Consul

remplacé par deux consuls (deux pour éviter le gouvernement d’un seul). Le consulat est réservé au départ aux patriciens. Les patriciens veulent retrouver leurs pouvoirs. Ces consuls sont des magistrats (magistratus, magis, qui est ou qui peut plus). Ils ont l’imperium domi et militiae, ce sont eux qui ont l’autorité, le pouvoir de commandement. Ils sont donc investis par les comices curiates. Chaque consul a 12 licteurs. Ils sont désignés pour un an pour éviter que les consuls n’abusent de leur

de faire la meilleure impression possible au roi, de montrer sa fierté en quelque sorte : rien n'est improvisé, mais au contraire organisé de façon à recevoir le roi de la meilleure façon possible. Et ceci se retrouve dans les vêtements que « les consuls et ceux qui les accompagnaient » portent, et qu'ils ne semblent pas utilisés quotidiennement. Il s'agit en effet de « robes parties de rouge et de vert », et le but est donc pour eux de se distinguer du reste du peuple. Ce sont d'ailleurs eux qui

gouvernement est confié à trois consuls. On revient sur la séparation stricte des pouvoirs, les consuls vont aussi avoir un rôle en matière législative puisqu'ils bénéficient de l'initiative. Il y a aussi des ministres, plus un conseil d'état, grande innovation du consulat. Ces trois consuls sont inégaux car la réalité du pouvoir est entre les mains du premier consul, l'art 34 de la constitution précise que la décision du premier consul seule suffit. Les autres consuls n'ont qu'une voix consultative

Premier Consul. Chef d'État d'une République qui redevient prospère sous sa direction, il se présente comme l'homme providentiel sur lequel la France peut compter. Le 27 mars 1804, le sénat se fondant sur le péril d'une restauration monarchique suite au complot royaliste de Cadoudal du mois de février 1804, n'hésite pas à lui proposer la constitution d'une forme de gouvernement à transmission héréditaire. Le 18 mai 1804, un sénatus consulte confie le gouvernement de la République au Premier Consul, avec

d'autogouvernement urbain (consuls). Mode de gouvernement fondé sur l'élection, la représentation, la collégialité des décisions. ■c'est avec apparition des consuls que commence l'ère communale en Italie (apparition à Pise des consuls vers 1085, Milan 1097,seules2 ville centro-septentrionales n'ont pas connu de consulat: Venise et Rome mais fonctionnent comme des communes),naissance du mouvement urbanocentrique ■on a représentation de l'entière société urbaine (consul: magistrat élu qui exerce

dirigeaient la cité et ils exécutaient les lois. Les consuls, au nombre de deux, détenaient l'imperium, tous les magistrats leurs étaient soumis sauf ceux des tribuns de la plèbe, qui étaient les représentants du peuple. Ils avaient le pouvoir civil, « sont maîtres de toutes les affaires publiques », et militaire, « ils leur appartient de donner des contingents aux alliés », Polybe exagère l'étendue des pouvoirs étaient exercés par les consuls, le nombre de soldats à enrôler et les effectifs à fournir

Le Consulat et le Premier Empire Commentaire de texte : Proclamation des Consuls de la République du 24 Frimaire an VIII Après la Révolution, en 1789, plusieurs régimes se sont succédés. Mais, 10 ans après, la mise en place du Consulat marque une rupture avec ces différents régimes, notamment avec celui du directoire. Ce dernier, qui débuta en 1795, prit fin en 1799, le 9 novembre plus précisément, suite au coup d'Etat de Napoléon Bonaparte et Sieyès. Celui-ci, qui prit une part active à la Révolution

loi sans avoir, au préalable, le droit de les discuter. D/ Le Gouvernement : les trois consuls 138. Le Gouvernement est confié théoriquement à trois consuls nommés (dans le texte) pour dix ans par le Sénat, "et indéfiniment rééligibles"(art.39), mais désignés pour les trois premiers par la Constitution elle-même (c'est à dire par Bonaparte lui-même) : Bonaparte, Cambacérès, Lebrun. Mais seul le Premier consul, Bonaparte, promulgue les lois, nomme et révoque "à volonté" les membres du Conseil d'Etat

soutiennent Jugurtha qui les a corrompus afin d’éviter la conquête de la Numidie. 13 La plèbe et les patriciens souhaitent la guerre contre Jugurtha. 14 La guerre contre Jugurtha est commandée par le consul Spurius Albinus, elle débute en -110 avant J-C. 15 Le consul Aulus succède à son frère. Le consul Quintus Caecilius Metellus prend la relève, suite à l’échec des deux frères. 17 Le legat Marius les remplacent. 18 Afin de vaincre Jugurtha, Marius s'empare de plusieurs cités numides. 19 Sylla et

constrictam iam horum omnium scientia teneri coniurationem tuam non uides? Quid proxima, quid superiore nocte egeris, ubi fueris, quos conuocaueris, quid consilii ceperis, quem nostrum ignorare arbitraris? 2. O tempora, o mores! Senatus haec intellegit. consul uidet; hic tamen uiuit. Viuit? immo uero etiam in senatum uenit, fit publici consilii particeps, notat et designat oculis ad caedem unum quemque nostrum. Nos autem fortes uiri satis facere rei publicae uidemur, si istius furorem ac tela uitemus