Condorcet Pouvoir Et Verité

notamment le conflit entre le législateur et le pouvoir judiciaire. En 1801 le tribunat est le dernier organe d’opposition au gouvernement de Napoléon Bonaparte. Le tribunat a 3 motifs d’opposition la 1ère opposition personnelle au chef de l’Etat. 2e le tribunat est hostile à la constitution de l’an 8 qui donne la primauté au pouvoir exécutif plutôt qu’au pouvoir législatif. La constitution de l’an 8 est que dans une république il y a un chef de l’Etat, le pouvoir y était collégial. Le tribunat y est opposé

entre Chiliens de gauche qui veulent des réformes sociales et attendent beaucoup du nouveau gouvernement et les Chiliens de droite, anti-marxistes, qui voient dans l’arrivée d’Allende un basculement possible vers un régime communiste. (La prise de pouvoir de Fidel Castro à Cuba, 10 ans plus tôt, est encore très fraîche dans les mémoires) Le mode de scrutin dans cette démocratie représentative qu’est le Chili en 1970 retranscrit ces fractures dans la représentation politique. Le Parlement est divisé

FOCAL – CELLULE VALIDATION D’ACQUIS UNIVERSITÉ CLAUDE BERNARD LYON 1 Service Commun de Formation Continue et Alternance - FOCAL Bâtiment CONDORCET 43 Boulevard du 11 Novembre 1918 69622 VILLEURBANNE CEDEX Tél. : 04.72.44.83.51 Fax : 04.72.43.12.61 PHOTO D’IDENTITÉ E-mail : vae@univ-lyon1.fr DOSSIER DE DEMANDE DE VALIDATION DES ACQUIS - ANNÉE 2011-2012 Mme q Mlle q M. q Nom de naissance.................................................................. Prénoms ......................

séparation des pouvoirs. XIIIème --> légiste créent souveraineté (justice et loi). Louis XVI : « c’est légal parce que je le veux » -> le Roi fait la loi. Mais pour la Monarchie, la jurisprudence = source de loi ; les proches du Roi voulaient donc supprimer la jurisprudence. SECTION 1 – La souveraineté de la loi J. Bodin «  Les Cycles de la République » en 1573 (même force que « Esprit des Lois », Montesquieu 1758). Caractères de la Souveraineté : - Pouvoir originaire

satisfaite des acquis de sa révolution de 1689. 2. Que sont les Lumières ? La pensée du siècle des Lumières se développe autour de deux thèmes majeurs : le retour à la nature, la recherche du bonheur. Les philosophes dénoncent dans les religions et les pouvoirs tyranniques des forces obscurantistes responsables de l'apparition du mal, dans un monde où l'homme aurait dû être heureux. Ils réhabilitent donc la nature humaine, qui n'est plus entachée par un péché originel ou une tare ontologique ; ils substituent

est la théologie. Dieu est présent dans toutes les constructions parce que cela permet de justifier la Monarchie absolue. Jean Bodin justifie la Monarchie absolue par le fait que Dieu a choisit les monarques, à partir de là on ne peut contester le pouvoir car ce serait contester Dieu. Cela a fonctionné en France jusqu'au 18ème et conduit à des comportements individuels. A partir de là on commence à remettre en cause des certitudes et à critiquer et cela à travers des groupes de pensée qui se réunissent

la relation est indéniable entre la Révolution et les Lumières. Mais pour Roger Chartier c’est une relation plus complexe à étudier, depuis l’avènement de la démarche sociologique dans un contexte historique. En effet, selon lui, asséner comme une vérité incontestable que le lien se situe entre Révolution et Lumières revient à faire preuve d’étroitesse d’esprit, puisque selon lui, il faut effectuer une analyse plus large, et ne pas seulement voir la Révolution comme « l’aboutissement obligé » de la

l’aide notamment de l’encyclopédie. Ces nouvelles idées vont inciter la population à rechercher le bonheur qui devient une notion importante. Nous allons nous demander comment un homme du XVIIIème siècle par opposition à l’homme du XVIIe siècle va pouvoir accéder au bonheur qui lui est promis. Dans un premier temps, nous verrons comment le bonheur est décrit par les philosophes et comment il est accessible. Puis nous pourrons observer comment un homme peut de différente manière accéder au bonheur qui

principes fondamentaux qui doivent régir l’orga sociale. ( le contrat social Ouvrage : « Emilie ou de l’éducation » Selon lui, les règles nouvelles (contrat social) doivent organiser les rapports entre les hommes pq ils sont inégaux c) CONDORCET (1743-1795) Ouvrage : « Mathématiques et société » Philosophe et mathématicien. C propose une union entre les sciences et les lettres puis il va se consacrer à la défense des droits de l’homme et des minorités. Il propose des projets de réformes

même du gouvernement, c’est-à-dire, au pouvoir exécutif ; et par là, leur prérogative, comme celle de presque tous les magistrats populaires dans les anciennes républiques, loin d’être simplement une barrière contre la tyrannie, devenait quelquefois elle-même une tyrannie insupportable. Le régime des Gaulois, qui ressemblait assez à celui qu’un certain parti voudrait nous rendre, était à la fois théocratique et guerrier. Les prêtres jouissaient d’un pouvoir sans bornes. La classe militaire, ou la