 34 Burdur E itim Fakültesi Dergisi L’etre Et Le Neant Dans Fin De Partie De Be Beckett Arzu KUNT Keywords : Being, existence, nothingness, death, anxiety, infirmity, disability, birth. Face à un monde incompréhensible et irrationnel dû notamment aux grandes ruines des deux guerres mondiales, plusieurs philosophes contemporains (Jaspers,Marcel, Heidegger, et écrivains (Sartre, Camus)

J’ai essayé de contenir les 150 biographies chacune en une page, mais quelques maîtres ne s'y sont pas pliés. Concrètement, sont dans ce cas, et je vais les citer dans l’ ordre alphabétique utilisé pour l’ensemble de la partie biographies, Salvador Dalí, Raoul Dufy, Alberto Giacometti, Francisco de Goya, Le Corbusier, Henri Matisse, Michel-Ange, Pablo Picasso, Auguste Renoir, Jean-Paul Sartre et Léonard de Vinci : ces 11 personnages ont dépassé l’espace, que je m’étais fixé, de par leur grandeur et

facteurs. C'est une recherche du nouveau, un besoin d'évasion, un changement dans la perception des choses... Durant la période 1919-1939, il y a un grand changement de la perception visuelle de l'homme. Ceci est dû en partie à l'état d'esprit d'après guerre (les hommes cherchent de nouveau moyen d'évasion); aux innovations technologiques qui rendent possible une transformation dans la production artistique et permet de donner l'envie d'aller au-delà de ce qui se fait dans le présent. La nouvelle perception

immédiat avec la « culture des terres » (l. 17). La conséquence serait désastreuse : « le peuple dépérirait tous les jours, et l’État deviendrait si faible » (l. 21-23). Dans le dernier paragraphe, Usbek, et par sa voix Montesquieu, formule une conclusion d’ordre politique : la puissance d’un souverain dépend de l’enrichissement et du bonheur individuels des citoyens et donc de leur désir de se « procurer toutes sortes de superfluités » (l. 30-31). Le philosophe est convaincu que le superflu est

2) imiter peut se comprendre en deux sens très différents : a) Ou bien comme une sorte de souci de réalisme très dur comme une simple photocopie de la réalité. On devrait alors voir sur le tableau les verrues de la vieille femme, la laideur des visages, comme dans le roman la misère du peuple. Sans le moindre souci d’idéaliser quoi que ce soit, ni même d’y rechercher une quelconque trace de l’esprit. Montrer les choses telles qu’elles sont, sans aucun projet esthétique. Le réalisme en ce sens, c’est