Conséquences Négatives De La Révolution Industrielle

du siècle, les gaz à effets de serre commencent à faire sentir leurs effets sur le réchauffement climatique. L'activité économique est aujourd'hui une menace pour l'équilibre naturel de la planète. La recherche de la croissance économique a des conséquences visibles, pour certaines prévisibles, sur l'environnement écologique et sur les conditions de vie des habitants actuels de la Terre dont certains vivent dans l'extrême pauvreté, mais aussi, à plus long terme, sur celles des générations futures

Au XIXème siècle, la révolution industrielle qui a favorisé le développement des usines dans les périphéries des villes a eu de nombreuses conséquences sociales ou la protection sociale n’était pas prioritaire ; l’exploitation des enfants vu comme une main d’œuvre facile à cette époque a fait réagir certains poètes. Victor Hugo ; un auteur romantique du XIXème siècle, a lutté toute sa vie contre toutes les formes d’injustices sociales et s’est préoccupé du sort des misérables qui feront

mondialisation est jours. Cette industrialisation p a s s e p a r t r o i s g r a n d e s dominée tour à tour par des révolutions industrielles. (voir é co n o m i e s - m o n d e s co n ce p t utilisé par l’historien Fernand chronologie) Braudel c’est une partie de la planète économiquement Cette croissance plus rapide autonome et qui domine le que celle de l’ère post industrielle monde à partir d’une ville : le n’est pas régulière et connaît des RU les EU et enfin un monde c r i s e s e t d e s é

La masse est une notion très difficilement cernable, en effet elle s’oppose à l’individu car c’est par essence un grand nombre de personnes : une majorité, et porte aussi une très grosse connotation négative car elle s’oppose à l’élite et est définie comme le commun des hommes. Définir le XIXème siècle comme étant l’ère des masses, c’est le considérer comme une coupure majeure dans l’histoire de l’Humanité, en effet c’est le définir comme le siècle ou après une longue période de soumission à l’élite

de « production » entre dans le langage au Moyen Age au sujet des œuvres d'art1. Ce n'est qu'avec les débuts de l’ère industriel qu'il entre dans le discours sur l'économie. On retrouve cette multiplicité de sens, par exemple, dans l’industrie cinématographique où l'on parle du « producteur d'une super-production » pour désigner celui qui fabrique cette œuvre du septième art de manière industrielle et à des fins commerciales. On étudie la production selon les méthodes, les lieux et les marchés. On compare

développe et attire une proportion de plus en plus large des ressources productives. C’est la phase de la révolution industrielle ou "décollage" (take-off). Cette phase s’étend sur plusieurs décennies. Pour la Grande-Bretagne, elle se situe, selon les auteurs, de 1770 à 1870 (Abbott P. Usher) ou de 1760 à 1830 (T. S. Ashton). En France on peut la situer entre la Restauration (1814) et la Révolution de 1848 (ou la guerre de 1870). Le rythme de la croissance, après ce premier épisode, correspond au taux

importante des français de l’époque face à cette forte croissance : l’apparition du thème de la « croissance zéro » et surtout la crise sociale de mai 1968 en constituent autant d’exemples. On prend alors conscience des coûts (ou des externalités négatives) liés à la croissance, qui rend nécessaire la distinction entre la croissance de la richesse et le bien-être. Comment expliquer cette insatisfaction ? On présentera d’abord les déséquilibres constatés, tant au niveau géographique que sectoriel (I)

pourcentage, du P.I.B. De la croissance extensive à la croissance intensive: Avant 1820, la croissance aurait été de 0,2% par an. Cette croissance était, par définition, due à l'augmentation quantitative des facteurs de production. A partir de la Révolution agricole et de la R.I, la croissance s'accélére dans certains pays parce qu'elle devient intensive, c'est à dire qu'elle résulte de l'augmentation de la productivité du travail et du capital, un phénomène particulièrement marqué dans certaine srégions

sont ce qu'on appelle des crises préindustrielles, ce sont des crises de sous production agricole. La plupart du temps, elles sont liées à des accidents climatiques. La production agricole occupe une place essentielle, ce qui provoque de lourdes conséquences, comme la disette. Si il y a disette, il y a donc une hausse du prix du pain, car le pain est la base de l'alimentation, les familles sont donc obligés de consacrer l'essentiel de leur budget pour la consommation de pain, par manque de produits

maintenant les périphéries et les banlieues sont de plus en plus éloignées des agglomérations et le taux de périurbanisation augmente. A présent les villes dominent et structurent des espaces proches ce qui créent des nœuds de communication. Les conséquences du développement urbain dans les villes du nord sont diverses et variées. Les villes doivent faire face à : des défis environnementaux comme la pollution atmosphérique causée par l’augmentation de la circulation automobile elle-même causée par