Condition Féminine Laclos

sans arrêt: Mary Jane Watson, pour Spider-Man, Loïs Lane, la copine un peu quiche de Superman (il met des lunettes, et personne ne le reconnaît...). Mais à partir des années 1940, le monde des super-héros a vu apparaître les premiers personnages féminins réellement importants, comme Catwoman en 1940, et les premières héroïnes (ou super-héroïnes), à l'image de la plus célèbre d'entre elle, Wonder Woman, qui a droit à ses propres comics, sa série télévisée au succès mondial, devenue culte grâce à l'actrice

s’intéresse à l’éducation qui doit développer  « un esprit sain dans un corps sain ») et l’on créer des lieux d’étude (collège de France en 1530). * Un monde libre : chacun a le droit de s’instruire et de penser librement Ainsi par la pensée sur sa condition et le monde qui l’entoure, l’homme peut être pessimiste et remet souvent en question les dogmes et la politique officielle. La Bible est critiqué (Luther, Calvin…) et l’on découvre la relativité des valeurs( chacun appelle barbarie ce qui n’est

comparer les perceptions de chacun, comme s'il observait les faits selon une multiplicité d'angles. On retiendra (entre autres!) La Nouvelle Héloïse, de Rousseau (correspondance amoureuse entre deux amants) et Les Liaisons dangereuses, de Choderlos de Laclos (les aventures libertines de deux héros scandaleux). 4. XIXesiècle: le triomphe du romanÀ la suite des Lumières, mais aussi avec le développement industriel et l'essor de la bourgeoisie, le roman connaît au XIXe siècle un grand succès, et s'oriente

haute vertu Louise Labé, féministe, Œuvres Humanisme  on doit maîtriser le plus de matière possible Michel de Montaigne, pour le suicide (c’est ma vie), contre les médecins, contre le colonialisme, « Tout home porte la forme entière de l’humaine condition » ; (tous ont les mêmes possibilités d’arriver aux mêmes buts dans la vie), la vérité absolue échappe à l’être humain, Les Essais Baroque  instabilité politique et religieuse, (barocco ; perle irrégulière), on aime mélanger les genres

personnage féminin au caractère bien trempé, entreprend de faire un plaidoyer en faveur des femmes. Développement : I. Une femme de caractère au langage vif et libéré : Une femme dont la personnalité séduit le lecteur, une femme-philosophe 1) Un langage vif qui révèle un sacré tempérament : Une rafale de questions à valeur rhétorique, qui ne laissent pas le temps à son interlocuteur de répondre De nombreuses exclamations et interjections traduisant son indignation à l’égard de la condition réservée

de vie. Le clergé est intercesseur et il protège contre le démon. Beccaria => des délits et des peines. Abbé qui s’est intéressé à la question de la justice, il a influencé l’affaire Calas. Pour entrer ds clergé c’est l’ordination, c la condition suffisante. Promotion soc par le clergé.les dirigeants de l’Eglise st ds leur quasi-totalité issus de la noblesse qui constitue le 2e ordre. * La noblesse : ceux qui combattent. Il a le droit de porter des armes, c un privilège. Noblesse est

laissent pas le temps à l’abbé de réagir (cf. L.32 à 37). - Beaucoup de phrases sans verbes ou nominales, qui traduisent son emportement. - De nombreuses exclamations et interjections qui traduisent son indignation à l’égard de la condition réservée aux femmes. - Emploi d’un langage très imagé qui fait surgir de véritables tableaux dans l’esprit de l’interlocuteur. 1/ Dans la description des hommes : elle évoque un « menton couvert d’un vilain poil rude », qu’il faut « tondre

questions qui ne laissent pas le temps à l’abbé de réagir (cf. L.32 à 37). - Beaucoup de phrases sans verbes ou nominales, qui traduisent son emportement. - De nombreuses exclamations et interjections qui traduisent son indignation à l’égard de la condition réservée aux femmes. - Emploi d’un langage très imagé qui fait surgir de véritables tableaux dans l’esprit de l’interlocuteur. 1/ Dans la description des hommes : elle évoque un « menton couvert d’un vilain poil rude », qu’il faut « tondre de fort

de questions qui ne laissent pas le temps à l’abbé de réagir (cf. L.32 à 37). Beaucoup de phrases sans verbes ou nominales, qui traduisent son emportement. De nombreuses exclamations et interjections qui traduisent son indignation à l’égard de la condition réservée aux femmes. Emploi d’un langage très imagé qui fait surgir de véritables tableaux dans l’esprit de l’interlocuteur. 1/ Dans la description des hommes : elle évoque un « menton couvert d’un vilain poil rude », qu’il faut « tondre de fort

médiocre du héros, car sans l'intervention d'un tiers, Jean Valjean ne serait jamais devenu un « héros » plein de bonté qui fait le bien autour de lui, mais serait resté dans les profondeurs de la médiocrité à laquelle sont prédestinés tous ceux de sa condition. De même, Félicité Rougon, que l'on retrouve dans de très nombreux romans de Zola dans le cycle des Rougon-Macquart, est caractérisée par son âpreté aux gains, son envie de pouvoir. Tout comme son mari, elle possède une avidité maladive, et rêve