Connétable

le premier maitre d’hotel, le maitre de la garde-robe, les aumoniers, les secretaires ( secretaires de la chambre et secretaires du cabinet). Parmi les grands officiers de la couronne, deux avaient des fonctiones politiques : le chancelier et le connetable. En 1601, le grand maitre de l’artillerie, Sully est devenu un des grands officiers de la couronne. Le secretaire d’Etat, Villeroy etait charge de la guerre et des affaires etrangeres aussi et avec Sully, ils furent membres au Conseil des affaires

civile. On trouve parmi les officiers le Connétable: le commandant en chef de l'armée royale. On trouve en dessous de lui ses adjoints qui portent le titre de maréchaux de France et ces grands officiers sont tellement importants que lorsqu'ils entrent en fonction, ils sont intronisés et en droit l'intronisation est presque aussi importante qu'un sacre. Le Connétable reçoit l'épée et les maréchaux reçoivent un bâton recouvert de fleurs de lys. Le connétable représente le roi au près de l'armée et

morales. 2) Le roman de Renart est une collection de fabliaux, sans grands liens entre eux, consacrés aux exploits du goupil de Renart[17]. Autour de Renart apparaît des personnages symboliques : Noble le Lion est roi ; Ysengrin le Loup est son connétable, Bêlin le mouton est chapelain du roi, … L’œuvre raille les vilains, nobles et prêtres. Elle fait le procès de la société médiévale. C’est une apologie de la ruse, du mensonge, de l’hypocrisie : Renart trompe les puissants comme Noble et Ysengrin

littéraires des deux poètes sont comparables : Pétrarque a été un modèle pour Marot. Paola Cifarelli compare deux versions de la traduction des Triomphes par un magistrat provençal, Jean Maynier d’Oppède, vers 1538. La version manuscrite, offerte au connétable de Montmorency, est sans doute une œuvre de jeunesse relativement autonome par rapport aux traductions antérieures. Le texte imprimé chez Denis Janot en offre une version remaniée, adaptée au goût parisien, débarrassée des régionalismes, des archaïsmes

symbolique pour ses fiançaille (desponsatio). Le fiancé fait a son tour une donation dos ex marito et se voit remettre sa promise[7]. L'administration du palais royal était confiée à des officiers domestiques, fidèles et compagnons du roi : * le « connétable » était chargé des écuries royales ; * le « maréchal » s'occupait du tribunal ; * le « référendaire » envoyait les ordres écrits du roi dans les régions où le pouvoir de ce dernier s'exerçait ; * mais c'est surtout la charge de « maire

serait le connétable et le chancelier. A - Le Connétable Le connétable exerce une fonction viagère, il est inamovible et on comprend mieux la nature de sa fonction si on fixe l'attention sur l'insigne : l'épée. Le Connétable est le chef de l'écurie royale, fonction essentiellement militaire, c'est le chef de l'armée, le ministre de la guerre. Il exerce également un contrôle sur les gens de guerre. Ce personnage a pris de l'importance avec la guerre de 100 ans. L'un des connétables les plus

ecclésiastique sous ses ordres, représentant de la papauté), chancelier (remplace les référendaires, rédige tous les actes législatifs, dirige les clercs) et le comte du palais. ⁃ Autres officiers : officiers du royaume (huissiers), de la maison impériale (connétable qui gère les écuries), qui sont laïcs. Les MISSI DOMINICI sont les envoyés du maître, représentants de l’empereur. Ils deviennent un élément essentiel du gouv sous Charlemagne, en permettant la centralisation autoritaire. Ils sont organisés par

pas les forces nécessaires pour profiter des rivalités entre les factions nobiliaires qui se disputaient les « grâces » arrachées au souverain. L'époque de Jean II (1406-1454) marqua un redressement de l'autorité monarchique, grâce à l'énergique connétable Álvaro de Luna qui écrasa l'armée de la noblesse à Olmedo (1445) ; mais, sacrifié aux rancunes de ses ennemis, il mourut sur l'échafaud. L'« unification » de l'Espagne  L'union des deux grandes monarchies sous l'autorité des « deux rois »

était constituée d'un ensemble de service et dont l'organisation était réglée, voir régulée, elle comprenait un grand nombre de charge qui engrenait des fonctions diverses à remplir auprès du roi. Il y a eu des charges civiles, militaires (de connétable), et religieuses. Dès la monarchie carolingienne vont se constituer les services du gouvernement de type moderne et les conseils. Les services de gouvernement semblent avoir un caractère privé. Si on se place à la période moderne, il faut distinguer

de Charles IX, l’aristocratie aura à nouveau la main forte au sein de Conseil. [13] Durant le règne de François Ier, on distingue 3 sortes de membres admis au Conseil : une minorité de princes de sang et de pairs, des officiers de la couronne (connétables, chancelier, amiral de France) et des conseillers issus des principaux dignitaires, soit des maréchaux, présidents des cours souveraines, des trésoriers et des généraux des Finances. [14]Ainsi, en 1515, nous voyons siéger les ducs d’Alençon, de