Conclusion Tartuffe Faux Dévots

maître Patelin, anonyme, M.A ( SATIRE 2 la justice. Pierre Patelin, avocat, parvient à voler à 1 marchand 2 draps et à faire acquitter 1 berger malhonnête sans être inquiété par le juge qui se laisse berner par ses habiles paroles. ) Tartuffe, Molière (Dénonce des Faux dévots : attitude hypocrite 2 ceux qui simulent une grande ferveur religieuse) Misanthrope, Mol. (critique mondains) Les femmes savantes, Mol. (critique les pédants. 3 femmes, Philaminte, Bélise et Armande, se prosternent 2 façon ridicule

fidélité et de la tranquillité. Son mépris pour les partisans de la fidélité s’exprime dès le début de sa tirade : « la constance n’est bonne que pour des ridicules« . Le mariage est tourné en dérision par l’emploi d’une antiphrase : « La belle chose de vouloir se piquer d’un faux honneur d’être fidèle ». (L’antiphrase est une figure de style qui consiste à dire ou écrire le contraire de ce que l’on pense. C’est un des procédés de l’ironie).  Son orgueil démesuré le mène à se comparer à Alexandre le Grand, un des plus grands conquérants de l’histoire

[2] ». Comment ne pas lui donner mille fois raison, en effet, quand on constate que la plupart des éditeurs et des commentateurs modernes de la pièce, après avoir rappelé que cette scène était celle qui, au XVII° siècle, avait le plus scandalisé les dévots, la présentent ensuite volontiers comme une scène quasi édifiante, qui, exaltant la figure du Pauvre et stigmatisant le comportement de Dom Juan, nous fait assister à la défaite du second dont l'acharnement sadique ne peut venir à bout de la grandeur

soit parce que certains passages blessèrent le public. En fait, le scandale qu'elle souleva fut la seule cause de cet échec : les ennemis de Molière, les gens qui s'étaient acharnés contre lui depuis “L’école des femmes” et surtout à propos du “Tartuffe”, étaient de nouveau entrés en lice, la pièce s'intégrant à la délicate question de la libre-pensée au XVIIe siècle. Dès la seconde représentation, Molière dut couper un certain nombre de répliques, en particulier la «scène du pauvre» III, 2). Il

intellectuel. En effet, les thèmes et idées abordés sont généralement plus accessibles, et avec un apologue amusant le lecteur a tendance à être plus réceptif au message de l’auteur ; Molière dans Tartuffe ou l’Imposteur (1664) a un but très précis : c’est naturellement de s’attaquer aux faux-dévots, et plus particulièrement aux membres de la Compagnie du Saint-Sacrement, organisation secrète qui aura comprimé le notoire auteur de pièce de théâtre durant toute sa vie. Chez les humanistes, l’un

convaincants et qui détruisent le discours mensonger des colonisateurs. Au XVIIème siècle, outre le moraliste la Bruyère déjà évoqué, nous pouvons penser à Molière qui prétendait avec la comédie « corriger les mœurs par le rire ». Dans Tartuffe, il dénonce le comportement des faux dévots qui deviennent des directeurs de conscience abusif et qui ne font pas correspondre leurs principes et leurs actes. Enfin, certains écrivains ont essayé d’imaginer un monde meilleur : c’est ce qu’on appelle les utopies. La plus

soit parce que certains passages blessèrent le public. En fait, le scandale qu'elle souleva fut la seule cause de cet échec : les ennemis de Molière, les gens qui s'étaient acharnés contre lui depuis “L’école des femmes” et surtout à propos du “Tartuffe”, étaient de nouveau entrés en lice, la pièce s'intégrant à la délicate question de la libre-pensée au XVIIe siècle. Dès la seconde représentation, Molière dut couper un certain nombre de répliques, en particulier la «scène du pauvre» III, 2). Il

raisonnement déductif dans lequel on part d’une idée général pour en tirer une conclusion particulière comme le fait Aristote quand il écrit « L'âne, le mulet, le cheval vivent longtemps ; or, ce sont là tous les animaux sans fiel ; donc, tous les animaux sans fiel vivent longtemps. ». A l’inverse de celui-ci, le raisonnement inductif suit le chemin inverse. En effet, il part d’un fait concret pour aboutir à une conclusion générale. Beaumarchais écrit dans Le Barbier de Séville « Le grave magistrat

principal du roman. ᕥ Un héros de roman est toujours un personnage exceptionnel, hors du commun. ¨ C’est vrai ¨ C’est faux ᕦ Dans un roman, l’auteur et le narrateur sont toujours identiques. ¨ C’est vrai ¨ C’est faux ᕧ Lorsqu’un lecteur commence la lecture d’un roman, il sait qu’il va lire un récit de fiction. ¨ C’est vrai 6 CNED SECONDE – FRANÇAIS ¨ C’est faux SÉQUENCE 1 ᕨ Rangez dans le tableau auteurs et titres de romans selon leurs dates de publication. ¨ Victor

Introduction . Page : 3 Histoire , origine et évolutions du genre . Pages : 4 à 9 définition du genre . Pages : 10 , 11 Fonctions du genre . Pages : 12 Auteurs et œuvres jusqu'à nos jours . Pages : 13 à 15 CONCLUSION . Page : Bibliographie . Page : Dossier théâtre Nouaille Jean-Baptiste