Contrainte Liberté Penser

vues par les uns, comme des contraintes imposées à l’homme qui viennent porter atteinte à sa liberté. C’est le cas des anarchistes, comme Bakounine, pour qui « Là où commence l’Etat la liberté cesse et vice-versa ». Mais elles sont vues par les autres, comme ce qui permet de garantir au sein d’une société ordre et coexistence des libertés. Mais il faut bien avouer que même dans ce cas, on reconnaît que si la liberté est certes garantie par les lois, ce n’est qu’une liberté partielle et limitée par

Il est vrai qu'il est parfois nécessaire d'exercer une contrainte sur les personnes qui refusent de respecter la loi, en les mettant en prison par exemple, dans le cas de délits graves ou de crimes. Mais il faut alors reconnaître que c'est pour protéger la société, et non pour rendre ces personnes libres qu'on en use de la sorte. Rendre quelqu'un libre, c'est nécessairement faire appel à sa liberté, en exerçant par exemple sa liberté de penser. Ainsi dans Alcibiade, Platon met en scène Socrate et

est-il pour l'homme un obstacle à la liberté? Résumé: Se demander si le travail est pour l'homme un obstacle à la liberté, c'est s'interroger sur ce qui, dans le travail, pourrait être de nature à nous empêcher de nous réaliser. A priori, le travail est activité spécifiquement humaine, en ce qu'il nous détache du monde de la nécessité naturelle. Dans la mesure où il est effort de transformation de la nature (la nature extérieure et la nôtre), on pourrait donc penser que notre libération passe par lui

Nous sommes souvent amener à penser que la liberté se retrouverait dans l'absence de règles, l'absence d'autorité, autrement dit, dans l'absence d'ordres, de limites. Mais cela sans penser que nous serions alors plus en démocratie mais en situation d'anarchie, ce qui implique naturellement une instauration de la "loi du plus fort" (qui n'est en réalité, bien sûr, pas une loi en soi). C'est donc pourquoi dans cet extrait de Propos d'un Normand, Alain s'est interrogé sur les vertus du citoyen. La démocratie

histoire de comportement. De ce fait peut-on dire que qu'être homme ou femme est une liberté ou bien au contraire une contrainte? Ou en allant plus loin dans notre raisonnement est-ce que la simple question de genre est suffisante pour traiter des genres tant masculins que féminin? Si la liberté peut se définir d''un point de vue positif comme un comportement humain volontaire et qui constitue sa condition, la contrainte à l'inverse désignerai la force ou coercition extérieure qui empêche l'action volontaire

ce qui différencie l'homme de l'animal c'est que l'homme, lui, a la liberté de choisir, c'est le principe même du libre arbitre. Mais toutes ces notions on été inculquer chez l'homme par un maître. Il en existe deux formes, celui qui soumis sont disciple parce qu'il croit détenir le droit de le priver de liberté, en le réduisant à l'esclavage le privant alors de toute forme de liberté, aussi bien d'exprimer ces idées donc de penser que de le priver de faire quelque chose donc d'agir. Il y a aussi

dessus sur la seule chose qui fait de lui un être humain, sa raison. Mais est-ce vraiment la raison qui fait la nature d’un être humain? Selon Descartes oui, car pour lui l’être humain est une «substance dont toute l’essence ou la nature n’est que de penser» Or cette thèse n’est pas la réponse de tous les philosophes. Dans ce texte, je décrirais la conception de l’être humain selon deux philosophes Descartes et Rousseau, pour ensuite donner mon point de vue. Avant même de commencer de parler de leur

MAURIN T-ES°2 MORGAN 10/12/2010 Dissertation de philosophie Le travail n'est-il qu'une contrainte? Dans se sujet qui est « Le travail n'est-il qu'une contrainte? » ce pose le problème de savoir si le travail n'est juste une contrainte ou au contraire si il n'est pas exclusivement une contrainte. Selon Marx, le travail est une activité par laquelle l’homme agirait sur un objet au moyen de son corps ou par l’intermédiaire d’outils qu’il aurait lui-même conçus. Même si cette définition

A certaines périodes de l'histoire, plus rarement aujourd'hui, des hommes se sont cru le droit d'aliéner la liberté d'autrui, en achetant ou en vendant d'autres hommes comme esclaves. Une telle pratique consiste à faire de l'autre sa propriété, comme s'il était une simple marchandise. Cela revient à le dépouiller de son humanité si, comme le dit Rousseau, "renoncer à sa liberté, c'est renoncer à sa qualité d'homme". Il y eut même des philosophes, comme Aristote, pour justifier l'esclavage en expliquant

tuteurs. Il est si commode d’être mineur! J’ai un livre qui a de l’esprit pour moi, un directeur qui a de la conscience pour moi, un médecin qui juge pour moi du régime qui me convient, etc…: pourquoi me donnerais-je de la peine? Je n’ai pas besoin de penser, pourvu que je puisse payer; d’autres se chargeront pour moi de cette ennuyeuse occupation. Que la plus grande partie des hommes tienne pour difficile, même pour dangereuse, le passage de la minorité à la majorité, c’est à quoi visent surtout ces