Conséquence Inflation Dans La Zone Euro

Banque centrale européenne (BCE) est la banque centrale de l’Union européenne. Elle est chargée de définir les grandes orientations de politique monétaire de la zone euro et de prendre les décisions nécessaires à sa mise en oeuvre. C'est-à-dire de maintenir le pouvoir d'achat de l'euro et donc la stabilité des prix dans la zone euro. Cette zone comprend les 16 pays de l'Union européenne qui ont introduit l'euro depuis 1999. La BCE a été créée en 1998 et son siège est à Francfort-sur-le Main, en Allemagne

Bulgarie et les Pays-Bas. Pour les nouveaux entrants en particulier, cette situation représente un avantage compétitif difficile à remettre en cause, mais pour d’autres (ex : la France), elle représente un risque de concurrence faussée avec des conséquences possibles en termes de délocalisations et de suppressions d’emplois. 3) UNE UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE : LA MONNAIE UNIQUE 31) LA NAISSANCE DE L’EURO Les pays membres de l’union européenne ont décidé d’adopter une monnaie unique : l’euro

Européenne. Nous nous poserons la question de savoir comment le passage du franc à l'euro s'est-il effectué. Après s'être pencher sur la base du passage à la monnaie unique, on étudiera la manière dont laquelle ce passage s'est effectué et enfin, les conséquences de l'arrivée de l'euro. I. Du Franc à la monnaie unique A. Le Franc, une monnaie à l'histoire ancienne L’histoire du Franc remonte au XIIIème siècle, à l’époque où Jean II était roi. Ce dernier fut prit en otage par les anglais qui demandèrent

Chapitre 6 : Inflation, chômage et activité Introduction Quelle est l’influence de l’inflation sur l’activité économique ? Quels sont les effets à court terme et à moyen terme d’une politique de demande inflationniste sur le taux de chômage ? Quelle est la crédibilité d’une Banque Centrale ? Pourquoi la BCE est-elle plus averse au retour de l’inflation que la FED ? La courbe de Phillips William Phillips a mis en évidence une relation empirique négative entre

Propension marginale à consommer 2) Des politiques difficiles à mettre en place ? - La BCE a un objectif non national - Pacte de stabilité de l’UE et théorie de Mundell - Limites (effet d’éviction, endettement cumulatif [effet boule de neige], inflation, dégradation de la balance commerciale, fuite des capitaux flottants…) Conclusion Introduction. Le taux d'intérêt est un prix : c'est le prix qu'il faut payer pour emprunter de l'argent, c'est aussi le prix que l'on reçoit quand on prête

risque de déflation * C. QUELLES ÉVOLUTIONS STRUCTURELLES ? ÉLÉMENTS POUR LE DÉBAT * 1. Hier : des politiques monétaires pesant sur l'activité ?  * a) Un risque inflationniste probablement surévalué dans la zone euro * b) Des taux d'intérêts réels comparativement élevés * c) Des anticipations de croissance auto-réalisatrices * 2. Demain : articuler politique monétaire et politique macro-prudentielle ? 

La crise de la zone euro Tables des matières Partie 1 : Crise de la dette de la zone euro 3 1. Les origines profondes de la crise des dettes souveraines européenne. 3 1.1 Crise de la dette privé, les « subprimes » (prêt à risque) 3 1.2 Mutation d’une dette privée en dette publique 4 1.3 Le déficit Grecque détonateur de la crise des dettes souveraines 4 Partie 2 : Les impacts de cette crise 5 1. Des impacts économiques considérables. 5 1.1 Le Crédit Crunch 5 1.2 Bouleversement

ce sont les fluctuations des taux d’intérêt et les facteurs financiers qui expliquent surtout les varations de tdc. Principaux facteurs de baisse d’une monnaie : Déficit commercial Tx d’interets plus faibles Crise de confiance dans le pays Inflation Spéculation contre la monnaie Fuite des capitaux Changement social : Du groupe latent à l’action collective : * Groupe l’atent (existence d’un interet commun) * Prise de conscience d’un intérêt commun * Mobilisation * Action collective

la crise. Le moral des chefs d’entreprise varie beaucoup en fonction de la situation économique du pays et du contexte européen et même international (voir la chute brutale du moral à la suite de la crise des subprimes de 2008). Cela a pour conséquence des changements dans les anticipations des entreprises et donc dans leur comportement. Ainsi, on constate une chute du taux d’investissement et une réduction de la production (moindre utilisation des capacités de production). Cette attitude frileuse

baisse du taux de croissance du PIB pdt au moins deux trimestres consécutifs. Dépression: (taux de croiss – du PIB) diminution de PIB Reprise: point de retournement du cycle vers une période d’expansion. Croissance/expansion: augmentation du PIB Inflation: augmentation du niveau général des prix. Déflation: diminution généralisée des prix, salaires et masse monétaire Désinflation : ralentissement du rythme de l’augmentation des prix. - D’autres indicateurs des mvmts conjoncturels de l’activité