Contraste De Couleur

juste l'impression visuelle, telle que Claude Monet le ressentait, c'est à dire peindre de petites touches de couleurs de façon à ce que les détails soient pratiquement inexistants : les tracés flous, les objets devinés et pas clairement représentés, les traits des visages non visibles, les vêtements non détaillés, tout est fluide. Dans ce tableau, on devine les coquelicots par leur couleur rouge mais pas par leur forme. Les arbres nous apparaissent au loin flous, on ne distingue aucune branche, aucune

visions angoissantes, qui déforment et stylisent les traits du visage comme le costume pour atteindre la plus grande intensité expressive. II. Analyse de l’œuvre Selbstbilnis als Schießscheibe (Autoportrait en cible) En somme, tout est contraste, exagération sans nuance, sans sentiment, le portrait présente un visage impersonnel. a. La description Composition : le buste d’un soldat en uniforme allemand, le visage sans expression et les yeux attirent le regard du spectateur. De même

rouges au côté droit. Axe 1 : Un tableau du val à la fois réaliste et poétique 1) Un paysage tableau - Dimension visuelle (Présentatif du vers 1 à 4). - Paysage naturel (champ lexical) - Beaucoup de couleurs (vert domine, et un peu de bleu) : couleurs froides, idées de calme - Présence de lumière (soleil, rayons, lumière pleut) Cela rappelle l’impressionnisme : Mouvement du XIXème siècle dont les artistes préfèrent représenter leurs impressions plutôt que la réalité

Le mur est en contraste avec Ruby, car il est sale et craquelé tandis que Ruby est propre et bien habillée. La ligne symbolise le franchissement d'une étape pour les E.-U. Et pour Ruby. Contexte historique Cette peinture illustre un article publié dans le magazine Look sur ‘the white flight’, en fait, à cette époque, la population blanche fuit les centres villes entre autre par crainte des manifestations (combat pour les droits civiques) et déménagent vers des quartiers résidentiels excentrés

artistique du cubisme qui a été développé entre 1908 et 1912. Le cubisme analytique « analyse » la forme naturelle et la réduit en de simples parties géométriques sur deux dimensions. La couleur est presque inexistante, sauf pour l'usage de teintes monochromatiques de gris, bleu et ocre. Au lieu de mettre l'accent sur la couleur, Le cubisme analytique est porté sur les formes comme le cylindre, la sphère et le cône afin de représenter le monde naturel. Au cours de ce mouvement, les œuvres produites par Pablo

éclairée par le jais de lumière avec celle assise au niveau des marches puis en la comparant avec les dames de la noblesse et enfin avec Arachné). Bien que la ligne d’horizon se situe au niveau des marches, une sorte de frontière symbolisant le contraste entre l’obscurité de l’atelier de filage et la luminosité qui inonde le salon occupée par les trois dames, le point de fuite principal se situerai au niveau du visage d’Arachné car de nombreuses lignes de perspectives nous y mène comme pour montrer

absente. Lignes, couleurs et matières trouvent en elles-mêmes leur propre raison d’être. Académisme : Production d’œuvres à partir de règles transmises et avec une garantie d’obtention d’effets qu’on qualifie à juste titre d’ « attendus ». Accumulation : Assemblage de matériaux ou d’objets en grands nombre afin de prendre le sens ou la forme de l’objet unique… Voir Armand (sculpteur). Aplat : Passage régulier (sans effet de matière) d’une couleur sur une surface. Aquarelle : couleur étalée sur le

forts jeux de contrastes clairs obscurs, les ombres mettent en valeur par le biais d’une lumière latérale les détails des muscles, des visages ou encore des différents drapés. La lumière, choisie incisive, vient de la gauche comme un soleil couchant pourtant encore puissant. On remarque aussi un contraste de qualité entre les couleurs plus saturées liées aux hommes ( ex : rouge ), et les plus fades des femmes ( ex: terre de sienne). Cette exclusion d’un groupe par le biais d’un contraste vives/pastels

purePassage du poème correspondantlignes obliques ( indiquent la profondeur et l’éloignement, divisant ce qui est vu en premier plan et en arrière-plan) diagonales séparant des zones d’opposition les courbes (marquant l’absence de rupture, des contrastes moins nets)Au premier plan femme qui se recoiffe, un homme en armure inanimé, au milieu de la végétation et des coquelicots. Montagne en arrière-plan et fleuve La végétation en bas, représentant la vie, et la montagne en haut, représentant la

pluie », « tourbe », « neige » et « horizons plombés » esquissent un paysage décoloré, tout en grisaille, placé sous les signes conjoints du poids et du froid mortifères. Même « l’air bleui » n’apporte nul allègement véritable ni nulle touche de couleur claquante. Dans la proximité du verbe « grelotte », la nuance bleutée évoque le pouvoir meurtrier du gel, le sang figé, la respiration coupée, la lividité cadavérique. Tout reste d’une accablante monotonie. Tout semble peser sur la conscience percevante