Conditions De Travail Des Ouvriers

La condition ouvrière en Belgique au XIXe siècle Introduction Au XIXe siècle, de nombreuses industries font surface créant ainsi des nouveaux postes à pourvoir. De ce fait, une nouvelle classe apparait : la classe ouvrière. Ces ouvriers seront vite exploités et travailleront dans de très rudes conditions. Ils sont les victimes du progrès industriel, leur nombre ne cesse d’augmenter au fur et à mesure que les industries se développent. I .Espace de vie - Dans les années 1900, l’ouvrier belge

service ou se déroule le stage :………………………………………..p.6 2 Descriptif du stage 2.1. Accueil : Accueil officiel, accueil mutuel, ..............................................p.7 2.2. Poste de travail : Description, fonction, méthodes de travail, .................p.8 2.3. Conditions générales de travail : Durée, ambiance, caractéristiques, .....p.11 2.4. Comportement du personnel : Responsabilité, qualification, conscience professionnelle, ..................................................

née entre 1 959 et 1 969 d’un père ouvrier non qualifié de type artisanal a eu 0,57% de chances d’intégrer une grande école contre 21,15% pour leurs camarades nés de pères exerçant une profession libérale.3. Existence de fortes différences selon le milieu social d’origine : en France, les enfants nés entre 1 959 et 1 969 de pères exerçant une profession libérale ont eu environ 37,1 fois plus de chances d’entrer dans une grande école que ceux nés de pères ouvriers non qualifiés de type artisanal.Les

reconnus/ prudents | Silence | Ouvriers de production | Bonne production en utilisant les différents moyens de production | Produire travail demandé | Nombreux/ non qualifié | Non reconnus / conflit avec les autres ouvriers | Silence avec chefs d’atelier et conflits ouverts avec les ouvriers | Ouvriers d’entretient | Maintenance de 3 machines | Reconnaissance professionnelle (compétence) : rapidité d’intervention | Très qualifié, profil rare / conditions de travail difficiles | Reconnus / imprudents

classe sociale est marquée par des approches différentes d’auteurs (Marx, Weber,…). Est souvent retenue la définition de Marx qui distingue la classe en soi (groupe d’individus aux conditions de vie et de travail communes) de la classe pour soi (groupe d’individus, qui en plus des conditions de vie et de travail communes, ont conscience de leur appartenance de classe, de leurs intérêts communs et les défendent). Proposition de problématique : Si les classes en soi existent toujours aujourd’hui

(=vider) et cette condition du lien social tend à se défaire. La société se laïcise, la religion n'est plus qu'une simple dimension de cette société tout d'abord importante mais de + en + secondaire. Quand la religion n'est pas totalement combattue, elle proclame violemment son athéisme, son refus et sa volonté de construire une société sans Dieu. Cette remise en cause de la religion va être source de polémique et de discussions qui vont alimenter les réflexions sur la condition humaine. Ces discussions

prolétariat ( Ces 3 milieux = forment la classe ouvrière française pdt les ¾ du XIXème/jusqu’aux années 1880 Précarité des emplois et des conditions de vie, niveau élémentaire de subsistance. Expérience de vie associée à idée de privation, exploitation, exclusion, aliénation (machinisme) => Misère => Naissance de la Q° sociale : des luttes sociales par un mouvement ouvrier qui se forme, qui lutte pour l’émancipation sociale ( Une 1ère industrialisation 3 groupes qui sont à la fois complémentaires et concurrents

| | |Promotion 2006 | | |Stage ouvrier ( 1 ère année) | | |du 01-02 au 15-03 2007 |

 Devoir d'apprentisage du travail universitaire. I) Présentation de l'ouvrage : J'ai choisi de réaliser cette excercice de prise de note d'aprés l'oeuvre de Robert Linhart intitulée l'établi. Ce livre a été publié par les éditions de minuit en 1978. Ce roman est le résultat d'une étude profonde menée par l'auteur qui décide en 1967 de "s'établir" (ce qui justifie le titre donné a l'ouvrage) c'est a dire de s'immiscer dans cette usine Citroen de la porte de

économiste écossais. ● Le travail comme richesse : la richesse est uniquement le travail, ce que l’homme produit. Elle repose sur la puissance productive du travail → notion de division du travail qui génère la spécialisation, favorise l’invention et la production. C’est parce-que les individus se spécialisent qu’ils réfléchissent sur l’amélioration et créent des machines de plus en plus sophistiquées. ● Chez Smith, la valeur est le prix du travail, endogène au marché. ● Le travail renvoie à 2 éléments :