Consonne affriquée

Principales figures de style -Allégorie : Personnification d'une idée abstraite Exemple : « Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! » -Allitération : Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Exemple : Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine :     Cassandre sous son   Capuce -Anaphore : Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers Exemple : Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits 

au phonème apparaît plus tardivement. - Une syllabe de type consonne-voyelle est plus facile à aborder qu’une syllabe de type consonne-consonne-voyelle (TRA) ou consonne-voyelle-consonne (DUR) - Il est plus facile de reconnaître une consonne en début de mot, puis en fin de mot et ensuite à l’intérieur. - Il est plus facile de reconnaître une voyelle qu’une consonne. - Il est plus facile de reconnaître une consonne continue (dont l’articulation se prolonge, comme le son de la lettre

idées qui sont à pleine maturité et qui ne peuvent plus se développer. De plus, nous pouvons apercevoir une allitération dans cet extrait: « Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.» Ce procédé musical comporte une forte présence de consonnes occlusives, qui suggère une forme de colère que l'auteur ressent par rapport à la faible concentration de fruits que son jardin renferme. Les fruits ici, rapprochent les idées et le jardin représente son esprit, sa pensée. En résumé, à l'aide d'une

unité de son de la langue parlée, qui correspond à une lettre de l’alphabet de la langue écrite. On combine les phonèmes selon des règles. Exemple : en serbo-croate on peut aligner 5 consonnes sans voyelle : serbe au féminin se dit srpska ; en français, seulement trois ; en japonais il faut une voyelle après chaque consonne : pour dire Strasbourg on dit soutorasoubourou. -Règles de vocabulaire = dictionnaire des morphèmes. Un morphème est un groupe de phonèmes qui a un signifié distinct. Par exemple

grand nombre de termes de même nature et de même fonction. Ah... Gudule, excuse-toi ou je reprends tout ça Mon frigidaire Mon armoire à cuillers Mon évier en fer Et mon poêle à mazout. (Vian) ALLITERATION Répétition d’un son consonantique (consonne). Tout en faisant trotter ses petites bottines. (Rimbaud) ASSONANCE Répétition d’un son vocalique (voyelle). Tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire. (Racine) GRADATION Enumération de plusieurs termes d’intensité croissante.

Autres séries d ‘oppositions sur le plan des volumes sonores. On remarquera des oppositions entre des syllabes longues et courtes. A l’oreille comme à l’œil, la récurrence de –ESSE, provoque un allongement sonore provoqué par le doublement de la consonne ce qui allonge le son E précédent mais aussi au niveau de l’œil. Dans cet allongement, les diérèses (= division de deux voyelles consécutives en deux syllabes) « Orient », « souriant ». Tous ces effets d’allongements contrastent avec l’emploi de

MOYENS PHONETIQUES : | - Les sons | - allitération ( consonnes ) / assonance ( voyelles ) | E. LES MOYENS ORTHOGRAPHIQUES : | - La forme des mots | - minuscule / majuscule / italique / gras / parenthèses / guillemets / souligné. | La versification Rimes riches : | - comportant au moins l'écho de deux consonnes et d'un son voyelle. | Rimes suffisantes : | - un son voyelle et un son consonne se font écho. | Rimes pauvres : | - seul un son voyelle

qui dort, Quelque nid, // d'où s'écha// ppe un petit frisson d'aile : -- Un chant mystérieux // tombe des astres d'or. Questions : a) Combien de sons distincts comptez-vous dans le mot « Ophelia », au second vers ? Combien de syllabes ? b) Les consonnes de ce mot sont répétées dans le vers 2 : dans quels mots ? comment appelle-t-on ce procédé de versification, quel est l’effet produit ? c) Montrez que ce procédé n’affecte pas seulement le vers 2 mais s’élargit à l’ensemble du poème. Dans quel but

ponctuation. Dans le cas d'un poème, respectez le rythme des vers. Attention aux e muets, aux diérèses, aux enjambements. Rappelons ici au sujet des e muets que toute syllabe contenant un e muet compte pour un pied si le e se trouve devant une consonne ou un h aspiré. Il faut alors prononcer distinctement le e. La diérèse se rapporte à deux voyelles que l'on prononce de manière à en faire deux syllabes au lieu d'une. Par exemple, violon peut être prononcé vio-lon (2 pieds) ou vi-o-lon (3 pieds

m, n, o, p, q, r, s, t, u,v, w, x, y, z. Voyelles et consonnes. Il y a deux sortes de lettres : les voyelles et les consonnes. Les voyelles sont sonores par elles mêmes : a, o. Les consonnes ne sonnent qu'à l'aide des voyelles p, d, dans Padoue, Papin, Didon. 3 Il y a cinq voyelles : a, e, i, o, u. Il y a vingt consonnes : b, c, d, f, h, j, k, 1, m, n, p, q, r, s, t, v, w, x, z. Il y a une lettre qui est tantôt voyelle, tantôt semi-consonne : y. Les Voyelles. Division des voyelles. Les voyelles