Contracyclique

sur le noyau dur) ; – l’instauration de deux nouveaux ratios de liquidité : le LCR (liquidity coverage ratio) et le NSFR (net stable funding ratio) ; – l’introduction d’un ratio traitant de l’effet de levier ; – la mise en œuvre de « coussins contracycliques ». Des fonds propres plus importants et plus sélectifs Bâle III a pour but d’améliorer la qualité du noyau dur des fonds propres et d’augmenter leur montant total. Concernant les exigences en capital, trois ratios sont à considérer (Rizwan, Khan

d'être guidée par cette préoccupation dans un contexte de liquidités relativement abondantes et de croissance rapide des prix des actifs financiers et des prix de l'immobilier. - en matière de croissance et d'emploi, la BCE a mené une politique contracyclique qui a contribué à stabiliser l'activité dans la zone euro, alors que les politiques budgétaires nationales des Etats membres ne remplissent pas correctement cette mission. Depuis la création de la BCE, le nombre d'emplois dans la zone euro s'est

parle à ce propos de Policy Mix. Dans l'optique keynésienne, la politique monétaire relève d'interventions discrétionnaires. Il s'agit en fonction des situations de pouvoir discrétionnairement augmenter ou diminuer les taux d'intérêt de façon contracyclique. 2) L'efficacité des politiques monétaires est contestée par les monétaristes et les nouveaux classiques : Trois critiques à l'égard des politiques monétaires conjoncturelles : - La politique monétaire expansive se traduit par une accélération

Mais 2002 : Farm Security Act : 3 types d’aides directes * marketing loans : prêts de commercialisat° : prix plancher, peuvent vendre bas * direct payments : paiements directs, versés par hectare * deficiency payments : paiements contracycliques : niveau de revenu/hectare - PED : * contrôles des échanges : taxes sur produits exportés (++cultures vivrières), taxes importations * politiques de prix, d’aides : prix planchers, aides à conso., subvent° pr engrais * conquête de

générale du capital. 5 5. Questions à débattre 5.1 Faudrait-il réviser à la hausse sur le court terme les objectifs budgétaires utilisés dans le cadre des accords de prêt/d’assistance pour permettre aux pays de pourvoir à l’incitation contracyclique de la demande ? Si oui, dans quelle proportion et pour combien de temps ? 5.2 Des pays courent-ils des risques d’insolvabilité sur leur dette extérieure, dus à la baisse de leurs recettes d’exportation et de leurs réserves de change ? 5.3 Quelles

long terme, ce que ne permettent pas les recommandations monétaristes, et que la monétisation des déficits budgétaires est à long terme anti-inflationniste. De surcroît, une telle règle de financement monétaire accroît considérablement le pouvoir contracyclique de la politique monétaire : lors d'une récession, le déficit budgétaire se gonfle par le jeu des stabilisateurs automatiques, et la création monétaire s'accroît spontanément. L'efficacité de la politique monétaire devient même redoutable, puisqu'un

de la Terre. En effet, la question est bien là : les fonds ISR sont-ils plus rentables ? Si tel était le cas, on comprendrait sans doute mieux l’engouement qu’ils suscitent. Des études sérieuses montrent cependant que si les ISR ne sont ni contracycliques ni créateurs de sur-performance financière, il existe de vraies opportunités financières à condition que l’investisseur ait choisi ce type d’investissement pour des raisons hors financières, c’est-à-dire pour l’ensemble des valeurs sociales ou

conséquent confié la mise en oeuvre de la politique monétaire à une banque centrale. Cependant, une politique monétaire et de change indépendante s’avère extrêmement utile pour promouvoir des politiques de stabilisation macroéconomique contracycliques. Je considère ainsi un modèle standard de petite économie ouverte en change fixe, afin d’étudier les dévaluations fiscales optimales en union monétaire. Les seules outils budgétaires disponibles sont la taxe sur la valeur ajoutée (TVA)

contraction des dépenses publiques (politique de d’austérité ou de rigueur). On cherche ainsi à stabiliser l’économie en contrant le cycle économique, lorsque l’économie se trouve en surchauffe ou au contraire en récession, d’où le nom de politiques contracycliques ou politiques conjoncturelles, de court terme. Pour mener à bien ces politiques budgétaires, l’Etat peut jouer sur ses dépenses, il choisira alors selon la directive adoptée d’augmenter ou de réduire les dépenses, mais il peut aussi jouer sur

applicables et qui sont plutôt flexibles quant à l’application sont arrivés à la conclusion que le hard law fonctionne bien dans le domaine de la contracyclicité. Brunnermeier et col. (2009) soutiennent que l’exigence de fonds propres devrait être contracyclique pour s’assurer que les banques placent de coté une quantité croissante de capital dans une période d’expansion, lorsque les indicateurs du risque potentiel suggèrent aux banques la capacité de prêter plus. Ces fonds propres peuvent ensuite être