Constante de Planck

particule, associé à la « rotation » de cette particule sur elle-même et l’existence simultanée d’un moment magnétique  : j = h’I et µ = j d’où µ = h’I avec est le rapport gyromagnétique de l’élément considéré. et h’ est la constante de Planck réduite (h’ = h2). I et µ sont quantifiés et ne peuvent pas prendre n’importe quelle valeur. Les lois de la mécanique quantique permettent de démontrer que µ ne peut adopter que 2I + 1, valeurs discontinues égales à µ = hm avec m variant

avons appliqué une haute tension de 35 kV . Celle-ci fixe l’énergie maximale des électrons que l’on pourra extraire et par conséquent la transition électronique maximale mesurable donc la longueur d’onde minimale. Or 2 λmin = avec h : la constante de Planck c : célérité de la lumière e : charge d’un électron V haute tension appliquée On en déduit h∗c e∗V λmin = 0, 35Å Grâce aux tables de cristallographie fournies avec l’énoncé, on peut donc dire que toutes la raies L seront observables et

parfois produire des interférences gênantes, mais ces interférences sont le plus souvent au contraire utilisées… Document 5 : Domaines spectraux et transitions quantiques associées Les trois parties sont indépendantes. Données : Constante de Planck h = 6,63.10-34 J.s Célérité de la lumière dans le vide C = 3,00.108 m.s-1 1 eV = 1,60.10-19 J Questions 1ère partie : Du Maser au Laser 1-Que signifie, l’acronyme LASER en français ? (COM) 2-De 1950 à avril 1954, en quoi

·,. CONCOURS D'ENTREE AUX GRANDES ECOLES MILITAIRES EPREUVE DE SCIENCES PHYSIQUES PHYSIQUE Nol A. ELECTRICITE On monte en série un condensateur de capacité c = 4 )JF' et une bobine de résistance R= saon, d'inductance L = 1M. On alimente cette portion de circuit à l'aide d'un générateur imposant la tension u = u ..fi cos(wt)de valeur efficace U=220 v et de pulsation égale à w = l001ll'ad.s~ 1 • 1. Etablir l'équation donnant u en fonction de :. i et q = J idt (charge du condensateur) 2.

champ magnétique permettant le contrôle de la trajectoire des électrons dans la colonne. Une variation du courant dans le bobinage modifie alors la convergence de la lentille, définie par la relation (2) : avec f : focale de la lentille,
: constante (rapport de la charge de l’électron sur la masse de l’électron), V0 : tension d’accélération des électrons, B(x) : champ magnétique dans l’entrefer. La focale d’une lentille électromagnétique est donc inversement proportionnelle au champ magnétique

modèle quantique de l’atome III.2. Nature de la lumière Début XXème : l’approche purement ondulatoire est mise en défaut 1. Quantification de l’énergie (Max Planck, 1900) : les échanges d’énergie entre la matière et le rayonnement se font en absorbant ou en émettant des quantités d’énergie nε avec ε = hν = hc/λ (h = constante de Planck = 6,63.10-34 J.s) 2. Einstein (1905) établit la relation E = mc2 qui relie une masse à une longueur d’onde. Nature duale de la lumière : corpusculaire et ondulatoire

très grandes tailles composés de protéines et pigments : PS I et PS II (photosystèmes) complexe intermédiaire : complexe b6f ATP synthase I. Energie apportée par les photons - relation d'Einstein : 1 quantum d'énergie hv = hc/λ h = constante de Planck = 6.626.10-34 J.sec v = fréquence en Hz de la lumière c = célérité de la lumière (2.9979.108 m/sec) λ = longueur d'onde en mètre - 1 Einstein = NA quanta = W = NA * hc/λ NA = nombre d'Avogadro (6.023.1023) - rouge : 670 nm W = 179

faire un expos´ sur la “nouvelle m´canique quantique”, ee e` e e qui venait de naˆ ıtre. Pendant qu’il jetait, assez fi´vreusement, un dernier coup d’œil sur ses notes, il e voyait s’installer au premier rang la cr`me de la physique mondiale : Max Planck, Walther Nernst, e Max von Laue, . . . Les visages de ces physiciens, c´l`bres pour leurs d´couvertes fondamentales, ee e gardaient tous le s´rieux et la componction de rigueur dans la vie acad´mique allemande. Puis, juste e e avant l’heure pr´vue

dans d’autres domaines que l’optique. Traitement d’un composant optique du LMJ (Laser Mégajoule) par le procédé sol-gel. La solution à déposer est synthétisée en cuve de 300 litres. L’optique est immergée dans ce bain, puis retirée à vitesse constante, assurant un dépôt contrôlé du revêtement. moléculaire des matériaux L’élaboration au niveauune structurepermet,lade par hybrides organique-inorganique leur concept, d’imaginer et de construire à façon (Lego™ Chemistry). La partie inorganique

l’expression U(r) = −K/r o` K est une constante, et l’on se place dans le r´ f´ rentiel suppos´ e galil´ en dans u ee e e lequel le Soleil est fixe, homog` ne et sph´ rique. De plus, on n´ glige l’influence des tous les autres e e e corps du syst` me solaire. e 3 — Exprimer K en fonction de la constante de la gravitation universelle G et de la masse du Soleil M⊙ . ` 4 — A quelle condition sur ε le mouvement de M v´ rifie-t-il rmin r rmax < ∞ avec rmin = rmax ? e Les constantes rmin et rmax sont respectivement