Conclusion Tirade Andromaque

brillant mais limit, dimitation libre et qui prtait confondre inspiration potique et embrasement rotique. _________________________________________________________________________________ Andr Chnier ouvrit aussi une srie bucolique , fulmina quelques tirades satiriques sur lindpendance des arts et la servilit des auteurs, rdigea des lgies pour son matre Lebrun et pour ses amis, songea un recueil de pices amoureuses comme en avaient publi Parny et Bertin, rva dun pome sur lAmrique, avatar moderne de lpope

femme tentatrice.....................................137 4 La question de la maternité : Cléopâtre face à ses enfants.................................140 La rhétorique judiciaire dans la tragédie, du réquisitoire au plaidoyer.............148 CONCLUSION.................................................................................................................153 DEUXIÈME PARTIE – LE LANGAGE, VECTEUR DES PASSIONS TRAGIQUES................................................................

d’Archiloque ou d’Hipponax, ou avec les rites en l’honneur de Déméter et Dionysos, qui sont à l’origine des représentations théâtrales, la comédie d’Aristophane attaquerait par ses injures les autorités de la ville. Aucune perplexité donc devant ces tirades violentes et provocantes que les acteurs comiques adressent non seulement à leurs compagnons sur scène, mais aussi aux spectateurs présents parmi le public ! Ainsi, selon Reckford, « what mattered was that the holiday license made the insults different

Typologie des questions L’approche tabulaire : une méthode comme une autre Rédaction : introduction, développement, conclusion Pour résumer 4. Aborder le commentaire composé Enjeux de l’exercice Ecueils à éviter Analyser un texte : une approche méthodique Organiser ses idées : la question du plan Le choix de la problématique Rédaction de l’introduction et de la conclusion Le paragraphe argumentatif Conseils pratiques Les formules utiles à la rédaction Fiche récapitulative 5. Aborder

significatives étudiées en classe et associées à des mouvements culturels (livre de l’élève, chap. 2 et 3, pp. 24-37). *2. Situer auteurs et œuvres dans différents mouvements L’humanisme  : Montaigne, Essais – Le classicisme : Molière, Tartuffe ; Racine, Andromaque ; La Bruyère, Les Caractères – Les Lumières : Rousseau, Le Contrat social ; Beaumarchais, Le Mariage de Figaro – Le romantisme : Musset, Lorenzaccio – Le réalisme  : Flaubert, Madame Bovary – Le naturalisme  : Zola, Germinal – Le surréalisme  :

____________________________________________________________ ______________________ 1640 Horace Corneille XVIIIe siècle : ____________________________________________________________ ______________________ 1730 Le jeu de l’amour et du hasard Marivaux 1667 Andromaque Racine 1687 Le Cid Corneille 46 — © Cned, Français 3e © Cned – Académie en ligne Séquence 4 XIXe siècle : ____________________________________________________________ ______________________ 1830 Hernani Victor Hugo XXe siècle

contre Port-Royal une petite lettre qui est un chef-d’œuvre d'esprit et un acte de noire ingratitude; il allait en publier une seconde, quand Boileau l'arrêta.   De 1667 à 1674, Racine donne, toujours avec succès, mais non sans luttes ni polémiques: Andromaque (1667), les Plaideurs (1668), Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672),Mithridate (1673), Iphigénie (1674). En 1673, il était entré à l'Académie française. Trois années s'écoulent entre Iphigénie et Phèdre jouée au mois de janvier 1677;

de l’action Chapitre I- La spatialisation de l’action dramatique I- La dualité de l’espace II- Montherlant et l’unité spatiale Chapitre II- Le cadre temporel de l'action I- Le temps en instance II- L’accélération du temps et la durée de l’action Conclusion générale Bibliographie 20 22 45 62 87 87 172 190 191 196 227 244 245 269 291 292 293 316 318 319 334 370 377   1 Introduction Générale Auteur fécond, Henry de Montherlant 1 a produit une œuvre intéressante dans laquelle le théâtre tient

à le persuader grâce à la maîtrise de l’éloge et du blâme, de la polémique et de la satire. L’art de convaincreLa thèse. Elle constitue l’idée essentielle défendue par un locuteur dans son texte : on la retrouve soit en introduction, soit en conclusion. Le raisonnement, ou argumentation, peut suivre 2 logiques : • La déduction : on part d’ une loi générale pour aboutir à un fait particulier. C’ est le type de raisonnement que recoupe le syllogisme. (Tous les hommes sont mortels. Or Socrate est

- Utiliser des feuilles simples, écrire sur le seul recto, numéroter les feuilles. - Numéroter les parties, souligner les titres, aérer les paragraphes. - Noter le plan sur la feuille 1. - Utiliser une feuille ou plus par partie. - Écrire la conclusion sur la dernière feuille. II° Élaboration du contenu - S'interroger : Que doit-on transmettre à l'auditoire, en combien de temps et avec quels moyens techniques. - Lecture survol pour trier les documents collectés - Lecture intégrale pour prise