Conclusion Sur Ruy Blas

Les acteurs seront également richement habillés, leurs tenues seront flamboyantes ; on en déduira leur statut social élevé. Le costume entretient en effet un lien ténu avec le rang du personnage. Le simple port de l’épée révèle sa grandeur. Dans Ruy Blas, Don César est déguenillé, mais il conserve néanmoins son beau pourpoint. On en déduit qu’il est un noble déchu. Si la détermination de l’époque par le costume n’est pas toujours facilitée par le metteur en scène, elle reste relativement possible

au décor fastueux. La « Toison d’or » signale et symbolise sa toute-puissance. Le noir de son costume est à l’image de son âme de traître, mais son « riche manteau » traduit sa dissimulation. Gudiel, son âme damnée, est à l’unisson (« en noir »). Ruy Blas, lui, se distingue d’eux par son habit de laquais, marque manifeste et sans équivoque de sa condition sociale, et par sa « tête nue ». Dans la scène de Beckett, la « chaussure » d’Estragon est un élément indispensable de la scène, autour duquel tournent

Introduction Cette scène de Ruy Blas, de Victor Hugo, est dans la lignée de la scène II de l’Acte II, mais la scène V est une transition dans l’acte et va permettre le passage à l’acte III. La reine pense avoir sauvé la vie de Ruy Blas en écartant son ennemi : cela justifie la présence de cette scène de divertissement dans une tonalité plutôt comique, plutôt gaie pour amoindrir la pression et pour finir l’acte avec une perspective plus riante. Annonce du plan Etude méthodique I. Rapports

personnalité politique et un intellectuel engagé qui a joué un rôle majeur dans l’Histoire de son siècle. Le passage que nous allons étduier porte sur l'oeuvre : Ruy Blas.L'action se déroule en Espagne . Elle nous fait par du moment où don Salluste ,qui souhaite se vanger de la reine car il a été exilé par celle-ci , la surprend avec son amant Ruy Blas. Nous pouvons nous demander comment s'opere la montée de la tension dramatique tout au long de cette scène Dans un premier temps nous allons étudier les deux

convaincre le Ducdu bien fondé de la République, la révolte qui formente des Strozzi et le projetd’assassinat de Lorenzaccio.b.refus de la bienséanceInspiré du drame Shakespearien, présence de sang sur scène, d’assassinats, desuicides comme dans Ruy Blas, Lucrèce Borgia (V. Hugo) Lorenzaccio (A. deMusset).c.refus du moralismeLa fin ne correspond pas aux attentes morales du spectateur : les personnagesnégatifs ne sont pas forcément punis. Lorenzaccio est une pièce très ambiguë :on ne sait pas vraiment

juxtaposition du tragique et du comique des effets particulièrement saisissants qui renouvellent l'approche des situations et des personnages. Le comique et le tragique agissent comme contrepoints réciproques et se renforcent l'un l'autre (Lorenzaccio, Ruy Blas ou Marion Delorme). Le bas et le haut I-L'esthétique du bas En choisissant de représenter le trivial, le drame refuse cependant de n'être que le décalque de la banalité et de la platitude. Ainsi Hugo invite à fuir le commun, allant jusqu'à

II)Fonctions de ce genre......................................................... p. III) Histoire et évolution du théâtre........................................ p. IV) Auteurs et œuvres du XVIe siècle à nos jours................. p. Conclusion.............................................................................. p. Introduction Après avoir étudié le roman et la poésie, nous allons maintenant voir un genre littéraire assez diffèrent de part leur

Lecture analytique n°2: Ruy Blas, HUGO (1838) Intro: Ruy Blas, Hugo. Drame romantique. Chef de file du romantique et surtout théoricien du genre romantique (drame, dans la Préface de Cromwell) Ici monologue de la reine, Acte II scène 2. Don Salluse bannit de la cour par la reine → complot, RB amoureux secrètement de la reine. La reine est partagée, tirailler entre deux sentiments → Devoir de reine et épouse ou son désir vis-à-vis de l'amant mystérieux. Lecture du monologue. Pb:

Sujet 2 : « Pourquoi donc étiez-vous, comme eût été Dieu même, Si terrible et si grand ? » ( V1209/1210) Ruy Blas, V. Hugo, AIII, sc3 ; 1) Introduction : bien situer : le Grand Discours, sa nature, son public officiel et son public secret : la Reine ; 2) L’enthousiasme de la reine s’explique par le parti pris de son amour qui se trouve confirmé par ce spectacle : voir son Amant dans toute sa noblesse. 3) Mais la Reine ne traduit pas seulement un sentiment personnel :

Deuxième groupement de texte : Texte théâtraux I-Don Juan (Molière) Cursife (II- Ruy Blas (Victor Hugo) ) III- En Attendant (Godot Beckett) IV- Tartuffe (Molière) V-Les Justes (Albert Camus) I- Dom Juan Molière (comédie classique) Pièce écrite en 1605 par Molière. 3 scènes qui constituent la fin et l'épilogue de la pièce. On assiste à la mort du personnage éponyme 1) Registre Tragique Ce qui montre que la pièce