Conférence de Téhéran

des mérites de la codification opérée à Vienne en 1961, est d’avoir réduit la complexité de l’examen des privilèges et immunités. Et ce, en raison d’une distinction entre le statut des agents diplomatiques et celui de la mission diplomatique. La Conférence de Vienne a compris l’importance de fonder les privilèges et s’inspire d’une théorie fonctionnelle, qui se diffuse dans la convention dès son préambule. La doctrine s’était beaucoup intéressée à ces questions, elle se divisait en 3 courants :

Bilan politique. L'après guerre est préparées par trois conférences : _Conférence de Téhéran novembre 1943. _Conférence de Yalta (URSS) février 1945. _ Conférence de Potsdam juillet 1945. Y assistent : Staline pour l'URSS, Roosevelt pour les États- unis , Churchill pour la Grande- Bretagne. La France n'y est pas présente pour causes : collaboration durant la guerre , mauvaise entente entre Roosevelt et De Gaulle. Ces conférences prévoient : _ rendre l'Allemagne responsable de cette guerre

passe à 2538 en 1945 Des entreprises se créent, le chomage reste à un niveau bas. Politique Les etats Unis, Grand vainqueur Participe à la création de L’ONU (juin 1945 : conférence de san fransisco) Fait partie des « 4 grands » : E.U R.U URSS CHINE Participe aux 4 conférence en vue de rétablir et imposer la paix Teheran, Moscou, Yalta, Potsdam II- Etablir un nouvel ordre mondial Finir la guerre En europe Overlord : nom de code du débarquement en normandie Le 6 juins 1944 sur les plages

14 août 1941 : Charte de l'Atlantique 7 décembre 1941 : Attaque de Pearl Harbor. Nomvembre 1943 : Conférence de Téhéran Juillet 1944 : Conférence de Bretton Woods 1944 : Droit de vote des femmes Février 1945 : Conférence de Yalta Avril – juin 1945 : Conférence de San Francisco 26 juin 1945 : Charte des Nations unies Juillet-août 1945 : Conférence de Postdam 6 et 9 août 1945 : Bombardements atomiques sur Hiroshima et Nagasaki 2 septembre 1945 : Capitulation du Japon 1945-1946 : Procès

des précédentes par cette conjugaison de signaux. Toutefois, ces deux crises ont un certain nombre de points communs. L’Iran et la Corée du Nord disposent de programmes nucléaires anciens, dont les deux pays ont cherché à dissimuler l’ampleur. Téhéran a ainsi fourni des déclarations incomplètes à l’AIEA. Pyongyang a appliqué les accords de garantie de manière peu satisfaisante. Ces crises se sont amplifiées dans la période récente. Pour la Corée du Nord, le point culminant a été l’annonce le 9

l’OCI La 11ème Sommet de la Conférence Islamique ............................................................................... 5 La 3ème Réunion du Comité de Projet sur "le Développement du Tourisme Soutenable dans un Système Frontalier des Parcs et des Zones Protégées en Afrique de l'Ouest" ...................... 6 Autres Réunions La Conférence Internationale sur "la Crise du Chômage dans le Monde Arabe" ............................. 6 La 9ème Conférence Annuelle du Réseau de Développement

(8 mai 1945 = fin de la guerre, mais aussi émeutes en Algérie, puis en septembre en Indochine). III La mise en place d’un nouvel ordre international Livre p 82 A) Le règlement du conflit 1) Les conférences de paix Pendant la guerre, les alliés se rencontrent plusieurs fois : à Téhéran en déc 43, à Yalta (février 45) et à Potsdam (de juillet à août 45). Au cours de ces rencontres, ils vont coordonner les opérations militaires (à Yalta, l’URSS déclare la guerre au Japon) et préparer l’après

militaires. Mais, face aux menaces iranienne et irakienne, il faut mettre en œuvre une stratégie de « double endiguement [containment] ». Il est urgent d’agir contre Téhéran, car « ses intentions agressives dépassent pour le moment ses capacités, mais cela ne durera pas longtemps. Si nous échouons dans nos efforts (...), dans cinq ans Téhéran pourra menacer réellement Israël, le monde arabe et les intérêts occidentaux au Proche-Orient ». La vigilance est d’autant plus nécessaire que l’Iran « n’a pas encore

Guerres par procuration en Syrie Appuyé par le Hezbollah libanais, le régime de M. Bachar Al-Assad a repris l’offensive dans l’ouest de la Syrie. Un rapprochement américano-russe laisse entrevoir la possibilité de réunir une conférence internationale à Genève. Mais, deux ans après le début du soulèvement, la révolution est détournée par des acteurs régionaux et internationaux aux objectifs contradictoires et souvent mal définis. par Karim Emile Bitar, juin 2013 S’il est une constante dans l’histoire

dizaines à bloquer volontairement la sortie de son bureau, à l'Académie des beaux-arts de Téhéran. Mais, à 67 ans, Mir Hossein Moussavi en a vu d'autres. Impassible, il lance à ses adversaires : «Vous avez une mission, accomplissez-la, tuez-moi, blessez-moi ou menacez-moi !» Étonnant personnage. Quand, il y a six mois, cet ex-premier ministre issu du sérail improvisa, le soir même du scrutin présidentiel, une conférence de presse pour dénoncer haut et fort la «fraude» électorale, ses meilleurs alliés parièrent