Contre Utopie Hitler

Les « répliques » de la Révolution. Les restaurations manquées L’Europe des nations Les États-Unis et la Sécession La conquête coloniale. Le Japon La Belle Époque La Grande Guerre La tentative de révolution mondiale La Crise, le New Deal, le nazisme Hitler et les démocraties La campagne de France Le pari de la France libre La Grande Guerre mondiale La guerre froide La décolonisation. La guerre d’Algérie Israël et les Palestiniens La chute de l’URSS, la mondialisation Post-scriptum Les immémorants

Manifeste du parti communiste, de Karl Marx et Friedrich Engels annonce qu'un « un spectre hante l'Europe : le spectre du communisme ». Soixante-dix ans plus tard, les hommes sont confrontés à la réalité léniniste, puis pendant soixante-dix ans à l' « utopie au pouvoir » communiste. Ce volontarisme prométhéen a opéré, en peu de temps, le retournement d'une société, le bouleversement des relations internationales et il a émerveillé l'imagination des hommes. Au cœur d'une guerre mondiale monstrueuse, la

humain comme autant d’utopies dangereuses, et se méfier du totalitarisme intellectuel que dissimule toute histoire universelle. C’est entre deux extrêmes qu’il s’agit de penser le progrès humain dans l’histoire. Le progrès dans l’histoire est-il une utopie dangereuse ou un espoir raisonnable ? 1. Le sens de l’histoire. Dans la Grèce antique, le devenir est répétition, retour cyclique scandé par les fêtes, dominé par le rythme des saisons. Il n’est qu’à lire Platon (philosophe grec, 427-348) pour

le livre. 1- La révolution d’octobre 1917. 2-Mise en place du régime. C) L'organisation du nouveau régime. 1-La dictature du prolétariat. (1917-1918) 2-L'organisation du nouveau régime dans le livre. II. La contre-révolution et le retour à la terreur. (1927-1939) A) La contre-révolution de 1918 à 1921. 1-Les armées blanches. 2-L'offensive des fermiers voisins. B) Le temps des débats de 1921 à 1927. 1-Une nouvelle politique économique, la NEP. 2-Des débats stratégiques sur les moyens

libéralisme débridé et un capitalisme sauvage, la notion même de l'intérêt général est démantelée à peu près partout. Lorsqu'on parle de société, la question qui se pose est celle de la légitimité du pouvoir et pendant longtemps dans les grandes utopies, la question de l'organisation sociale renvoyait à la question de « quelle est la société légitime ? », c'est la question du « pourquoi ? ». Cette période est close et l'horizon indépassable serait celui du marché et de la société libérale ou « capitalisme

dans le langage courant mais il désignait à la base la république idéale que décrivait More comme un nouveau monde ressemblant à l’Angleterre de l’époque, c’est-à-dire divisée en contés et peuplés de commerçants et de marins. La vie sociale en Utopie est réglée par un impératif, celui que nul ne doit être oisif. L’emploi du temps est stricte, tout y est très normé y compris les tenues vestimentaires. La question essentielle dans cette société est de savoir qu’est-ce que le bonheur et comment y

de ce qui semble être une douce utopie. Préjugés et stéréotypes, Dans un premier temps l’auteur balaie les grandes formes sous lesquelles se manifeste le phénomène : Par le biais de la perception sociale qui attribue à une personne l’idée qu’elle se faite d’un groupe (illustration du rapport à l’argent vis-à-vis des Juifs) Sur la base de stéréotypes individuels, en regard d’un NOM de famille dont l’antériorité reflèterait ou non une image illustre (ex : HITLER) Sur la base de stéréotypes de

Éviction des derniers opposants En 1926, allié à la droite de Boukharine, il fait écarter du Politburo et du Komintern Trotski, Zinoviev et Kamenev, réconciliés entre-temps. Ayant battu l'Opposition de gauche, il se retourne en 1928-1929 contre l'opposition de droite de Boukharine et Rykov, chassés respectivement de la tête du Komintern et du gouvernement. En 1929, Staline fait exiler Trotski d'URSS et achève d'installer ses hommes à tous les postes-clés. La célébration en grande pompe de

concrétiser le monopole. Ce modèle apparaît dans les années 20. Avec la Weimar, le gouvernement allemand, avec le ministère des postes, décide d'investir dans des infrastructures de radios et d'avoir le monopole sur ces infrastructures. Par contre, les constructeurs de matériel seront libres de fabriquer les postes qu'ils voudront (AEG, Siemens). Il y a un système de taxes. L'arrivée des nazis ne va pas fondamentalement changer cette répartition. Elle se traduit par la tutelle de la radio par

la notion de « guerre juste » attribuée à beaucoup de ces guerres. Cette guerre est acceptée par la société car elle a des raisons morales. C’est le cas par exemple des guerres religieuses (les croisades), menées par l’église catholique pour lutter contre les hérétiques (non catholiques), ce qui était considéré un bien commun, une raison acceptable. Mais de nos jours, en cours d’histoire par exemple, ou en écoutant les histoires de nos grands-parents, on connaît les détails de quelques de plus affreuses