Contrat urbain de cohésion sociale

territoires) réunissant DATAR, secrétariat général du comité interministériel des villes et Agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances met en avant la solidarité entre les territoires et une approche transversale des politiques sur les territoires. Les dispositifs contractuels demeurent les instruments indispensables pour mettre en œuvre et financer les projets : CPER (Contrats de projets État-Région) ou encore Fonds structurels pour les fonds européens. « Aménager les territoires, c'est

collectivités territoriales, les régions jouent un rôle-clé car ce sont elles qui coordonnent les aménagements entrepris aux échelons inférieurs et car c’est par elles que passent les subventions de l’Etat, négociées tous les sept ans dans le cadre des contrats de projets Etat-région. Les départements s’associent le plus souvent aux aménagements car une de leurs missions est de favoriser le développement économique sur leur territoire. Les communes sont à l’origine d’une multitude d’aménagements destinés

la même période, le rôle de l’Europe va devenir important. Aujourd’hui, l’aménagement des territoires évolue et se modernise : les institutions et les acteurs évoluent, la notion de compétitivité est au cœur de l’aménagement au même titre que la cohésion sans perdre de vue l’idée de développement durable qui reste transversale. Depuis les années 2000, le désengagement partiel de l’Etat a renforcé le rôle des acteurs locaux qui développent collectivement des politiques.

bilan de l'Observatoire national des zones urbaines sensibles  paru en 2008, les milliards injectés dans les banlieues ont eu des effets positifs. Si le taux de chômage des jeunes reste élevé dans les quartiers -deux fois plus qu'ailleurs- il a néanmoins baissé au fil des ans.   Dans les zones franches urbaines, l'activité économique a été stimulée par les exonérations fiscales. Mais chaque embrasement des banlieues rappelle l'ampleur des ségrégations sociales et ethniques qui persiste en France que

seraient définies comme « un ensemble plus ou moins cohérent de décisions et de mesures prises par les instances politiques légitimes, dont l’objectif, expressément défini, est d’apporter, par la mobilisation des institutions sécuritaires de régulation sociale et, le cas échéant, d’autres partenaires publics et privés, une réponse effective aux diverses formes d’insécurité induite par le phénomène délinquant »  [1] Analyser ou décrire les politiques publiques de sécurité, c’est donc observer l’État en action

L’autorité du préfet de région dans le pilotage des politiques publiques se traduit, en particulier, par son autorité hiérarchique sur le préfet de département au travers, notamment, d’un pouvoir d’évocation. Il sera ainsi le pilote et le garant de la cohésion de l’action interministérielle de l’État. 2. L’autorité des préfets sur les services déconcentrés est également clarifiée : il a autorité sur les directions ainsi que, pour le préfet de département, sur les unités départementales des services

territoire et à l’attractivité régionale DTADD: Directive territoriale d’aménagement et de développement durable CPER: contrats de projets Etat-Région FEDER qui vise à renforcer la cohésion économique et sociale au sein de l’Union européenne en corrigeant les déséquilibres régionaux. Collectivités territoriales SRU : solidarité et renouv. Urbain =>lutter vs l’étalement urbain La commune élabore son PLU : Plan local d’urbanisme SCOT : Schéma de cohérence

femmes de voter au 19e siècle ou la question du mariage gay il y a 50 ans… Un phénomène "non politique" aujourd’hui peut le devenir demain. Un objet n’est politique que dans un contexte donné par les faits d’une construction historique, linguistique, sociale, ou économique qui en fait un problème collectif. On peut distinguer plusieurs usages du mot Politique. Tout d’abord, 3 cas d’usages courants : - L’usage normatif : qui est porteur d’un jugement de valeur, subjectif (souvent négatif). Les

résidentielle (vers la périphérie des zones urbaines), qui pourtant se traduisent par une généralisation du mode de vie urbain. * L’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) a fait évoluer sa définition. Il distingue à présent l’espace à dominante urbaine (composé de villes centres, des banlieues et des espaces périurbains) de l’espace à dominante rurale, et s’intéresse moins aux unités urbaines en tant que telles pour définir le monde urbain. 2. Les villes : l’essentiel

................................................................................................. 3   B.   L’évolution de la désurbanisation dans le temps. ................................................. 4   C.   Nouvelles formes urbaines : ................................................................................. 5   III.   Qu’est  ce  qui  pousse  les  ménages  à  quitter  les  grandes  agglomérations  ?  .  8   IV.