Connexionnisme

aussi bien les sciences de la matière, de la vie ou de la société, se retrouve dans des courants de pensée différents : la cybernétique, bien sûr, mais aussi le structuralisme et, et plus précise récemment les approches de la complexité où là le connexionnisme point l'objectif n'est pas seulement de lutter contre la spécialisation extrême de connaissance considéré comme stérilisant, mais de proposer une perspective en gobant qui permettent une interprétation des apport partiel et sectoriels en fonction

Naissance de la psychologie en tant que science 1870-1920 2. Premier paradigme de la psychologie le bahaviorisme 1920-1950 3. Deuxième paradigmes de la psychologie : le cognitivisme 1960 à nos jours 4. Emergence de nouveaux paradigmes ? connexionnisme, neurosciences 1980 à nos jours " D’ou vient la psychologie moderne ? La question de la connaissance conduit à l’étude du fonctionnement de l’esprit " Rationalisme : doctrine qui pense que la raison est la seule source de connaissance

TRANslator) ne verra le jour qu'en 1954. La programmation de telles machines est compliquée, très longue. Mais l'apparition des ordinateurs semble rendre possible le rêve de l'IA. Les deux approches de l'IA vont émerger dans les années 1940 : le connexionnisme et le cognitivisme. Norbert Wiener (1894-1964), mathématicien, lance dans les années 1940 la cybernétique, comme science du fonctionnement de l'esprit humain. Wiener veut modéliser l'esprit comme une « boite noire » dotée d'un comportement dépendant

l’auteur non seulement de concepts issus de la biologie pour penser la cognition, mais également d’un paradigme fort pour les sciences cognitives, donnant une éthique aux chercheurs pour les réconcilier avec l’expérience humaine. Il critique le connexionnisme pour son incapacité à prendre en compte l’expérience humaine et construit le paradigme de l’énaction sur une seule exigence pour les sciences cognitives : « retourner à nos vécus» (Varela). Les principaux concepts de la pensée de F.Varela :

tributaire des progres informatiques; 3) 1'etablissement, a partir de 1975, tant aux Etats-Unis qu'en Europe, de regroupements interdisciplinaires adoptant l'intitule «sciences cognitives »; 4) la periode recente enfin, qui voit surgir les debats entre connexionnisme, porte par les progres des neurosciences, et cognitivisme orthodoxe, lie aux conceptions classiques de !'intelligence artificielle. De ce parcours historique, F. Rastier sait degager de fac;on claire et precise ce que sont en verite les postulats

n’y a pas de solution, il procède par Essais et Erreurs. Cognitivistes: Cela ne garantit pas la solution. Donc il faut plutôt comprendre les relations qui existent entre les différents éléments. LES THEORIES DITES ASSOCIASSONISTES A. LE CONNEXIONNISME DE THORNDIKE : Après avoir enfermé un chat affamé dans une boîte, à côté duquel il déposa de la nourriture, ce chat a employé tous les moyens dont il dispose mais n’a pas pu se libérer. Par hasard, il a touché une pédale qui a déclenché

quelques pages, voir [Kor97]. Pour ceux que l'anglais n'effraie pas et qui aiment les bandes dessinées, voir [GZ98]. Les recherches sur la physiologie du cerveau sont actuellement très actives. 3.1.2 Le connexionnisme et les réseaux de neurones formels La question fondamentale du connexionnisme est : comment rendre compte des processus cognitifs à partir d'un ensemble d'unités, dotées chacunes d'une faible puissance de calcul et interconnectées en réseau ? La définition de réseaux de neurones

entité et non plus comme un ensemble de fonction. A la fin de la seconde Guerre Mondiale, l'associationnisme revient puis la psychologie cognitive se pose en alternative aux courants théoriques. Il a également existé d'autres courants comme le connexionnisme[4]. La neuropsychologie va donc nous servir à expliquer des syndromes du langage. Ce sont un ensemble de dysfonctionnements du comportement linguistique. Certains troubles du langage sont d’origine organique et d’autre apparaissent au cours de

prestataires les supervisant, l’inverse peut être observé. Il semble que le chemin vers des infrastructures numériques toujours plus performantes et faisant interagir toujours plus de personnes et transiter toujours plus de données, nous amène vers le connexionnisme, tout en procurant une sensation de liberté. Mais sommes-nous réellement libres ? Le numérique porte en lui le nomadisme mais dans les faits il semble nous amener vers le sédentarisme. Le développement effréné des artefacts numériques relève

l'adaptation à la vie, comme le sont les organes tels que le cœur ou le foie. Mais le fonctionnalisme admet dans ses méthodes l'introspection, qui sera bannie par les behavioristes (du moins en principe). Plus proche encore du béhaviorisme, est le connexionnisme de E. L. Thorndike, qui a formulé la fameuse "Loi de l'effet", qui sert sous d'autres noms de base à la théorie actuelle de B. F. Skinner: principe du "renforcement", conditionnement "actif", "instrument a l " ou "opérant". Cela veut dire, que