Conclusion Tartuffe Faux Dévots

Quatrième intermède – Scène I – Scène II • Acte IV – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V – Scène VI • Cinquième Intermède – Chère Philis,... • Acte V – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV • Sixième intermède – Usez mieux,... • Tartuffe • Préface • Premier placet présenté au Roi • Second placet présenté au Roi Oeuvres complètes I 12 Oeuvres complètes . 1 • Troisième placet présenté au Roi • Personnages • Acte I – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V • Acte II –

personnage ayant tous les vices de son époque mais en expliquant ses buts, ses convictions et ses raisonnements. Réception[modifier] Cette pièce de Molière suscita à sa création une levée de boucliers des dévots. Écrite juste après Tartuffe, où Molière fustigeait l'hypocrisie de certains dévots, elle semble aux yeux des religieux de l'époque une apologie du libertinage. Le seul défenseur de la religion semble être Sganarelle, pour lequel la religion ressemble fort à de la superstition et dont le

lors de l'entretien (deuxième partie de l'épreuve). Comment faire mon brouillon ? En gros, il y a deux façons de faire un brouillon. 2 So lang wie nötig, so kurz wie möglich. 10 Beaucoup essaient de tout rédiger : introduction, développement, conclusion. Pendant la demi-heure de préparation, ils ont le temps de couvrir environ une page et demi de brouillon… Puis ils viennent lire leur papier, et en trois minutes leur exposé est terminé ! Il ne faut surtout pas faire ainsi. Au contraire, ceux qui

vertige (Essais, II, 12) (1580) : « Le plus grand philosophe du monde sur une planche plus large qu’il ne faut, s’il y a dessous un précipice, quoique sa raison le convainque de sa sûreté, son imagination prévaudra. ». L’imagination suppose un jugement faux : nous savons que nous ne pouvons pas tomber, mais nous croyons que nous allons tomber. La planche est vue comme trop étroite. Il en va de même du vertige à la montagne. Pascal radicalise cette critique pour conclure ainsi à la faiblesse de l’homme

monarques que l'on peut payer « d'agréables mensonges » et qui, sans hésiter, « goberont l'appât ». On peut se demander si les courtisans, dans un tel système, ne détiennent pas, comme le cerf qui a pu rire impunément, le véritable pouvoir. Conclusion « Les obsèques de la Lionne » séduit le lecteur par un récit vivant. La diversité, comme un jeu de prisme renvoyant la lumière, est la clé du plaisir éprouvé. Diversité des formes de discours, paroles emboîtées, schéma narratif déconcertant

en tant que lieutenant de Dieu, le roi se sent comme seul responsable du salut de ses peuples, se pense au dessus du clergé mais il ne connait rien des textes sacrés. On peut dire que c'est vers les années 1689, 1690 que le roi devient pieu et même dévot. Celui vieillissant, il pensait qu'il aurait pu avoir une certaine aide de la part dans sa politique religieuse qui a pour but de lutter contre les jansénistes et les protestants considéraient comme des hérétiques. Comme on le sait, les protestants

bruit dans la forêt. bruissement Bruit confus fait de sons indistincts. cabaler Faire une cabale ; se livrer à de sourdes menées. cacographie Mauvaise écriture, mauvais style, orthographe fautive. cafard Hypocrite, faux dévot. cagot nom Faux dévot ; hypocrite. camouflet Affront, mortification, blessure d'amour-propre dus à une situation humiliante. Essuyer un camouflet. capitan Fanfaron, bravache. cauteleux Qui manifeste de la défiance et de la ruse ; hypocrite.

les “bons tours” que jouent la Marquise et le Vicomte à Prévan et ses acolytes, visent non seulement à assurer leur “bon plaisir” mais aussi à châtier les présomptueux. L’hypocrisie des deux roués et surtout celle de Merteuil rappelle le jeu d’un Tartuffe, qui masque le libertinage face à tous ses interlocuteurs. - L’ironie dramatique : la structure du roman épistolaire met le lecteur dans la position du spectateur de théâtre, omniscient, qui en sait toujours plus que chacun des personnages. Cela

Texte 1 Mérimée, Mateo Falcone 2 Balzac, Le Cousin Pons 3 Musset, Histoire d’un merle blanc 4 Flaubert, Madame Bovary 5 Flaubert, Un cœur simple 6 La Fontaine, Fables : « Le Singe et le Léopard » 7 Molière, Tartuffe, acte III, scène 3 8 Montesquieu, Lettres persanes, lettre XXIV 9 Voltaire, Candide, ch. VI 10 Voltaire, « Prière à Dieu » 11 Le portrait du colonel Chabert 12 Enterré vivant 13 La comtesse, une excellente comédienne

FRANÇAIS CONCLUSION: LL princesse de cleves Cette confession que Madame de Clèves fait à son mari révèle la grandeur héroïque des protagonistes qui se vouent un respect mutuel hors du commun. Elle met aussi en évidence la souffrance intense à laquelle sont en proie nos deux héros, suscitant la compassion du lecteur. Cette scène atypique permet en outre de faire avancer l’action puisque cet aveu sera à l’origine de la mort du Prince de Clèves.LL1313h55 à 14h55Conseils pour progresser :-Il faut expliquer