Confessionnal

chewing-gum et le roman-photo. Justement, ces romans-photos de l'immédiat après-guerre pervertissent Yambo. Tandis que son cousin devient un « zazou » et danse le « boogie woogie », il découvre Joséphine Baker nue. Le choc de la photo l'expédie au confessionnal. La nudité… Un curé qui roule à vélomoteur lui conseille de lire "L'Homme fini" de Giovanni Papini. Il se plonge alors dans la grande culture cultivée et fait «de sa furia bibliomaniaque [la] possibilité d'une fuite non conventuelle du monde.»

compagnes. Néanmoins, don Juan remarqua qu'elle regardait souvent à la dérobée. Il en tira un augure favorable pour sa passion. La petite me craint, pensait-il... elle s'apprivoisera bientôt. La messe finie, il observa qu'elle entrait dans un confessionnal ; mais, pour y arriver, elle passa près de la grille, et laissa tomber son chapelet comme par mégarde. Don Juan avait trop d'expérience pour se laisser prendre à cette prétendue distraction. D'abord il pensa qu'il était important pour lui d'avoir

religieuses archaïques qu'on y retrouve. Cinq œuvres part icuJièrement représentatives du genre composeront le corpus littéraire principal, à savoir: Le château d'Otrante (1764) de Horace Walpole, Les mystères d'Udolphe (1794) et L'Italien ou le Confessionnal des pénitents noirs ( 1796) d' Ann Radcliffe, Le Moine ( J 797) de Matthew Gregory Lewis et Melmoth ou l'homme errant (1824) de Charles Robert Maturin. Il s'agit des œuvres fondatrices du genre; œuvres que la qualité de leur composition

s’échapper ; et lui, inquiet, regardait de tous les côtés si quelque oeil malveillant ou dévot ne voyait point cette femme tombée à ses pieds. Comprenant, enfin, qu’il ne lui échapperait pas : "Relevez-vous, dit-il, j’ai justement sur moi la clef du confessionnal." Et fouillant dans sa poche, il en tira un anneau garni de clefs, puis il en choisit une, et il se dirigea, d’un pas rapide, vers les petites cabanes de bois, sorte de boîtes aux ordures de l’âme, où les croyants vident leurs péchés. Il entra

chapitre II de Sous le Soleil de Satan, qui a pour titre : la tentation du désespoir. Elle constitue le pivot de ce chapitre5 et s’insère entre deux entretiens de l’abbé Donissan avec l’abbé Menou-Segrais. L’abbé Donissan se met en route pour le confessionnal d’un village voisin. Il s’égare plusieurs fois dans cette campagne qu’il croit pourtant connaitre. Il se trouve ainsi ramené par trois fois à son point de départ. Ce qu’il éprouve au départ comme un simple « contretemps » devient ensuite de la

silencieusement. Il y a une cohérence entre le texte, l’ensemble du paratexte, le critique porte-parole d’une communauté de lecteurs. Les institutions, l’Eglise, l’Etat se posent la question de savoir comment connaître le for intérieur. Le confessionnal est un de ces instruments. Un autre de ces lieux est le journal intime. - Enfin, il faut étudier le texte en lui-même. C’est ce que l’on appelle l’analyse interne. D’un certain point de vue, l’écueil à éviter à tout prix est d’analyser le

bouche en lui montrant, dans l'épître de saint Jacques−le−Mineur, ces mots qui font tant de peine aux hérétiques : Confessez vos péchés les uns aux autres. Le Huron se tut, et se confessa à un récollet. Quand il eut fini, il tira le récollet du confessionnal, et saisissant son homme d'un bras vigoureux, il se mit à sa place, et le fit mettre à genoux devant lui : « Allons, mon ami, il est dit : Confessez−vous les uns aux autres ; je t'ai conté mes péchés, tu ne sortiras pas d'ici que tu ne m'aies conté

Vous oubliez où vous êtes qui je suis. »7 « On se serait cru au milieu du siècle dernier, à l’époque où les paroissiens jasaient sur le perron avant d’assister au saint office.»7 + Non respect de la religion : mon pape, le corbeau, ton cabanon (confessionnal), Papevillle (Vatican), mon moine * Fusions municipales comme dans le cas de la Ville de Montréal en 2002 * Aimé d’Amour comme la chanson de Boule Noire, un chanteur québécois * Progrès de la science : « Je n’ai pas envie que Santé

de la soirée passée avec l'évêque de Besançon (chapitre 29). L'évanouissement de Mme de Rênal, préfiguration du dénouement Dans la cathédrale de Besançon, Julien aperçoit Mme de Rênal, qu'il n'a pas vue depuis des mois, agenouillée dans le confessionnal. Lorsqu’elle. entend le bruit des pas de Julien, elle détourne la tête : elle « jeta un petit cri et se trouva mal », elle « tomba en arrière ». De même que la scène de l'église de Verrières (chapitre 5) annonce ra fin du roman, cette scène

ébauches, dont le caractère licencieux désespérait les plus jeunes pères; et les médisants prétendaient que les vieux jésuites en souriaient. Enfin, s’il faut en croire la chronique du collège, il fut chassé, pour avoir, en attendant son tour au confessionnal, un vendredi saint, sculpté une grosse bûche en forme de Christ. L’impiété gravée sur cette statue était trop forte pour ne pas attirer un châtiment à l’artiste. N’avait-il pas eu l’audace de placer sur le haut du tabernacle cette figure passablement