Conclusion Tartuffe Faux Dévots

est conditionne par la classe social et par la maitrise de la force et de la parole. « selon que vous soyez puissant ou misérables, les jugements de cour vous rendront blancs ou noirs »  l’emploi du futur laisse peser une menace permanente. Conclusion On a ici un examen de conscience collective qui vire au fiasco. La parole du faible face à la rhétorique contrôlée de l’aveu des puissants n’est pas prise au sérieux. Le fabuliste se livre ici à une condamnation féroce des injustices sociales

et il préfère lire des grivoiseries (« il s’amusait avec Rabelais », p. 12) que d’étudier les textes sacrés. Sa sœur est une vieille fille déjà âgée, frustrée et avide de sensua‑ lité comme le montre l’oxymore « elle aimait le plaisir et était dévote » (p. 13). Son physique est disgracieux : « la courte et ronde demoiselle », « de tous ses petits yeux » (p. 13). Tous deux correspondent à des types traditionnels : la vieille fille et le religieux égrillard. Cependant, ce sont des gens aimables

Merteuil. Il se dit retenu à la campagne, chez sa vieille tante, Mme de Rosemonde, par un «grand projet» : «avoir» une femme qui y séjourne, qui est l’épouse du président (de tribunal) de Tourvel, femme qui est jeune, belle, pure, chaste, vertueuse et dévote, intouchable parce que fidèle à son époux et animée par un sens aigu du devoir et de l'honneur ; il veut faire de cette séduction un exploit (lettre 4), alors que Mme de Tourvel croit pouvoir le «convertir» (lettre 8). Cependant, ayant appris que

gardant un ton humoristique, qui lui conserve la sympathie de tous les publics (la pièce fut jouée à la Cour de Louis XVI par la Reine et le frère du Roi). Ce monologue montre aussi pourquoi la pièce a été longtemps interdite par décision royale. CONCLUSION SUR L'ENSEMBLE DE LA SCENE Ainsi cette scène, ce "morceau de bravoure", qui se présente comme une gageure et qui est fondée sur la convention du monologue dramatique, parvient, malgré sa longueur à maintenir notre intérêt. Ce n'est certes pas du

rumeurs scandaleuses à Verrières, l'abbé Chélan, prévenu par une confession d’Élisa, ordonne à Julien de partir sous trois jours pour le séminaire de Besançon et de ne pas revenir avant un an. La mort dans l'âme, Mme de Rênal arrive à la même conclusion et réussit à convaincre son mari. Julien quitte Verrières après une dernière nuit avec Mme de Rénal glacée de chagrin. REPÈRES POUR LA LECTURE Les contradictions de Julien « La visite d'un monarque à Verrières » (chapitre. 18) permet de saisir

Praeambula de Heinrich Scheidemann35. Après un exorde homophonique, on assiste à un jeu de canons entre les quatre ou cinq voix, puis une conclusion plus homophonique termine le discours, presque toujours ponctuée par la “cadence plagale”. C’est encore aujourd’hui le plan simple des compositions françaises de nos classes de lycée : introduction - argumentation - conclusion. Nous analyserons tout à l’heure un Praeludium de Buxtehude, dont la forme nettement découpée en sections est toute proche de celles

Paris. 1972. pp. 220, 429-430. 2. LA NOUVELLE HÉLO/SE DEVANT LA CRITIQUE 13 accueil les grands créateurs de la première moitié du XIX e siècle ont réservé à La Nouvelle Héloïse. Chateaubriand a été dans sa jeunesse grand amirateur de « la dévote Julie l>, mais il s'est repris et en 1809, dans la Défense du Génie du christianisme, il tance Jean-Jacques d'avoir mis à la mode « ces rêveries désastreuses et si coupables l> qui mènent les jeunes gens au suicide - curieuse palinodie sous la plume

elle a due se passer » : émotion des personnages traduite par la position de leurs bras. l.13 : « passé mollement » : attachement du couple, amour. l.13 – 14 : difficultés à laisser partir sa fille. l.15 : cadette : attachement de la sœur. Conclusion : Diderot fait dans ce texte l’éloge d’une peinture et d’un peintre. Cet éloge dépasse son goût personnel et reflète l’idée d’une esthétique vertueuse et déjà réaliste. D’autre part, son texte essaie d’imiter, de rendre par les mots une représentation

intrigues amoureuses, sont tout à fait conventionnels et stéréotypés. Mais ce que voulait Corneille, ce qui justifie le titre de la pièce («comique», en ce temps, signifiait «théâtral»), c’était une démonstration du processus de l'illusion théâtrale, du faux-semblant, du trompe-l’œil, sur lequel repose le théâtre mais plus encore le cinéma et toute fiction : l’auteur, véritable magicien représenté ici par Alcandre, fait croire à la réalité de ce qui n’est qu’apparence, que déguisement, que jeu. Pour que

intrigues amoureuses, sont tout à fait conventionnels et stéréotypés. Mais ce que voulait Corneille, ce qui justifie le titre de la pièce («comique», en ce temps, signifiait «théâtral»), c’était une démonstration du processus de l'illusion théâtrale, du faux-semblant, du trompe-l’œil, sur lequel repose le théâtre mais plus encore le cinéma et toute fiction : l’auteur, véritable magicien représenté ici par Alcandre, fait croire à la réalité de ce qui n’est qu’apparence, que déguisement, que jeu. Pour que