Consommation Vestimentaire

auront ils sur le comportement du consommateur ? » Résumé : Ce mémoire aura pour but de répondre à la question : « Quels impacts les emballages de demain auront- ils sur le comportement du consommateur ? ». En effet, de nos jours, les modes de consommation changent et les emballages également par la même occasion. En premier lieu, nous remettrons en perspective les deux fondamentaux de notre mémoire à savoir: les emballages, les consommateurs et leurs évolutions propres. Nous verrons ensuite

marketing des biens de grande consommation repose en grande partie sur une gestion maîtrisée des cycles de rachat. C’est pourquoi la plupart des entreprises accordent aujourd’hui tant d’importance à la fidélisation de leur clientèle. Cependant, en devenant de plus en plus accessible, le luxe est dépendant de situations particulières d’achat et de consommation. Jadis alimenté par la consommation ordinaire de gens exceptionnels, le luxe se nourrit aujourd’hui de la consommation exceptionnelle de gens ordinaires

système productif La répartition primaire des revenus La redistribution des revenus La consommation et l’épargne 5 15 25 33 43 53 61 71 81 I. Les fonctions économiques : la consommation et l’épargne I. Les fonctions économiques : la répartition I. Les fonctions économiques : la production Référentiel Les fondements de la connaissance économique 10 Les consommations collectives et le mode de consommation 11 La monnaie 12 Le financement de l’économie 13 La régulation par le marché 14 La régulation

de négociation commerciale. I – LA POLITIQUE DE DISTRIBUTION ( Distribuer les produits, c’est « les amener au bon endroit, en quantité suffisants, avec le choix requis, au bon moment, et avec les services nécessaires à leur vente, à leur consommation, et le cas échéant, à leur entretien » ( De ces exigences découle une multitude d’opérations, elles sont assumées par des individus et des organisations qui forment les différents circuits de distribution marketing. 1.1 – quel(s) réseau(x)

Organisation des Pays Exporteurs de Pétrole ) puis des pays de l’est et plus récemment de Chine dans les années 2000. Ainsi une consommation ostentatoire est installée durablement la mode du “Bling Bling” ( tape à l’oeil ); ils aiment ce qui est voyant, cher, neuf, glamour, paillette . Les prix du luxe sont en moyenne 4 fois supérieurs à ceux de la grande consommation. Pour commercialiser leurs produits de luxe, les marques sont donc obligées de miser sur les services pour faire oublier le prix

de penser que les pays en développement vont consommer à l’identique des pays développés. Malheureusement, le marché de masse n’est pas l’idéal pour les produits de consommation habituellement destinés aux pays du nord… Effectivement, les cultures des pays en développement sont très différentes des nôtres, et leur mode de consommation varie énormément du nôtre. Les habitants ne sont pas près de changer de sitôt… Prenons un simple exemple : en Chine, les consommateurs achètent leurs produits au jour

...............................................................................25 L’HYPERCONSOMMATION. ........................................................................................................................26 L’évolution de la consommation depuis les années 50. ................................................................26 L’hyperconsommation...................................................................................................................27 SYNTHESE DE LA

Déroulement de nos enquêtes Nous avons réalisé une étude qualitative dans le cadre du challenge sur le journal « Le Soir» afin de mieux cerner notre cible, à savoir les 18-24 ans belges francophones, et également d’en dégager leurs habitudes de consommation, leur comportement social, l'image qu'ils ont du journal le Soir etc. Cette étude a été réalisée sous forme d’un entretien collectif et d’entretiens individuels : - le premier entretien s’est déroulé à Louvain-la-Neuve le 4 décembre 2008 de

Tableau 1 : Chiffre d’affaires et volume de production du marché des biscuits et gâteaux de 2007 à 2009 Année Chiffre d’affaires 2007 2,36 473 800 2008 2,4 459 400 2009 2 455 300 4 Volume de production La consommation moyenne de biscuits ou de gâteaux chez les seuls consommateurs est de 27,2 g par jour chez les enfants et 22,1 g par jour chez les adultes soit l’équivalent d’une madeleine ou de 3 petits-beurre. Ceci représente 5,6% de l’apport énergétique quotidien

Tableau 1 : Chiffre d’affaires et volume de production du marché des biscuits et gâteaux de 2007 à 2009 Année Chiffre d’affaires 2007 2,36 473 800 2008 2,4 459 400 2009 2 455 300 4 Volume de production La consommation moyenne de biscuits ou de gâteaux chez les seuls consommateurs est de 27,2 g par jour chez les enfants et 22,1 g par jour chez les adultes soit l’équivalent d’une madeleine ou de 3 petits-beurre. Ceci représente 5,6% de l’apport énergétique quotidien