Convention de Kanagawa

Europe Le royaume du Japon a été isolé et protégé pendant deux siècles par le Shogun. L’entrée de l’escadre du Commodore Perry dans la baie d’Edo donne fin à l’isolement du Japon vis à vis de l’Occident. Le shogun signe le 31 mars 1854 la convention de Kanagawa. L’engouement en Occident est croissant pour le Japon et l’art du Japon, se constitue un véritable cercle d ‘amateur. Les bois gravés et l’art Japonais, intéressent les Européen. En 1856 Félix Bracquemond tombe par hasard sur un vieux

école tout en y intégrant de nouveaux éléments qui seront repris par les peintres romantiques : la pose alanguie, le regard rêveur, la douceur des éclats de lumière sous les frondaisons et la touche picturale estompée. Cette peinture échappe aux conventions du portrait d’apparat. Pourtant il s’agit bien d’une représentation de l’épouse de Napoléon Ier, impératrice des Français. Joséphine porte une robe blanche à l’antique brodée d'or. Elle est enveloppée d’un châle de cachemire pourpre, couleur impériale

fin du XVIIIe siècle avec la publication d'ouvrages tels que Mankaku zuihitsu (1771) de Kankei Suzuki, Shiji no yukikai (1798) de Kyōden Santō ou Manga hyakujo (1814) de Minwa Aikawa. Également en 1814, Hokusai, futur peintre de La Grande Vague de Kanagawa, donne à ses recueils d'estampes parfois grotesques le titre Hokusai manga. C'est ce dernier ouvrage qui fait connaître le mot en Occident. Il aurait été ainsi choisi pour son analogie avec un terme similaire dans l'ancien temps mais dont l'écriture

Perry accompagné de navires de guerres réussit à « convaincre » le bakufu. Ce dernier, effrayé à la perspective d'entrer en guerre en cas de refus (comme ce fut le cas pour le voisin chinois avec les guerres de l'opium) signe à contre cœur la convention de Kanagawa. Celle-ci laisse ouverts les ports de Shimoda et Hakodate aux Américains. Il en fera de même un peu plus tard pour la Russie, la Grande-Bretagne, la Hollande et la France. Une première division s'effectue alors entre les partisans de l'ouverture

– on dit parfois les « Temps modernes » – couvre la période historique qui commence avec la fin du Moyen Âge. Les historiens français la font se terminer avec la Révolution française. Cette convention spécifiquement française ne sera pas utilisée dans ce chapitre, dans lequel on a préféré utiliser la convention internationale qui fait se terminer l'époque moderne 75 ans avant le présent. On fait habituellement commencer la Renaissance artistique en Italie au XVe siècle[22]. Les Italiens nomment cette

que les autres pays Européens. De plus c’est le premier pays à abolir l’esclavage en 1794 dans un contexte métropolitain particulier -> Terreur révolutionnaire, mais début des révoltes qui conduisent à l’indépendance d’Haïti, vote unanime de la convention nationale. La seconde grande abolition de l’esclavage, c’est 1848 : Entre-temps, l’esclavage avait été rétablit par Napoléon Bonaparte -> Il a fait cela certainement par faiblesse conjugale Sous partie 4 : L’arrivée en Asie Suit le même ordre

Donald’s possède toujours un avantage compétitif puisque l’enseigne a un recul plus important et de nombreux restaurants dans le monde. En 1978, on assiste à l’ouverture du 5000ème restaurant dans le monde. Ce restaurant a été inauguré dans la ville Kanagawa au Japon. Au Japon, le nombre de franchisés n’a cessé de croître puisqu’en 1993, date à laquelle on comptait plus de 1400 fast foods dans le pays. L’ensemble des pays développés répondent favorablement au système de consommation de masse. Cette technique

fer développer. On ne parlera de Révolution industrielle qu'à partir de 1890. Paragraphe 2 : Le Japon A cette période, le Japon suite au retirement des colonisateurs hollandais, le Japon devient protectionniste jusqu'en 1854 avec le traité de Kanagawa qui permet l'ouverture de 2 ports au commerce des États unis car il est un peu forcé et il va accepter la même chose pour la Grande Bretagne avec 2 ports aussi. Ensuite, le Japon va faire des traités très inégaux avec la Russie et la Hollande. Le

fin du XVIIIe siècle avec la publication d'ouvrages tels que Mankaku zuihitsu (1771) de Kankei Suzuki, Shiji no yukikai (1798) de Kyōden Santō ou Manga hyakujo (1814) de Minwa Aikawa. Également en 1814, Hokusai, futur peintre de La Grande Vague de Kanagawa, donne à ses recueils d'estampes parfois grotesques le titre Hokusai manga. C'est ce dernier ouvrage qui fait connaître le mot en Occident. Il aurait été ainsi choisi pour son analogie avec un terme similaire dans l'ancien temps mais dont l'écriture

Venture ») spécialisé dans la création d’entreprises dans les secteurs des technologies de l’information et des contenus (biens informationnels) dans l’aire métropolitaine de Tokyo. Ce cluster, très large, couvre la préfecture de Tokyo, et celles de Kanagawa et de Saitama et aussi une partie de la préfecture de Chiba. Le cluster est très structuré autour d’associations dans les différents domaines pour lesquels l’industrie japonaise est performante, les industries des contenus, des jeux. Le cluster bénéficie