Conséquences Divorce

Le divorce par consentement mutuel ------------------------------------------------- Principe | Il suppose que les époux s'entendent sur la rupture du mariage et sur ses conséquences. C’est la seule cause de divorce où les époux règlent l’intégralité des effets de leur divorce. Ce divorce est désormais envisageable immédiatement après la célébration du mariage (alors qu'avant la réforme du 26 mai 2004, il fallait être marié depuis au moins 6 mois pour divorcer par consentement mutuel).

famille sous l’Ancien Régime est sous la coupe de la toute puissance paternelle : le Pater Familias. L’Eglise, qui a forte influence politique, consacre le patriarcat et la soumission de la femme. Elle prône l’indissolubilité du mariage-sacrement, le divorce est interdit. L’homme organise les rapports familiaux, use de sa suprématie sur femme et enfants. Il peut même faire emprisonner ses enfants (ce sont les fameuses lettres de cachet), a droit de correction. Le mariage n’est pas fondé sur le lien amoureux

l’enfant, CEDH Evolution du droit de la famille au XIXème jusque dans les années 50’s : modèle unitaire avec le mariage et filiation légitime. En 2008 on ne compte plus que 273 000 mariages alors que la population augmente en mm tps que le nb de divorce et le nb de remariage. En 2000, moins de 10 000 PACS par an, en 2008 140 000 PACS. Dans le cadre du mariage avant 1985, les droits du mari étaient supérieurs à ceux de la femme mariée, aujourd’hui les deux époux ont exactement les mêmes droits.

couple sans mariage. La famille issue du mariage a un chef  le mari. C’est lui qui fixe le lieu de domicile familial et sa femme est soumise à l’autorité du mari. Le mariage est indissoluble ou presque : il est interdit de divorcer par répudiation ou consentement mutuel, seulement pour excès, sévis ou injures graves. Pendant cette période le droit civil du mariage est fait de moral et fait pratiquement cause commune avec l’Eglise. Le mariage civil et le religieux appartiennent

exclusivement du mariage. Entre les époux eux même on parle de lien conjugal; le lien d'alliance est le rapport de droit qui existe entre l'un des époux et les parents de l'autre époux; ex: entre un gendre et la belle-mère; ce lien d'alliance porte des conséquences de droit.] Cette définition ne recouvre pas certaines situations, ex: le concubinage ne crée aucun lien de parenté ou d'alliance entre les concubins. Le PACS non plus: si pas de lien de parenté, alors pas de lien d'alliance. En revanche ce qui

POMART-NOMDEDEO SEANCE 3 – LE DIVORCE (I°) Les étudiants voudront bien commenter l’arrêt ci-dessous : Cette décision pourra déboucher sur une réflexion autour des modes de preuve admis dans une procédure de divorce. Chambre civile 1 – 17 juin 2007 N° de pourvoi : 07-21.796 REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS   Sur le moyen unique : Vu les articles 259 et 259-1 du code civil ; Attendu qu'en matière de divorce, la preuve se fait par

de la famille, droit et devoirs des époux durant le mariage, Droit des parents à l’égare de leurs enfants Conditions de dislocation de la famille Quand est-ce que la famille prend fin – les évènement qui terminent la famille : Le décès Le divorce La famille réfère a quoi ? Différentes définitions de la famille, multiples visages d’une famille La famille est rendu plus complexe On connaît deux définition de la famille : La famille SOUCHE Ensemble des parents qui sont issus d’un ancêtre

sanctionné quand il était commis par la femme. La loi du 11 juillet 1975 a supprimé toute sanction pénale mais l’adultère est une cause facultative de divorce, le juge ayant un pouvoir d’appréciation dans le prononcé du divorce. Il faudra que l’adultère réunisse les caractères de la faute au sens de l’article 242 du code civil pour que le divorce soit prononcé. L’adultère peut également engager la responsabilité délictuelle de l’époux infidèle ainsi que celle de son complice. Dans ce cas, l’époux

matrimoniaux ; 1987 : autorité parentale conjointe ; 1993 : adaptation de l’autorité parentale pour les couples mariés aux couples non mariés ; 1996 : adoption ; 1999 : le pacte civil de solidarité, 2000 : la prestation compensatoire ; 2004 : le divorce …) et il faut de plus ajouter à ces textes les conventions internationales et le droit européen. La famille et ses institutions sont en perpétuelle transformation, néanmoins depuis une quarantaine d’années, une accélération se ressent dans

:Marie Grenier SEANCE N° - FIIANÇAIILLES ET NULLIITE EANCE N F ANÇA LLES ET NULL TE SOMMAIIRE OMMA RE I. CAS PRATIQUE 2 3 3 4 5 5 5 II. CORRECTION A. B. a. b. LA RUPTURE DES FIANÇAILLES LE SORT DES CADEAUX C. L’INCAPACITE A PROCREER le divorce pour faute la nullité Date de création du document : année universitaire 2007/08 Consultez les autres fiches sur le site de la FDV : www.facdedroit-lyon3.com 2 I. Cas pratique Madame Misère est une veuve fortunée. Elle a pour seule famille