Contrainte Des Didascalies

d’expression (ici : la critique orale) C2 : (pour le 3e niveau) : rédiger et dire un texte d’expression personnelle (adaptation d’une scène de théâtre) en sollicitant son imagination, en développant sa créativité verbale tout en respectant certaines contraintes langagières. Première et deuxième heure : Qu’est-ce que le théâtre ? Je vais distribuer aux élèves le texte ci-dessous. Ils vont devoir me dire de quoi il s’agit (d’un texte de théâtre) et à quoi ils reconnaissent que c’est une pièce de théâtre

discours. Ici on voit une réelle complaisance de Sganarelle pour son maitre : Don Juan va-t-il nous révéler le fond de son âme ? Sganarelle va-t-il réussir à nous dévoiler l’âme de son maitre ? C’est une scène originale car ici il y beaucoup de didascalies (concernant les vêtements). Les personnages sont déguisés et ont inversé leurs vêtements. C’est le théâtre dans le théâtre. Cette mise en abyme du costume va expliquer l’audace de Sganarelle : il parle librement : « cet habit me donne de l’esprit »l27

 ACTE I scène 1 Didascalies : des descriptions et précisions exhaustives (tout détail, il ne manque rien) pièce encrée dans l'histoire (très réaliste grâce aux précisions), détails historiques (théâtre de Bourgogne, date de 1640, référence à l'ordonnancement du théâtre : par terre pour le peuple et noble sur la scène (la répartition). Rostand voudrait accréditer sa scène, la rendre la plus vraisemblable possible. Il met l'accent sur l'espace et la lumière. Mise en abîmes. Scène 1

fait passer de Saragosse aux montagnes d’Aragon, à Aix-la-chapelle. Le décor, contrairement à la tragédie classique, n’est pas neutre, il influe sur l’action à l’exemple du portrait de don Ruy Gomes qui sert de cachette à Hernani. Face aux minimes didascalies qui décrivent le palais de Pyrrhus dans Andromaque , les lieux sont précisément dépeints en tête de chaque acte. Le spectateur est emporté dans un véritable voyage qui fait imploser l’unité de lieu, précisément parce qu’il

révèle donc fort susceptible : la remarque du metteur en scène qui est adressée au comédien pour qu’il fasse émerger le personnage, est prise par lui comme une critique de lui-même en tant que personne, comme nous le montre Hortensia avec la didascalie « se pique soudain » : « si vous pensez que je ne peux tenir le rôle […] » (l.  32). Ceci traduit l’idée que le comédien en paraissant sur scène, est d’emblée le personnage. Hortensia nie la valeur du travail nécessaire à l’émergence du personnage

style adaptés), il doit convaincre et séduire votre lecteur… C'est dire si la langue doit être irréprochable.   les critères d'évaluation de votre texte            • prise en compte des caractéristiques du texte-support          • respect des contraintes formelles fixées par la consigne          • richesse de l'invention et de l'expression (imagination et style…)          • précision et rigueur de l'expression (vocabulaire et langue…)     les  4  étapes  du  sujet d'invention  :   1°)   s'inspirer

dans la forme de ses phrases « je ne t’aimais pas moins ». Elle lui demande de la tuer car elle sait que ce qu’elle vient de dire est impardonnable et se sentira libérer par la mort. Elle provoque Hippolyte par l’aveu de son amour afin qu’il sois contraint de la tuer. 7. Montrez que cette tirade permet aussi à Phèdre de laisser parler son cœur, laissant ainsi s'exprimer toute la violence de sa passion (la "fureur"). Prenez appui sur des procédés précis. Elle utilise des hyperbole : « odieuse »

*Sa souffrance est telle qu’on assiste à une inversion des rôles : -Vers 574 : c’est Agnès qui donne des ordres (impératif « jurez »). -Elle lui répond fermement : « Si fait », « Si » (vers 574 et 575). -Pour obtenir l’aveu, Arnolphe est contraint d’insister et de se répéter : « non, non, non et non. » Il va même jusqu’à jurer : « diantre »  au vers 576 (interjection qui évoque le diable). -Evocation de l’enfer : « diantre » (576) et « je souffre en damné » (577) : nous verrons plus en avant

de plusieurs genres littéraires ( le dadaïsme, le surréalisme...) Le Dadaïsme est un mouvement intellectuel, littéraire et artistique qui, pendant la Première Guerre mondiale, se caractérisa par une remise en cause, de toutes les conventions et contraintes idéologiques, esthétiques et politiques. Il traite de l'absurdité de l'homme et de la vie. Il prend place à la chute de l'humanisme et est radicalement opposé au réalisme. Littérature La littérature de l'absurde illustre le désarroi de

sont   immédiatement   déterminées  :   Britannicus   évoque   l’Antiquité   romaine   ainsi   que  l’indique  la  didascalie  initiale  «  La  scène  est  à  Rome,  dans  une  chambre  du   palais  de  Néron  »  (on  peut  voir  que  les  contraintes  de  mise  en  scène  sont  prises   en  compte  grâce  à  l’évocation  de  cette  chambre  particulière