Conflit Linguistique Belge

Fédéralisme par ségrégation * L’Etat fédéral peut également naître, mais c’est plus rare, par dissociation d’un Etat unitaire qui accepte de transformer radicalement son organisation, généralement sous la pression de minorités ethniques ou linguistiques qui revendiquent d’avantage d’autonomie. * Ex de l’URSS : cet Etat fédéral était d’un type très particulier car le fédéralisme stalinien cachait en réalité un Etat centralisé sous une apparence fédérale du fait de l’existence d’un parti

nombreux liens qui existent entre les différentes cultures européennes. De ce fait, on tend à faire des échanges entre pays européens, des rencontres entre voisins plutôt qu’entre étrangers. Donc, dans ce cas, c’est surtout l’immersion, le « bain » linguistique, le souci de pratiquer la langue étrangère qui motivera les échanges. L’enseignement des langues étrangères contribue d’ailleurs au même effet: poursuivant souvent des finalités que je qualifierais de fonctionnelles ou d’utilitaire, il tend à

_________________________________________________________19 Du côté britannique : une décolonisation exemplaire ? Le cas du Kenya __________________ 19 Du côté français : l’échec de la Communauté _______________________________________ 20 Du côté belge : une indépendance dans la violence. La république du Congo (futur Zaïre) ____ 22 Les « héros de l’indépendance » ______________________________________25 Introduction ___________________________________________________________25 Kwame Nkrumah

Savoir  Pouvoir: - Au début, JT est le baas. Il sait tout et se souviens de tout. - Il perd ensuite son pouvoir quand les autres apprenent des hoses sur lui. - A la fin, il remet tout en ordre chez lui. Là il est toujours le maitre. - Tout les conflits dns l’histoires sont basés sur des renseignements. C. Silence (regard)  Parole: Thèmes importants dans tout le roman. JT comprend sa femme et sa belle soeur par le regard et leur parle très peu. Or, à la fin, JT dit qu’il va épouser Marthe

régime est très liée à la situation de la presse. Négligeant le verdict du suffrage pourtant très censitaire mais favorable aux libéraux, Charles X, roi depuis 1824, teste son pouvoir en nommant un hyper-« ultra », Polignac. Montée des tensions. Le conflit explose le 26/7/1830 avec les ordonnances de Saint-Cloud qui prévoient de nouvelles élections avec des règles plus contraignantes et brident la liberté de presse (cf. autorisation préalable à renouveler plusieurs fois par an et séparément par l’éditeur

Exercice 8, p. 141 du syllabus de méthodologie de l’observation) Exercices du syllabus 1. Exercice 5.1 p. 114-115 Associez chacun des exemples à l’un des comportements ci-dessous : Comportements : a) Vocal (paralinguistique) (F) b) Vocal (linguistique) (D) c) Kinésique (C) d) Tactile (A) e) Territorial ou proxémique (E) f) Vestimentaire (B) g) Esthétique (G) h) Ornemental (I) i) Temporel (H) j) Silence (J) Exemples : A) L’éducatrice reçoit un nouveau parent ce matin ; elle lui serre la main

groupes scolaires (par exemple en lycée technique de banlieue) la norme linguistique peut s’imposer (contre-norme scolaire). Le langage dominant peut avoir des effets politiques : « il le dit bien, donc cela a des chances d’être vrai ». Le professeur peut refuser de corriger le langage de ses élèves, mais ce faisant il compromet les chances de ses élèves sur le marché matrimonial, le marché économique où les lois du marché linguistique dominant continuent à s’imposer. Les goûts : en matière de sports

l’Afrique afin d’y amener la civilisation et de découvrir (sociétés géographiques). 1775-1875 : expansion coloniale sans précédent. Leaders : UK, France, Pays-Bas. Laters : Belgique, USA, Allemagne Cours 2 : La fabrique de la nation : unification linguistique et politique des élites nationales Fin du XVe, on découvre la modernité scientifique, mais pas politique, la révolution française amène un nouvel ordre basé sur le citoyen en tant que fondement de la nation, refus de la collectivité au détriment

identités meurtrières », définit l’identité comme suit : « Mon identité, c’est ce qui fait que je ne suis identique à aucune autre personne. C’est une appartenance à une tradition religieuse, une nationalité, parfois deux, à un groupe ethnique ou linguistique, à une famille plus ou moins élargie, à une profession, à une institution… C’est une appartenance plus ou moins forte à une province, un village, un quartier, un clan, un syndicat… L’identité n’est pas donnée une fois pour toutes, elle se construit

souvent inconscientes mais produisant des situations d’inégalité très visibles. • • Il y a discrimination directe s’il y a une différence de traitement (traitement moins favorable) qui manque de justification objective et raisonnable (loi belge anti-discrimination du 10 mai 2007). La discrimination est possible si la caractéristique est une exigence professionnelle essentielle et déterminante, appréciée au cas par cas, en raison de la nature de l’activité ou des conditions de son exercice