Contrat de désendettement et de développement

GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT COTE D’IVOIRE Document de Stratégie Pays 2013-2017 Département Régional Ouest – ORWA Octobre 2013 ii TABLE DES MATIÈRES I. INTRODUCTION ................................................................................................................ 1 II. CONTEXTE DU PAYS ET PERSPECTIVES .................................................................. 1 2.1 Contexte politique, économique et social ..........................................

diverses problématiques de financement6, et plus particulièrement ceux d’entre eux consacrés au tissu productif national et à l’investissement. La réflexion de la Cour s’inscrit dans un contexte où, après une brève accalmie début 2011, de nouveaux développements de la crise ont particulièrement touché les établissements financiers, les Etats et plus généralement les économies de la zone euro. Elle s’appuie sur les données disponibles et les événements intervenus avant la fin du premier semestre 2012,

1.1.1. Les prémices de la crise Dans les années qui précèdent le krach de 29, on observe une forte augmentation de la production industrielle : l’indice aux Etats-Unis passe ainsi de 100 en 1920 à 150 en 1929. Cette croissance s’accompagne du développement d’une bulle spéculative témoignant de la confiance des investisseurs dans les fondamentaux de l’économie. Dans un contexte boursier très haussier, de plus en plus d’américains placent une part croissante de leur Epargne sur les marchés financiers

complexe entre diverses parties prenantes. La théorie financière moderne présente l’organisation économique comme un nœud de contrats entre ayants droit. Ces contrats ont pour objet le contrôle des ressources mises en œuvre et surtout la répartition de la richesse créée. Les parties prenantes, au premier rang desquels figurent les actionnaires et les prêteurs, ont par contrat des droits reconnus sur cette richesse. L’analyse financière de l’entreprise est donc l’analyse financière que ces parties prenantes

Mobilisation du potentiel humain .. 15 16 17 19 19 19 20 21 4.1 L édification de l économie nationale . 4.2 Des performances en demi-teinte . 4.3 Une volonté d accélération de la croissance, mais qui tarde à porter ses fruits .. 5. Cadre de vie et développement du potentiel physique 5.1. L eau 5.2. L énergie 5.3. La terre, la forêt et autres ressources 5.4. Cadre de vie et aménagement de l espace 6. L avenir en confiance ... . . 21 21 22 23 24 24 26 31 35 ... 6.1. Le Maroc de 2005, espace de

tirant toutes les conséquences des droits et obligations issus des accords ou des contrats, sans s’attacher à la forme juridique apparente. L’exemple fréquemment cité pour illustrer cette notion est le crédit bail. Il constitue sur le plan juridique, un contrat de location d’un bien mobilier ou immobilier pour une période déterminée avec une option de rachat à la fin du contrat et, pendant toute la durée du contrat, le bailleur reste propriétaire du bien. Or, pour le preneur du bien en crédit bail

politique économique dans le cadre du comité interministériel de l'outre-mer. La valorisation des atouts de la Martinique, la mise en exergue de ses avantages comparatifs et le développement des productions locales destinées à satisfaire les besoins de la population sont désormais au cœur du nouveau modèle de développement à construire. Dans le cadre de ses missions, l’IEDOM participera activement aux efforts déployés par les acteurs économiques pour permettre à l’économie martiniquaise de retrouver

dans un dialogue concret B2B, direct, franc et prospectif. Au cours dudit voyage d’affaires, les investisseurs privés venus de Suisse ont pu échanger avec les autorités camerounaises, et ont pareillement manifesté le désir de s’impliquer pour le développement de secteurs d’activité comme le génie civil, la banque, la finance, les équipements portuaires, l’éclairage ou encore la sécurité judiciaire. De son côté, le Cameroun, qui est un pays stable et aux institutions républicaines fortes, est un bon

rendre plus fiables. Les dirigeants peuvent donc utiliser certaines techniques afin d’améliorer la vision que proposera le bilan de leur entreprise :  Une des premières techniques d’habillage du bilan concerne les dépenses en recherche et développement. Dans les faits, ces dépenses sont assimilées à des charges. Pour une entreprise désirant améliorer son bilan, l’objectif est principalement de gonfler son résultat. Une des pratique qu’elle peut utiliser est donc de sortir ces dépenses de ses

complexe entre diverses parties prenantes. La théorie financière moderne présente l’organisation économique comme un nœud de contrats entre ayants droit. Ces contrats ont pour objet le contrôle des ressources mises en œuvre et surtout la répartition de la richesse créée. Les parties prenantes, au premier rang desquels figurent les actionnaires et les prêteurs, ont par contrat des droits reconnus sur cette richesse. L’analyse financière de l’entreprise est donc l’analyse financière que ces parties prenantes