Constante de Boltzmann

diode. Sous obscurité, l’équation de la diode est donnée par : (3 .1) Sous éclairement on aura : (3.2) Avec : Is : courant de saturation inverse de la diode q:la charge de l’électron k : la constante de Boltzmann (1.38 10-23J/K) ; n : le facteur de non idéalité de la photopile ; T : la température de la jonction en K ; I : le courant de sortie V : la tension de sortie En circuit ouvert, la charge tend vers l’infini et V tend vers Vco, qui

La loi de Coulomb. Deux charges électriques ponctuelles dans le vide, placées à une distance [pic]l’une de l’autre, sont soumises à une force [pic]dont le module est donné par la loi de Coulomb : [pic] où [pic] La constante [pic]dépend du milieu où les charges sont placées. Cette force est répulsive si les deux charges sont de mêmes signes. Elle est attractive si elles sont de signes contraires. [pic] 2- Le champ électrique. Chaque charge électrique ponctuelle

schrödinger H.Ψ=E.Ψ H = opérateur hamiltonien E = scalaire = énergie de l’electron * Couples solutions du type ΨiEi * Ei negatif et proportionnel a 1/n² * N = nombre quantique principal En=-RH/n² avec n= 1,2,3… RH Constante de Rydberg E prend des valeurs discretes (séparées les unes des autres) Valeurs de Ei N=1 Ei=E1=-RH= énergie de l’état fondamental N=2 Ei=E2=-RH/4 L’énergie de l’électron est quantifiée et ne depends que de la valeur de n Excitation (n>1)

[Turn over www.xtremepapers.net 2 Data speed of light in free space, permeability of free space, permittivity of free space, elementary charge, the Planck constant, unified atomic mass constant, rest mass of electron, rest mass of proton, molar gas constant, the Avogadro constant, the Boltzmann constant, gravitational constant, acceleration of free fall, c = 3.00 × 108 m s–1 µ0 = 4π × 10–7 H m–1 ε0 = 8.85 × 10–12 F m–1 e = 1.60 × 10–19 C h = 6.63 × 10–34 J s u = 1.66 × 10–27 kg me = 9.11

[pic] En effet, on connaît bien le rapport gyromagnétique de cette molécule : g = 2.0036. On trace alors les courbes d’étalonnage suivantes : i) ∀L = f(B2), pour déterminer les champs pour lesquels l’aire de la dérivée est bien constante, c’est-à-dire proportionnelle au nombre de centres paramagnétiques de l’échantillon. ii) ∀I/G = f(B2), pour déterminer le domaine où le rapport entre l’intensité et le gain est une fonction affine du champ. iii) ∀I = f(G)

la pression du système reste constante. P 1 2 Transformation isochore Lorsque le système est entouré de parois rigides, indéformables, et indilatables, le volume du système reste constant, la V transformation est isochore. Le système est 1 mécaniquement 2 isolé, il peut y avoir échange de chaleur avec le milieu extérieur et des phénomènes mécaniques au sein du système. Transformation isotherme Au cours de transformation, température reste constante. cette la du système T 1

par la loi de Stefan-Boltzmann qui qualifie le flux transmis par rayonnement thermique : Avec :      P = Flux [W] Emissivité [ ] Constante de Stefan-Boltzmann [ ] T = Température du Corps [K] S = Surface du Corps [m²] 12 Et : √ Sur cette dernière équation, nous pouvons constater que la température est fonction de plusieurs variables. Sachant que le flux est constant (car notre étude s’effectue en régime permanent), que etsont aussi constantes et que l’émissivité est

accepté si l’énergie du système diminue (∆E < 0). Dans le cas contraire (∆E = 0), il est accepté avec une certaine probabilité: prob(∆E, t) = exp ( − ∆E ) kB ⋅ t où t est la température du système et kB une constante physique connue sous le nom de constante de Boltzmann. A chaque étape, l’acceptation d’un nouvel état dont l’énergie n’est pas inférieure à celle de l’état courant est décidée en générant de manière aléatoire un nombre q ∈ [0,1[. Si q est inférieur ou égal à prob(∆E,t)

2.2.3.3 Unit´ de pression . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 2.2.4 Temp´rature cin´tique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e e 2.2.4.1 D´finition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 2.2.4.2 La constante de Boltzmann . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.4.3 Unit´s de temp´rature . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e e 2.2.5 Extension de la notion de gaz parfait . . . . . . . . . . . . . . . . . ´ 2.2.5.1 Energie cin´tique moyenne . . . . . . . .

le plus éloigné possible pour que la réaction soit plus favorable. 1. Enthalpie libre. Quand G tend vers une limite, alors G tend vers un équilibre. G = U + PV - TS Dans les conditions de travaux pratiques, PV et TS seront constants. G = H - TS A pression et température constante, on va pouvoir ressortir la variation ∆G qui repésentera le travail maximum fourni par le système. La valeur de ∆G sera importante pour émettre des hypothèses sur l'évolution du système. Quand ∆G = 0, il y a équilibre, ∆G