Constante de Planck

Q1 + Q2 + Q3 =0 m1 .ceau .(Tf – T1) + m1 .ceau.(Tf – T2) + C.( Tf – T2) = 0 ENERGIE RAYONNANTE : Energie d’un photon : E = h.f Longueur d’onde : 1 Période : T= f = c f T : période (s) Spectre électromagnétique : E : Joule (J) h : constante de Planck (J.s)  : longueur d’onde (m) f : fréquence (Hz) f : fréquence (Hz) c : vitesse de la lumière (m.s-1) f : fréquence (Hz) 

élevée au fond qu’en haut ; l’indice optique du milieu est différent en bas et en haut : plus l’eau est sucrée, plus son indice est grand. Le rayon de lumière est courbé vers le bas. Laser Cuve d’eau nonuniformément sucrée Mirages : À pression constante, si la température augmente, le gaz est moins dense, et son indice optique de réfraction « n » diminue. Considérons l’atmosphère au-dessus du sol en un jour de grand soleil. © PIERRON 2011 Réfraction de la lumière (page 3) Document du professeur

http://www.ccrs.nrcan.qc.ca) Le développement des techniques de la télédétection résulte de la conjonction entre l'invention des vecteurs, ballons, avions ou satellites, permettant de s'éloigner de la surface du sol ou de la Terre dans son ensemble, et le constant perfectionnement des capteurs, c'est à dire des appareils permettant d'enregistrer le rayonnement électromagnétique pour reconstituer les caractéristiques de la surface (terre ou océan), ou de l'atmosphère. Jusqu'il y a environ 30 ans, le principal

À l’état massif, un semi-conducteur non dopé présente une bande de valence, pleine, et une bande de conduction, vide, séparées par une bande interdite, le gap, de largeur Eg. Par excitation lumineuse avec des photons d’énergie hvexc Eg (h, constante de Planck ; v, fréquence du rayonnement), il est possible de transférer un électron de la bande de valence à la bande de conduction et ainsi de créer un trou dans la bande de valence. La fluorescence correspond à la recombinaison radiative de cette paire

allemand, a établit en 1896, une relation qui fait le lien entre une température et une longueur d’onde. La loi de Wien montre alors que : λmax T = cste où λmax est la longueur d’onde du maximum de luminance spectrale, T la température et cste, une constante de valeur 2,89.10-3 K.m-1. Or, la température à la surface de la photosphère atteint 5 800°K. Ainsi, en appliquant la loi de Wien, on obtient : λmax = -7 m Ainsi, la loi de Wien crée un lien entre une température et une couleur. On explique alors

comment cet atome réagit avec la lumière. Suivant la mécanique quantique, l’atome réagit avec la lumière sur une fréquence v (la fréquence étant liée à la longueur d’onde et à la couleur), déterminée par l’équation v=delta E/h, où h représente la constante de Planck, physicien allemand. Trois types de réactions existe : l’absorption, l’émission stimulée et l’émission spontanée. Dans le premier cas, un atome dans un état d’énergie inférieur absorbe la lumière et gagne un état d’énergie supérieur par excitation

Ces atomes traversent ensuite une cavité dans laquelle règne un champ micro-onde de fréquence  ajustable. Notons (a) le premier niveau énergétique hyperfin et (b) le deuxième. Si la fréquence  est voisine de la fréquence 0 = (Eb—Ea)/h (h: constante de Planck) correspondant à la transition entre les deux niveaux hyperfins, des atomes absorbent un photon et passent dans le niveau supérieur (b). À la sortie de la cavité, un second tri permet de détecter les atomes ayant subi la transition. Un système

l’univers grâce aux rayonnements émis par ce qui est appelé le « big-bang » et les étoiles ainsi qu’a faire une cartographie de l’espace notamment grâce au satellite de recherche Planck lancé par Ariane 5 en 2009. Cependant Les sciences  dites positives ne font qu’établir des  lois, c’est-à-dire des relations constantes de succession et de  similitude entre des faits, par exemple les mathématiques établissent des relations entre des formes, des structures ou des symboles. La physique explicite les

relativité restreinte (À propos de l'électrodynamique des corps en mouvement) Einstein va trop vite pour son temps, il est incompris Et continue son travail au bureau des brevets de Zurich Puis, certains reconnaissent ses idées comme Max Planck Einstein généralise la théorie de la relativité Il formule le principe d'équivalence : Gravitation / accélération 1907 28 Quitte son poste aux brevets 1909 30 Poste à l'université de Zurich 1911 32 Poste à l'université

2.4 Radiation de freinage (Bremsstrahlung) . . . 2.5 Création et annihilation de paires . . . . . . . 2.6 Expériences modernes de mise en évidence du 2.7 Questions et problèmes . . . . . . . . . . . . . 2.7.1 Le corps noir et l’hypothèse de Planck 2.7.2 L’effet photoélectrique . . . . . . . . . 2.7.3 L’effet Compton . . . . . . . . . . . . 2.7.4 Production de rayons X . . . . . . . . 1 D’après J. L. Basdevant, Mécanique quantique, tome II. . . . . . . . . . . . . . .