Conte Plaisant

L'ingénu (1767) Un conte philosophique est une histoire courte et plaisante) mais qui donne à réfléchir sur la société et les hommes. Au 18ème siècle, une forte censure s'exerçait en effet sur les oeuvres littéraires. Pour pouvoir critiquer la société en place, le pouvoir, la justice, les défauts des hommes, etc, les auteurs philosophes maquillaient donc leurs idées derrière la forme du conte. L’auteur à qui l’on doit l’émergence du genre est incontestablement Voltaire. Le conte philosophique appartient

moralité est explicitement formulée. II n’en va pas toujours de même dans les genres narratifs proches de l’apologue : la fable, l’exemplum, le conte (en particulier philosophique). Chez La Fontaine, comme chez ses prédécesseurs, la fable est un récit fictionnel court qui use parfois du merveilleux (d’où l’adjectif « fabuleux »). Le récit, sorte de mini conte, suit souvent le schéma narratif du genre : situation initiale perturbée par un événement déclenchant une mise en route, péripéties formatrices

inconditionnelle, au-delà des épreuves de la vie, ne connait ni jalousie ni colère. Pourtant leurs action sont condamnable, Félix est contrebandier, Olivier pour venir en aide à son amis frappe un juge, de plus le représentant de l’Eglise dans ce conte les condamne violement. Mais la morale est ainsi « concluez qu’en général il ne peut guère y avoir d’amitiés entières et solides qu’entre des hommes qui n’ont rien », Diderot prouve ici que la naissance (dans le sens social) ne détermine pas la vertu

seulement les écrivains, en suggérant plus qu'en affirmant, poussent le lecteur à forger son esprit critique, mais ils se protègent surtout de la censure. Si la finalité principale de l'apologue est didactique, la critique s'exprime, dans la fable ou le conte philosophique, à travers les registre polémique, comique et satirique, et notamment grâce aux procédés d'ironie . C’est ainsi que Jean de la Fontaine demeurait capable de faire entendre ses idées durant un contexte difficile à l'aide de ses fables

d'un conte philosophique. Des éléments merveilleux sont ajoutés à d'autres, réalistes. Une dénonciation d'un état de fait sert de moteur à l'écriture. Enfin, cette légende est présentée comme « vraie », comme souvent dans les contes philosophiques. II- Sujets : Commentaire : Voici un plan possible : 1) Les ravages de l'amour - Une femme oiseau - L'extrême générosité d'un homme - Les conséquences sur la vie 2) Les indices du conte philosophique

"I) Un récit plaisant (on s’attachera à l’analyse des procédés repris du conte traditionnel merveilleux, et plus généralement à tous les procédés destinés à séduire le lecteur) a) une structure narrative très simple - schéma narratif très simple qui s’apparente à celui des contes : situation initiale, situation finale, péripéties : la trame est très épurée = un dervis quitte sa solitude pour entreprendre un pèlerinage à la Mecque - situation initiale heureuse : notez le champ lexical de la

mise en place dans ces deux textes. Introduction : Le corpus est composé de deux textes : l’article « Paix » issu de l’Encyclopédie et rédigé par Denis Diderot sous la forme d’un essai entre 1751 et 1772 et un extrait de Candide ou l’Optimisme, conte philosophique écrit par Voltaire en 1759. Ces deux textes illustrent l’objet d’étude « convaincre, persuader, délibérer » et nous nous demanderons quel aspect argumentatif illustre chacun de ces texte. En effet, si « convaincre » fait appel à la raison

« récit ». Soit par définition c’est un récit bref et plaisant en prose ou en vers, porteur d’un enseignement à visée didactique et d’une morale. Il est souvent dit synonyme de fable, certes mais pas seulement. L’apologue est un sous-genre argumentatif, qui lui-même englobe plusieurs catégories de récit pédagogique à des fins morales, mais parfois politiques ou religieuses. Comme par exemple l’utopie, contre utopie, fable, parabole, conte philosophique, conte merveilleux ou fantastique et certains mythes

Candide, un conte traditionnel, un conte philosophique. Voltaire est un des grands hommes du mouvement des Lumières, il dénoncera sans relâche et en utilisant différents genres, les injustices, les inégalités et l’intolérance. Il écrira des contes philosophiques, comme Candide et Micromégas, mais aussi des traités, des essais, des lettres ainsi que des articles de l’Encyclopédie. Candide est donc un conte philosophique, une des formes possibles de l’apologue, qui se doit d’être un récit divertissant

Question de corpus n°1 Les auteurs de ces 3 textes critiquent les superstitions : s’y prennent-ils de la même façon ? Qu’il s’agisse d’un roman, parodie d’épopée comme « Gargantua » de Rabelais, du fameux conte philosophique « Zadig » de Voltaire ou de la pièce de théâtre satirique de Fontenelle, ces trois textes, de dates différentes, critiquent et ridiculisent les superstitions de l’époque. Il s’agira de comprendre quelles méthodes, quels procédés