Concurrence Pure Et Parfaite Néoclassique

sont : 1. Le marché 2. la loi de l’offre et de la demande 3. la concurrence 1) Les mécanismes du marché Le marché peut se définir comme le lieu plus ou moins concret de la confrontation et de la conciliation de l’offre et de la demande d’un bien où se déterminent les quantités échangées et les prix de cession. Le marché de concurrence pure et parfaite s’inscrit dans le cadre de l’analyse microéconomique des écoles néoclassiques qui se basent sur les principes suivants : Elles partent de

libéralisme. a) Les classiques. A .Smith (18 e siècle), l’ordre naturel. Chaque individu recherchant sont intérêt personnel va participer à la réalisation de l’intérêt collectif. Le producteur : à la recherche du profit qui est poussé par la concurrence va chercher la solution efficace. Le consommateur : à la recherche de la grande satisfaction va se tourner vers le meilleur rapport qualité/prix. Le marché (O/D) et sont équilibre est le résultat de la confrontation des égoïsmes individuels.

Chapitre II La concurrence, une structure de marché 14 PLAN I. L’ENTREPRISE : UNITE DE PRODUCTION A. Approche technique de la fonction de production 1. Les facteurs de production 2. Le choix et la combinaison des techniques de production a. Le choix des techniques b. La combinaison des techniques 3. La fonction de production et les rendements a. Les rendements factoriels b. Les rendements d’échelle 4. Gestion optimale de la production B. Approche économique de la fonction de coût

hors prix … La concurrence monopolistique est entreprise qui est capable d’imposer un monopole car elle est capable de produire un produit radicalement différent, néanmoins elle reste en concurrence par les prix. Ce produit va être copié au fur et à mesure, et le consommateur va juger. La concurrence imparfaite a aussi lancé le duopole : 2 firmes nationales, qui produisent et échangent le même produit. Elles ont intérêt à faire une entente cad duopole, pour ne pas se concurrencer sur les prix et

mais plutôt selon le profit. Ainsi l’homo-économicus est égoïste : il tient compte uniquement de son propre intérêt. Le modèle de H. Simon * L’irréalisme dont à fait part le modèle néo-classique que se soit sur le plan de la connaissance parfaite de l’information et l’indépendance du choix de l’agent de ses émotions qui est quasiment impossible, à amené dans un premier temps H. Simon à apporter un réalisme cognitif trop peu présent dans la conception originelle. Ainsi l’agent ne cherche pas

semblait ne pouvoir l’être que par l’autorité de l’Etat. A – Le fondement du libéralisme : l’ordre naturel Les classiques ne représentent pas un courant unifié. Leurs diverses analyses inspireront les penseurs du XIXème siècle, aussi bien les néoclassiques, qui reprennent la notion de libéralisme, que Marx (1818-1883), qui reprend celle de valeur-travail. A la fin du XVIIIème siècle, le libéralisme devient un courant de pensée dominant, tant sur le plan politique que sur le plan économique. a)

propriété La théorie de l’agence Ces théories ont été développées dans la lignée des néoclassiques qui considéraient la forme comme une entité ayant pour seule fonction la production Présentation de la théorie néoclassique et ses limites Dans la théorie néoclassique, les différentes caractéristiques sont les suivantes : • Une approche en terme de boîte noire : les auteurs de la théorie néoclassique ne se focalisent pas sur la firme mais envisage plutôt le marché et l’environnement

pour rédiger une synthèse servant aujourd’hui encore de fondement aux analyses néoclassiques. La courbe d’offre et de demande, c’est lui ; Les économies d’échelles, c’est encore lui ; Les effets externes, c’est toujours lui ; tout comme les effets d’agglomération, d’où naitront les analyses du développement et des districts industriels. Curieusement, alors que l’analyse néoclassique glorifie la concurrence pure et parfaite, il s’échine à montrer «  Défaillances du marché » : Les rendements croissants

qualitée de la demande. Les prix vont donc être flexibles. L'entreprise va obéir à une loi, celle de l'offre et de la demande. De plus, au niveau économique, il y a équilibre. En effet, en situation de Concurrence Pure et Parfaite (CPP), qui a été pensé au XIX° siècle par les économistes néoclassiques, qui ont pris référence sur la théorie classe d'Adam Smith, est pour eux, un modèle idéale. L'équilibre existe donc quand l'offre est égale à la demande. Cet équilibre fixe le prix et les quantitées échangées

véritablement l'entreprise, aussi bien chez les néoclassiques, pour qui elle se réduit à une simple boite noire (hypothèse d'atomicité des acteurs dans un univers de concurrence pure et parfaite, problématique en termes d'équilibre et non de croissance), que chez les keynésiens (optique plus macroéconomique), le processus de concentration fait de l'entreprise un thème central de la réflexion des économistes (analyse marxienne, concepts néoclassiques de, monopole naturel et de coûts de transaction)