Confrérie de charité

femmes sont bcp moins nb que les hommes ds les confréries (qui sont associées aux corporations ; une confrérie regroupe des hommes ayant le même métier et qui doivent s’entraider en cas de coups durs : elle organise les funérailles de ses membres et vient en aide à leurs veuves et leurs orphelins) ; à Rouen, pour la 1ère moitié du XVIe s, 6 confréries sur 37 mentionnent la présence de femmes et tjrs en petit nb ; il existe à Lyon en 1500 une confrérie de femmes mais elle a disparu en 1540 ; les jeunes

Romans quant a lui est le dernier-né d'une longue " histoire des hôpitaux " de cette ville. En effet, avant 1790, remontant sur plusieurs siècles, on recense pas moins de 8 établissements de santé (aumône, maladrerie, hôpital, confrérie).Parmi eux, en 1649, l'hôpital de la charité, situé quartier de la presle, qui a subi de nombreuses modifications et extensions, le bâtiment le plus récent datant de 1900. Les alentours du " vieil hôpital " ont d'ailleurs été réaménagés (actuel parc F. Mitterrand).En

maîtres-artisans s’entraident grâce aux confréries (Les confréries sont des communautés regroupant des laïcs et destinées à favoriser une entraide fraternelle. La confrérie est en général dirigée par un Grand Maître. En France, toutes les confréries furent abolies au moment de la Révolution française, par un décret en date du 18 août 1792.) Les confrères pratiquent la religion plus ou moins régulièrement, dans l’unique but « d’imposer » leur saint-patron. Par exemple, la Confrérie des Charitables de Saint-Éloi

et compagnonnages. En effet les métiers se regroupent et s'organisent pour ne pas avoir de la concurrence et d’assurer a survie des métiers. Les société urbaines sont hiérarchisée → très contrastée ; les bourgeois contrôle les richesses → charité/ confrérie (religieuse) villes → lieu des grandes universités qui sont sous l'autorité religieuse et indépendante de l'autorité judiciaire. La ville se soustrait du pouvoir seigneuriale. B/ conquête d'indépendance Au moyen-age, l'autorité est différente

mendiants et malades, vivent de la charité de l’Église ou des bourgeois (habitants de la ville en général, puis, au XIIIe s., surtout ceux qui ont un minimum de richesse) qui bâtissent des hôpitaux et des léproseries.... Les artisans sont particulièrement nombreux parmi les bourgeois. Ils produisent surtout des draps de laine. Les maîtres travaillent dans leur atelier avec leurs compagnons salariés et un apprenti. Les citadins aiment se regrouper dans des confréries à caractère religieux, et au XIIe

regard « protestant » qui valorise le travail... idée reprise par les arbitriotes en Espagne ou les tenants du mercantilisme en France... II) Le développement des politiques de lutte de la pauvreté : Déjà au XVIe siècle les élites, confréries, municipalités tentent de réduire les masses de pauvres, considérés comme dangeureux. Les mesures se multiplient au siècle suivant, sous la volonté de multiples acteurs. A) De multiples acteurs : Les acteurs qui participent au traitement

se développer de grands concepts généraux diffusés par les écoles scientifiques. Nous assistons au développement des lieux dédiés à la charité et à l’assistance, ainsi les hôpitaux sont installés à proximité des grandes villes où le long des voies de communications et de commerce. Ils ne sont pas uniquement dédiés à soigner mais sont avant tout le lieu de charité pour les enfants des rues, les vulnérables et lieu d’accueil sécurisé pour les pèlerins. Les épidémies de lèpres et de peste vont influencer

tragique : L’œuvre la plus représentative est « La Ballade des pendus ». Connue aussi comme « Epitaphe Villon » est le poème le plus connu de Villon. Villon fait parler les morts, qui s'adressent aux vivants, dans un appel à la compassion et à la charité chrétienne. Le but est solliciter l’indulgence et le pardon. 3) Le tragique de l’existence Villon crée une œuvre personnelle qui annonce thèmes de la poésie moderne. Inspiré par sa propre expérience de mauvais garçon il exprime la dimension

Ils sont unis. Le métier dispose d'une organisation très restreinte. Les artisans s'aident entre eux. Ils sont une « confrérie ». 2 types de communautés: communautés profes. : - métiers( association d'apprenti, de compagnon dirigé par un chef), corporations, guildes communautés religieuses: confréries, ordres religieux, ordres mendiants (ordre qui dépend de la charité des autres. Vœux de pauvreté. Solidarité religieuse. Exemple: François d'Assisses. Lorsque les membres de l'ordre mendiant

l'IPRAUS (Institut Parisien de Recherche : Architecture, Urbanisme, Société) Bibliographie[modifier] Nuptialité et alliance. Le choix du conjoint dans une commune de l'Eure, Paris, Maisonneuve et Larose, 1972, 142 p. Les confréries dans la France contemporaine : les Charités, Paris, Flammarion, 1975, 221 p. Le cycle de la vie familiale dans les sociétés européennes, sous la direction de Jean Cuisenier et Martine Segalen. Paris, La Haye, 1977, Mouton, 494 p. Mari et femme dans la société paysanne