Conclusion Tartuffe Faux Dévots

convocation d'un tel sujet au dîner est en elle-même scandaleuse et traitée ici par l'ironie. (voir 2.3) Ironique aussi la prosopopée finale qui donne la parole à la nation française (l.39 à 41) : la superficialité du raisonnement déductif (sorte de faux syllogisme) et, là encore, le contraste entre le futile "perruquiers, cuisiniers, tailleurs") et le sérieux "les lois". Jusqu'à la faiblesse lexicale de la phrase ""donc, nos lois sont bonnes". Le raisonnement ici est caricatural et rappelle certaines

autant qu’acteur, auteur et directeur de la troupe. Mais sa vie n’était pas une mer de roses, par exemple la pièce Tartuffe, joué par la première fois à Versailles était interdit, (parce que la pièce avait un style typique de Molière), il expose et il critique, l’hypocrisie des faux dévots, et ça aura fait un scandale. Cette pièce était interdite par le roi sous la pression des dévots qui se sont sentis touchés par cette pièce. D’autres pièces qui étaient interdites aussi c’était Don Juan (1665).

l’amour filial. Il est convaincu qu’il n’y a plus rien à faire dans cette société finissante. Voilà pourquoi, il finira par se résoudre à faire l’hypocrite. Molière renoue ainsi avec la comédie de mœurs et règle ses comptes avec les censeurs, les faux dévots, les fausses prudes, les parasites de tous ordres avec lesquels il a eu maille à partir pendant sa carrière. Pistes pour les lectures analytiques Lecture analytique 1 : Acte 1 scène 1 Une scène d’exposition classique La scène

subjective, plus exactement une valeur axiologique, car petite voix représente exactement l’appréciation générale concernant la voix de la première dame de la France. De toute évidence, la première dame n’en est pas consciente, ce qui résulte de sa conclusion : « il faut se rendre à l’évidence : tout est petit chez nous. » Les changements de sens dans le langage des médias En général, les changements de sens sont caractéristiques à la langue littéraire et ils appartiennent aux écrivains, aux poètes

prétendument notables. Est-il menteur ? Non, car il n’a pas l’intention de tromper. Simplement pour lui les perspectives sont faussées par cette constante recherche d’une image flatteuse de lui-même. 14 Conclusion Trait essentiel du caractère et réussite de la création. Unité artistique. La conclusion de la pièce est à ce titre bien significative, M. Jourdain se trouve pris à son propre piège, il devient peu à peu le jouet de ses illusions. Le Bourgeois Gentilhomme, c’est la déchéance d’un être

ostentatoires, ou bien, la perfection controversée du chêne. La nature renverse alors les rôles, et arrache le chêne. C'est une morale importune car rare et insolite. Elle surprend. Avec les vers 27 et 28, on voit la rareté de ces faits. Conclusion : Le chêne, puissant et imposant protecteur égocentrique se voit déraciné par le vent, sans avoir pour autant plié. De son côté, le roseau est resté debout, mais avec habileté, en courbant la tête. La Fontaine arrive donc à controverser son dogme

* christian.mathisarobaseclub-internet.fr Quelle remise en cause de l'ordre social et moral le Dom Juan de Molière propose-t-il ? Le DOM JUAN de Molière n'est pas une création originale. Contrairement à Tartuffe ou Harpagon, ce personnage n'est pas un type unique , il a existé avant et après Molière. Il existe d'innombrables Don Juan . C'est ce qui en fait un mythe : un personnage représentatif dans l'imaginaire collectif. Le DON JUAN de Molière n'est pas qu'un séducteur, c'est un révolté qui

que l’on puisse jouer aujourd’hui » disait Don Juan dans l’Acte V scène 2 du Dom Juan ou le Festin de Pierre de Molière (1665). Cette phrase reflète à elle seule deux aspects de la pièce. En effet, elle marque la critique menée par Molière des "faux" dévots, et de plus souligne le concept du theatrum mundi à travers le verbe "jouer". L’étude que nous mènerons, s’attachera autour de quatre points. Tout d’abord, nous verrons en quoi la pièce se fait le miroir des genres dramatiques. Ensuite nous nous

changement de perception, de sensibilité, de mentalité, de centres d'intérêt et de conditions matérielles des spectateurs. Pour s'adapter aux attentes du public , il faut transposer. Ainsi, le Tartuffe d'Ariane Mnouchkine se « joue » en terre d'islamisme. De nos jours, en effet, il n'y a plus de faux dévots au sens du XVIIe siècle ; or, le problème de la religion se pose toujours, mais en d'autres termes. Les objets ou les costumes n'ont pas la même valeur symbolique selon les époques : cela autorise

DOM JUAN [ Dom = dominus , le maître , Don = titre espagnol] Présentation : 1665 = Tartuffe interdit. Dom-Juan pièce écrite dans l’urgence (difficultés financières )Il choisit le thème à la mode de D.J. ( il s’inspire de Tirso de Molina) D.J. est une pièce de combat : M. reprend ses attaques contre les faux dévots : on retrouve les thèmes de la religion , de l’hypocrisie , de l’argent , des privilèges de la naissance + le thème dominant de l’infidélité . Contexte historique : le XVII = grd siècle