Consequences Négatifs De La Mondialisation

création selon les innovations de produit ou de procédé, selon l’investissement de capacité ou de productivité, selon les effets sur la durée du travail  les effets de la productivité se font sentir à long terme (cycle Kondratiev et Schumpeter). B conséquences sur la structure des actifs (déclin des agriculteurs, plus récemment des ouvriers, montée des classes moyennes ; féminisation des emplois ; exclusion des actifs plus âgés) II Les effets qualitatifs A mutations dans l’organisation du travail

Introduction La mondialisation financière est un phénomène marquant, très nombreux impacts, double aspect : - Positif : source de développement économique, permet le financement des entreprises, des investissements, du commerce international (couverture de risques). - Négatif : Source d’instabilité, de crise financière (crise asiatique, crise immobilière ‘subprimes’) CHAPITRE I : Les caractéristiques de la mondialisation 1. Introduction Une des composantes de la mondialisation. 5 composantes

I] Les avantages et les inconvénients de la mondialisation AVANTAGES ou EFFETS POSITIFS  Pour les consommateurs : Achats de biens et services au moindre coût + diversification de l'offre.  Pour les épargnants (les offreurs de capitaux) : accès aux placements les plus rémunérateurs (en fonction du taux d'intérêt*).  Pour les débiteurs (les demandeurs de capitaux) : diversification des sources de capitaux (épargne mondiale) accessibles au moindre coût (en fonction du taux d'intérêt). 

théories du commerce international. Les théories classiques, marquées par Smith puis Ricardo, furent la base de mises à jour ou de critiques, en suivant la modification des échanges, pour donner des théories contemporaines basée sur le terme de mondialisation. Dans une seconde partie, nous identifierons le commerce international d’aujourd’hui, de la globalisation née des travaux des institutions, à la modification des pratiques productives, tout en analysant l’impact de ce phénomène : les inégalités

informations, et flux de capitaux) vont s’intensifier et leur expansion croître de manière fulgurante ; la mondialisation est en marche. Les pays industrialisés (Etats Unis, Union européenne …) et les pays en voie de développement (Brésil, Inde, quatre dragons…) sont les principaux acteurs de cette globalisation. Toutefois, nous devons nous référer au contexte actuel. La mondialisation permet la croissance des économies en générale, mais aussi l’émergence de nouveaux concurrents (nouvelles économies

largement nationales. Quelques multinationales existaient, certes mais leur nationalité faisait rarement doute. la mondialisation a montré que l’idée qu’une entreprise «  appartenait » à un pays s’imposait donc presque naturellement. En une quarantaine d’années, la mondialisation a montré et montrera combien cette idée parfois reçue aujourd’hui encore, est fausse. Tant que la mondialisation économique a eu une dimension purement commerciale, la concurrence entre les nations s’est confondue avec celle

création selon les innovations de produit ou de procédé, selon l’investissement de capacité ou de productivité, selon les effets sur la durée du travail ⇒ les effets de la productivité se font sentir à long terme (cycle Kondratiev et Schumpeter). B conséquences sur la structure des actifs (déclin des agriculteurs, plus récemment des ouvriers, montée des classes moyennes ; féminisation des emplois ; exclusion des actifs plus âgés) II Les effets qualitatifs A mutations dans l’organisation du travail : du

semble incontestable que si ces crises ont et ont eu des conséquences conjoncturelles irréfutables elles aient aussi des conséquences structurelles plus profondes touchant à un système et une philosophie : celle du libéralisme roi. Ainsi la crise semble être une traduction de l’incapacité du marché à s’autorégulé et une mise en relief d’une inadaptation des règles de l’économie mondiale à l’économie actuelle. Quelles sont les conséquences de cette crise ? Nous amène-t-elle à un chao économique et

d’économistes ont appelé de leurs vœux l’intervention du Fonds monétaire international (FMI). Pourtant, celui-ci ne bénéficie pas toujours d’une bonne publicité. C’est le cas en Afrique où il est commun d'entendre dénoncer les impacts sociaux (négatifs) des programmes d’ajustement structurel (PAS) qu’il a parrainé dans le dernier quart du siècle dernier. Dans l’imaginaire populaire, le FMI serait le responsable de l'accroissement de la pauvreté en Afrique. Vers le début des années 70, la vulnérabilité

importés comme le pétrole par exemple. - L’inflation par les coûts, les entreprises fixes leur prix en fonction de leurs couts. Or ces couts de production peuvent augmenter, hausse de salaire (hausse smic) hausse des matières premières. La conséquence c’est que lorsque les couts de production augmentent, l’entreprise va répercuter ses couts sur le prix de vente. - Inflation budgétaire, le déficit du budget de l’Etat est financé par la création monétaire. Par exemple en injectant de nouveaux