Conclusion

le Misanthrope , philosophe , diplomate, et parfait > au sens qui a de la culture , et l’art de savoir s’adapter à la société de Cour : > ( lignes 36 à 37) . Cynisme, ruse perfide , stratagème fondent la politique et les mœurs du XVII ième . Conclusion : Avec éloquence et cette dernière pirouette, Molière met en question l’ordre social , rappelle combien la religion dans ses excès a condamné injustement le théâtre au XVII, théâtre dont la principale fonction est de faire tomber les masques .

LA BEAUTE N’EST-ELLE QU’UN EFFET DE L’ART ? On peut affirmer qu’il existe deux beautés différentes : la beauté naturelle et la beauté artistique. Mais la nature pourrait en fait être le résultat d’un art divin. Auquel cas, tout est art, l’art regroupant la nature et toutes les productions humaines. Et on pourrait trouver une beauté partout dès que l’on s’occupe à comprendre la nature. L’homme rechercherait alors à imiter la beauté qu’il trouve dans la nature par un art conçu et par un art représenté

Il s'agit d'un extrait tire de l'unique roman d'Alain-Fournier intitule '' le Grand Meaulnes'' , publie a Paris dans la Nouvelle Revue francaise de juillet a novembre 1913. L'auteur a mis beaucoup de sa propre vie dans son roman. Tous les paysages decrits dans le roman appartiennent a l'enfance de l'auteur . En plus, la rencontre de Meaulnes et Yvonne de Galais ressemble en bien des points a celle qe fit Alain-Fournier et qui marqua sa vie. En 1905, l'auteur a entrevu une jeune fille qui a bouleverse

Charles Baudelaire, est le fils d’un homme des Lumières très tôt disparut (son père avait 62 ans à sa naissance), il eut une enfance malheureuse, entre sa mère qu’il adorait mais à laquelle il ne pardonna pas son remariage, et son beau-père avec qui il ne s’entendait pas du tout. A vingt ans, alors que ses relations familiales deviennent difficiles, il s’embarque pour l’Orient. Il s’arrête plusieurs semaines à l’île Maurice et à la Réunion où il se remplit les yeux d’images et de couleurs somptueuses

François Rabelais (Alcofribas Nasier) François Rabelais est un auteur emblématique de XVIème siècle. Grande figure de l’Humanisme en France, il propose dans ses œuvres les principes fondamentaux de ce nouveau courant de pensée. Dans Gargantua, publié en 1534, il narre l’histoire d’une famille de géants et pose, à travers ses personnages et leurs aventures, les fondements d’une société tournée vers l’avenir et le développement de l’individu. Ainsi, après avoir proposé un système éducatif qui rompt

l’introduction et la conclusion du commentaire littéraire Support : Scène II, Acte 3 (p 112-114) Dominante : écrit I/ Introduction et Conclusion : la méthode L’introduction et la conclusion sont les 1ères choses à rédiger L’introduction sert à donner le projet de lecture (Problème) et la piste suivit (Plan). La conclusion sert à donner le bilan. Int Les 2 étapes sont inversées. Dans l’introduction on part d’une idée générale, on essaye d’aller dans le général. Dans la conclusion on part du texte

Mon rêve familier (Paul Verlaine) Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon coeur transparent Pour elle seule, hélas! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse? Je l'ignore. Son nom? Je

De la société industrielle à la société de communication De 1948 à 2000 le monde a connu de nombreux changements, de 1950 à 1973 la croissance annuelle est très forte et fait entrer le monde occidental dans une société de consommation. De nombreuses crises ponctuent les années qui suivent, mais chacune apporte une solution permettant à l’économie mondiale de se relancer et de connaître une croissance renouvelée. Dans les années 70, le monde connaît une crise qui est associée à la stagflation,

Problématique: « En quoi cette scène est-elle un jeu? » Dans cette troisième partie, nous allons nous demander si dans cet extrait le badinage est un jeu. Le badinage, au début, est un jeu peu sérieux. La scène que nous étudions ici, comme nous allons le démontrer, paraît bien cruelle pour les deux jeunes filles, Camille et Rosette. En effet, comme nous pouvons le lire L.8, Camille souffre du fait que Perdican jette sa bague à l'eau: « Il a jeté ma bague dans l'eau. ». Camille se voit

échelons de la société. Nul doute dans son esprit que le jeune « soldat » qu’il est, est promis à être promu « général ». La vanité du jeune homme, convaincu de sa valeur : « une audace puisée dans le sentiment de sa valeur et de son avenir » Conclusion provisoire de cette première partie : Lucien est un jeune homme qui veut « conquérir le monde », un jeune homme dont le seul but est d’atteindre au plus vite la réussite sociale. Peu lui importe les moyens. II. Un jeune arriviste dénoncé par