Conte Philosophique Pour Défendre Ses Idées

portée génerale. c) La fiction : l’éloignement dans l’espace et le temps Dans un conte philosophique, une fable, ou même un roman, les auteurs se servent d’un récit pour appuyer leurs idées et l’argumentation est en partie implicite : ils utilisent l’argumentation indirecte. Ils visent en effet à convaincre et persuader le lecteur indirectement, par un récit fictionnel arrangé, ordonné, destiné à présenter des idées, des valeurs symboliques. Permet de prendre du recul sur la société dans laquelle

la nouvelle, par sa durée prolongée dans le temps ou par le fait que, même dans un récit assez court, nous avons une vue de la psychologie totale des personnages; b) du conte, par le fait qu'il donne l'existence aux choses et aux êtres qu'il décrit, sans les considérer comme des inventions merveilleuses ou des symboles philosophiques. Oeuvre d'imagination en prose, assez longue, qui présente et fait vivre des personnages donnés comme réels, dont elle raconte leurs histoire, aventures, psychologies

Enfin, si l’argumentation a bien été réalisée, celui qui n’était pas d’accord au début le sera devenu. On peut avoir recourt à l’argumentation pour se mettre en valeur (ex : demande d’emploi), défendre nos idées (ex : politicien), juger quelqu’un ou quelque chose (ex : procès), défendre une vérité (ex : les droits de l’Homme, l’abolition de la peine de mort), contredire un autre point de vue, … L’argumentation peut être directe (explicite) ou indirecte (implicite). Dans la

ouvrage, son libraire déclare qu'il « vaut mieux que Candide en ce qu'il est infiniment plus vraisemblable ». La force de l'ouvrage ne vient pas seulement de cette vraisemblance, mais aussi de la mixité des formes et des thèmes. Il est à la fois conte philosophique, apologue, satire et roman, et vient critiquer les doctrines des jansénistes et des jésuites, ainsi que l'empire de la religion, des conventions sociales et de la hiérarchie qui s'organise autour du pouvoir, entre autres thèmes. Le titre

français : Zadig, de Voltaire La vie de Voltaire : Voltaire, de son vrai nom François-Marie Arouet est né à Paris en 1694. Il prend le nom de Voltaire en baignant dans un milieu bourgeois, à ses 24 ans, suite au succès de sa première tragédie philosophique, Œdipe. C’est chez les jésuites qu’il reçoit une solide éducation littéraire. Il se fait connaître pour divertir la haute société de son esprit mordant et abandonne vite ses études pour se consacrer pleinement à la littérature. C’est grâce au succès

sociétés sorties de leur imagination : ce qui correspond d’ailleurs à la définition même de la fiction. Mais les fictions remplissent-elles bien le rôle attendu par les auteurs auprès des lecteurs ? Ont-ils intérêt à l’utiliser pour soutenir leurs idées ? Je vais tout d’abord démontrer que le fiction est une forme de liberté pour l’auteur, puis que pour le lecteur elle possède une certaine force de persuasion et enfin que ce genre littéraire comporte toutefois des limites dans l’art d’argumenter

Micromégas : notes de lecture de l’édition Pocket Micromégas + Ingénu = 2 étrangers curieux ; « débarquent » d’1 autre planète ou continent lointain. Altérité et relativité (> critique politique et philosophique). Micromégas : Entre allégorie et parabole, publié en 1752 mais date de 1739 = bilan de toutes les lectures faites par Voltaire à l’époque) 2 adj grecs : petit et grand => tout est relatif ; tout géant qu’il soit, il n’est qu’un nain pour les habitants d’autres planètes. Leçon de

également à l'économie de s'épanouir. «  Le commerce, qui a enrichi les citoyens en Angleterre, a contribué à les rendre libres, et cette liberté a étendu le commerce à son tour ; de là s'est formée la grandeur de l'Etat. » Voltaire, Lettres philosophiques, 1734 1721 Comment peut-on être Persan ? Choc des cultures et critiques de la société ainsi que de la monarchie française par Montesquieu qui utilise le genre épistolaires dans Les lettre persanes, 1721. Dessin de Watteau croquant un persan

Le conte fait passer le précepte avec lui…. » affirme La Fontaine dans « le Lion et le Chasseur »Fables VI, 2. Pensez vous que l’apologue soit la forme d’argumentation la plus efficace pour faire adhérer autrui à nos thèses ? Pour argumenter de nombreux auteurs ont eut recourt à la fiction. C’est le cas notamment du fabuliste Jean de La Fontaine qui l’explicita dans sa fable « Le Lion et le chasseur » en affirmant « Une morale nue apporte de l’ennui/Le conte fait passer

confiance est du même avis : invoquer des travaux scientifiques, citer une personnalité célèbre. L argument hominem : argument qui consiste à s en prendre, non aux idées de l adversaire, ad mais à sa personne même, en la discréditant. Ridiculiser l adversaire constitue un argument ad hominem. 6) Le paradoxe C est une thèse contraire aux idées courantes. Parce qu il est original, le paradoxe a une force de séduction que n a pas le lieu commun et frappe davantage l imagination. Ex : Ce qu il y a de plus