Controle De Gestion Des Ong

soient efficaces pour mettre en œuvre un développement moins polluant et préservant un environnement strictement contrôlé. PLAN DETAILLE : I- SITUATION ENVIRONNEMENTALE ACTUELLE 11-SUREXPLOITATION DES RESSOURCES NATURELLES 12-POLLUTION DE L’ENVIRONNEMENT 13-EFFET DE SERRE ET RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE II- MESURES DE PRESERVATION DE L’ENVIRONNEMENT 21-CONTROLE DE L’UTILISATION DES RESSOURCES NON RENOUVELABLES 22-RECOURS AUX ENERGIES RENOUVELABLES 23-AIDE

la participation citoyenne dans la gestion des affaires locales a eu lieu le samedi 21 mai 2011, à la faculté des sciences juridiques économiques et sociales de Tanger, organisé par le master MEJOT (master management économiques et juridique des organisations touristiques), en collaboration avec le master MMO (master management des organisations). Ce séminaire représente un thème d’actualité qui vise à nous sensibiliser de la nouvelle vision de la gestion des affaires locales, qui s’inscrit

démocratisation. Autrement dit, les acteurs du développement, en particulier les agences de la coopération internationale, considèrent la décentralisation comme un processus permettant de faire participer les populations dans l’élaboration et la gestion des politiques qui concernent leur territoire. Cette idée repose sur le postulat selon lequel la décentralisation favorise la démocratisation et le développement à l’échelon local. І- Généralités sur la décentralisation et le développement

Mardi 26 Avril 2011 Les réfugiés climatiques 1 Sommaire  Introduction p. 3  Première partie : Les éco réfugiés une nouvelle catégorie De réfugiés p. 4 1. État des lieux 2. Reprise de la thématique des éco réfugiés par les média et par les ONG  Seconde partie : L’urgence actuelle pour ces réfugiés : trouver Un cadre juridictionnel p. 10 1. Le besoin d’une reconnaissance d’un statut juridique pour ces éco réfugiés 2. Les différentes pistes envisagées  Troisième partie : Un enjeu pour l’avenir

Japon et alentours = 20% de la population pour mais 81% du PIB mondiale, 86% de capitalisation boursière, 72% de l’industrie, 85% de la recherche, 60% des services de transports, 80% des IDE (investissement direct étranger) La tirade control l’essentiel des médias, et des productions culturelles = centre hégémonique dominant. Spécialisé dans la production manufacturé a haute valeur ajoutée (=qui coute très chère) et veille à maintenir leurs propriété intellectuelles (marques, brevets

.................................................................................. p. 202 1. La « droite sensible » et la question sociale ................................................................................. p. 203 2. Les experts en contrôle des politiques sociales et en lutte contre le « clientélisme » .................. p. 213 TROISIEME PARTIE : LE RAPPORT DES CLASSES POPULAIRES AU POLITIQUE SOUS LE PRISME DES OBSERVATEURS EXTERIEURS : USAGES NON SAVANTS DE L’ETIQUETTE « CLIENTELISME

Mappa p. 2 p. 4 F O R U M Thibault Le Texier Forum de Delphes ourquoi les Etats autorisent, laissent faire et même soutiennent les ONG, elles qui sembleraient pourtant grignoter leur souveraineté et leurs prérogatives ? Cette question, qui hante l’étude actuelle des « sociétés civiles », serait à renverser : pourquoi les ONG ont-elles autorisé, laissé faire et même soutenu les Etats ? De la même manière que l’on interroge aujourd’hui la mondialisation plutôt que la parenthèse

AMELIORER LE CONTROLE INTERNE Guide pratique à l’usage des institutions de microfinance Anita Campion 2000 (pour la version originale anglaise) MicroFinance Network / GTZ Guide technique n°1 Traduction française réalisée par le Gret (Groupe de recherche et d’échanges technologiques) avec le soutien de ADA et de la GTZ (2003) Anita Campion est directrice du MicroFinance Network, une association internationale regroupant des institutions de microfinance expérimentées. Elle dispose de

Demander des comptes aux entreprises peut passer par des nouvelles lois et règlementations, nationales ou supranationales, mais aussi par des pressions de la société civile (ONG) ou de certains actionnaires qui exigent plus de transparence. Les effets négatifs des activités des entreprises sont souvent dénoncées par des ONG et/ou syndicat; les multinationales bien que puissantes sont dépendantes de leur image. Elles courent alors le risque de réputation. L'évolution de la jurisprudence, les procès

de la misère du Tiers Monde, entorse aux droits de l’homme, pollution terrestre ou maritime, corruption amènent certains à parler de “crimes” économiques. La tenue en ce moment du procès AZF ne vient que confirmer cette dynamique. Aujourd’hui, la gestion de ce capital immatériel qu’est la réputation devient une priorité de la stratégie d’entreprise. Les multinationales ne peuvent plus se désintéresser des conséquences sociales et environnementales de leurs activités. L’entreprise est remise en cause